Raisin sec

d'un bout à l'autre du texte; cette rudesse qui captive, qui vous prend aux tripes et ne vous lâche plus. Dès les premières lignes, on se rend compte que l'on tient un chef d'oeuvre entre ses mains. Encore une fois, comme c'est le cas dans Les Raisins de la colère, l'histoire de George et Lennie semble être un prétexte au service d'une cause plus noble: la dénonciation des conditions de travail déplorables des journaliers agricoles. On en vient à se prendre de passion pour la vie de George, de

réalisme des postulats Lucas dans son scénario du marché de travail, insistait sur les problèmes d’information, en ignorant donc des phénomènes comme la rigidité des salaires. Pour défendre cela, il cite un exemple du livre de Steinbeck « les raisins de la colère », qui illustrait l’aspect « vente aux enchères » du marché de travail pour les ouvriers agricoles : une centaine d’ouvriers se présentent à une ferme, alors qu’il n’y a que dix postes à pourvoir. Le fermier baissera le salaire jusqu’à

Bradbury, Isaac Asimov ou Philip K. Dick, jugées fantaisistes en leur temps et aujourd'hui largement réalisées. Il fut un temps, pas si lointain, où les livres pouvaient changer le cours du monde. Ce fut le cas lorsque John Steinbeck publia Les raisins de la colère, lorsque Arthur Miller écrivit Les sorcières de Salem. En France, souvenons-nous de Victor Hugo, entre autres. Nous avons voulu savoir ce que les écrivains, aujourd'hui, faisaient vraiment pour sauver la planète. Certains ordonnent les

Nous terminerons l’étude par une recherche de quelques critères qui permettraient de définir plus précisément la justice, outre l’égalité. Cette étude se basera sur le texte d’Alain, mais également sur les trois œuvres au programme, à savoir Les Raisins de la Colère, de John Steinbeck, L’Orestie d’Eschyle, et les Pensées de Blaise Pascal. La première partie de l’étude va donc consister en la preuve qu'il est impossible de n'utiliser que le critère égalitaire pour parler de justice véritable. Le

plus petit que soi. (Le Lion et le Rat, II, 11) * Est bien fou du cerveau qui prétend contenter tout le monde et son père. (Le Meunier, son Fils et l’Âne, III, 1) * Ils sont trop verts, dit-il, et bons pour des goujats. (Le Renard et les Raisins, III, 11) * La méfiance est mère de la sûreté. (Le Chat et un vieux Rat, III, 18) * Petit poisson deviendra grand. (Le Petit Poisson et le Pêcheur, V, 3) * Un tiens vaut, ce dit-on, mieux que deux tu l’auras. (Le Petit Poisson et le Pêcheur

dans l’œuvre de steinbeck. Déjà auteur de substantiels commentaires sur Des Souris et des hommes et Les Raisins de la colère. l’oeuvre de Steinbeck, ce qui dans sa production mérite vraiment d’être appelé « œuvre », tient en quelques titres : Des Souris et des hommes, La Grande Vallée et surtout Les Raisins de la colère, roman admirable qui n’a rien perdu de son âpre beauté .Après Les Raisins de la colère Steinbeck s’est tant bien que mal survécu : à trente-sept ans, il avait dit tout ce qu’il avait

Les raisins de la colère, John Steinbeck Chap 1 Description d'une periode de l'année (printemps-été) ou le maïs (les recoltes) est detruit par les intempéries (vent, secheresse ...). Les hommes reflechissent alors a une solution. Chap 2 Un routier, qui buvait un café dans une auberge, emmene avec lui dans son camion un homme, Tom Joad, fils de cultivateur. Ils discutent et Joad finit par dire au chauuffeur qu'il est allé en prison pour homicide. Joad descend sur un chemin de terre. Chap

Unrath ». 5. « Blanche-neige et les sept nains », dessin-animé de Walt Disney D’après le conte des Frères Grimm. 6. « Autant en emporte le vent », film de Victor Fleming D’après le roman de Margaret Mitchell. 7. « Les raisins de la colère », film de John Ford D’après le roman éponyme de John Steinbeck. 8. « Le faucon maltais », film de John Huston D’après le roman éponyme de Dashiell Hammet. 9. « La vie est belle », film de Franck Capra

Grimbert Stupeur et tremblement, La Métaphysique des tubes, A. Nothomb Une Enfance créole, Chamoiseau Roman et histoire Le Nom de la rose, Umberto Eco (Moyen Age) Les Piliers de la terre, Ken Follet (M.A.) Le Liseur, B. Schlink (2e guerre) Les raisins de la colère, Steinbeck (1ere guerre) Balzac et la petite tailleuse chinoise, Dai Sidji (Chine) La joueuse de go, Shan Sa (Japon) Elle s'appelait Sarah, T. de Rosnay (2e guerre) La fiancée du Nil, C. Jacq (Egypte) Le clan des Otori, L.Hearn (Japon)

exerceraient la loi sans jamais prendre en considération l'humain sans regarder la situation morale, matérielle des accusés. L'application stricte de la loi tombe dans une forme d'injustice qui réside dans l'indifférence à la personne humaine. Dans les Raisins de la Colère, il se trouve des juges au service des possédants, des shérifs pour appliquer des mesures répressives contre des gens qui n'ont fait aucun mal, voilà ce qu'est une justice sans amour, uniquement soucieuse du respect des lois. Elle ne