Rapière

qui fut son amant, Semblait lui réclamer un suprême sourire Où brillât la douceur de son premier serment. Tout droit dans son armure, un grand homme de pierre Se tenait à la barre et coupait le flot noir; Mais le calme héros, courbé sur sa rapière, Regardait le sillage et ne daignait rien voir. De Baudelaire : Les fleurs du mal!

nettement séparés en deux, avait une forme ovale et ses deux yeux noisette luisants étaient presque aveuglants. Son corps fin était recouvert par un uniforme de combat rouge et blanc, semblable à celui d’un chevalier, et elle portait une élégante rapière blanc argenté dans un fourreau en cuir blanc. Elle s’appelait Asuna. Elle était tellement célèbre que presque tout le monde dans SAO la connaissait. Il y avait beaucoup de raisons à cela mais la première était qu’elle était l’une des très rares

de papier blanc et un outil de dessin qui va tracer mécaniquement une image grâce à un ordi. Les artistes prennent un texte, un conte, ils prennent des mots clés et la base de donnée est au états unis avec les brevets de tous les objet crées ( ex: rapière à fromage). Il y a des images mais aussi du texte. L'ordi va piocher des images et va les donner à la machine quie va dessiner. "Pocket full of memories" de George Legrady. (http://www.youtube.com/watch?v=W2eNTVVjC9g) C'est une oeuvre participative

qui fut son amant, Semblait lui réclamer un suprême sourire Où brillât la douceur de son premier serment. Tout droit dans son armure, un grand homme de pierre Se tenait à la barre et coupait le flot noir ; Mais le calme héros, courbé sur sa rapière, Regardait le sillage et ne daignait rien voir. Dans ce poème, le Spleen est interprété par la rencontre entre Don Juan et ses victimes (Don Luis, Sganarelle) en enfer. Mais l’Idéal est représenté ici par la volonté de Don Juan à dépasser

manque pas de lui raconter comment il les a arrachées à l'ennemi. Il espère que son fils racontera ces histoires à ses propres enfants, pour sa mémoire. A ses dix-huit ans, don Juan, qui explique mal le latin mais servant bien la messe et "maniant la rapière mieux que le Cid", est envoyé à l'université de Salamanque, pour parfaire son éducation, son père, jugeant qu'il doit acquérir encore d'autres talents. L'université, en pleine apogée, regorge d'étudiants, de professeurs doctes (savants) mais est quelque

collet dans la rue, Et quand j'ai vu, parmi la foule qui se rue, Pendre, par tous les mots que le bon goût proscrit, La lettre aristocrate à la lanterne esprit. Oui, je suis ce Danton! je suis ce Robespierre! J'ai, contre le mot noble à la longue rapière, Insurgé le vocable ignoble, son valet, Et j'ai, sur Dangeau mort, égorgé Richelet. Oui, c'est vrai, ce sont là quelques-uns de mes crimes. J'ai pris et démoli la bastille des rimes. J'ai faitplus: j'ai brisé tous les carcans de fer Qui liaient

et qui fut son amant, Semblait lui réclamer un suprême sourire Où brillât la douceur de son premier serment. Tout droit dans son armure, un grand homme de pierre Se tenait à la barre et coupait le flot noir; Mais le calme héros, courbé sur sa rapière, Regardait le sillage et ne daignait rien voir. Spleen et Idéal – XV. L'amour et le crâne L'Amour est assis sur le crâne De l'Humanité, Et sur ce trône le profane, Au rire effronté, Souffle gaiement des bulles rondes Qui montent dans

en vidéo dans la mise en scène de Jorge Lavelli. [Bonus : Le sonnet parodique de Georges Fourest, Le Cid 5 Le palais de Gormaz, comte et gobernador, est en deuil : pour jamais dort couché sous la pierre l'hidalgo dont le sang a rougi la rapière de Rodrigue appelé le Cid Campeador. Le soir tombe. Invoquant les deux saints Paul et Pierre Chimène, en voiles noirs, s'accoude au mirador et ses yeux dont les pleurs ont brûlé la paupière regardent, sans rien voir, mourir le soleil d'or.

qui fut son amant, Semblait lui réclamer un suprême sourire Où brillât la douceur de son premier serment. Tout droit dans son armure, un grand homme de pierre Se tenait à la barre et coupait le flot noir ; Mais le calme héros, courbé sur sa rapière, Regardait le sillage et ne daignait rien voir. Le naufrage de Dom Juan. Titre : Le naufrage de Dom Juan Auteur : Eugène Delacroix Période de création : 1841 Type : Toile Style : baroque Lieu de conservation : Musée du Louvres, Paris Source:

du châtiment . bb. v.19-20 enfin apparaît l’attitude de D.J. . cc. « calme héros » très mélioratif, dénote le jugement bienveillant de Baudelaire dd. le rythme est très régulier et imite à la fois le calme de D.J. et la monotonie de l’Enfer ee. « rapière » rappelle son courage à l’acte III ff. paradoxe final « regardait/rien voir » : Il est enfin aux Enfers qu’il a tant recherchés . Est-il déçu, toujours digne et provocateur, repentant ? Non il est impénitent , toujours dans sa quête . ENJEUX DE CETTE