Rapport Maitre Valet Phèdre

peut être déclenché par des éléments d'une grande subtilité intellectuelle comme par le renversement des tabous les plus vulgaires (liés au sexe, au pouvoir, etc.) Le rire provoque et permet une distanciation, un recul du lecteur/spectateur par rapport à un sujet (souvent douloureux) qu'il vit habituellement au premier degré. Plus cette distanciation est brutale et inattendue, plus la surprise est grande, plus le rire est intense. Le rire est une réponse à un danger, un désamorçage d'une peur

discours, et de ce que j'en puis dire particulièrement, ne sais quelle force inexplicable et fatale, médiatrice de cette union. Nous nous cherchions avant que de nous être vus, et par des rapports que nous oyions l'un de l'autre, qui faisaient en notre affection plus d'effort que ne porte la raison des rapports, je crois par quelque ordonnance du ciel ; nous nous embrassions par nos noms. Et à notre première rencontre, qui fut par hasard en une grande fête et compagnie de ville, nous nous trouvâmes

construit en demi-cercle à ciel ouvert, les acteurs donnaient un jeu brillant et terriblement stupéfiant, parés des plus beaux costumes. Les thèmes étaient directement puisés dans les légendes ou dans l’histoire de la Grèce. Ces thèmes pouvaient être en rapport avec la nature, les dieux, l’hérédité et ils avaient un point en commun, ils nous donnaient une image de l’homme dépassé par des événements, par des forces trop puissantes. Oedipe roi de Sophocle incarne bien l’homme aux prises avec la fatalité, avec

précipiter tous les êtres vers un destin tragique. | Raison &Passion | C’est la raison qui l’emporte sur la passion. | C’est la passion qui l’emporte sur la raison. | La place de l’amour | L’amour a une seconde place par rapport à des passions plus mâles (la vengeance, l’ambition). | L’amour est le sujet des tragédies : une passion irrésistible, irrationnelle, égoïste, impossible, jalouse. | Fondement de l’amour | L’amour est fondé sur l’estime et l’honneur

Molière s’inspire de La Marmite de Plaute en écrivant l’Avare, et Racine du mythe d’Euripide afin d’inventer sa célèbre Phèdre. Tandis que Corneille s’inspire de la littérature hispanique pour écrire le Cid. En outre, on peut retrouver le principe de Catharsis Antique dans les pièces tragiques.Catharsis: purgation des passions en les illustrant symboliquement Exemple: Phèdre de RacineLe théâtre au XVIIème siècleLa tragédie classique:Le théâtre classique est assez strict, en effet en 1635 l’Académie

réduits à des types.llninsi, maîtres et varets rioppor.n, et se comprètent dans la comédie: dans r.es Fourbàries de scapin, Morière nous présente re type même du valet capable de mettre sa ruse au service de son ieune maître, Léandre, pour l,aitler dans ses projets amoureux en extorquant de rageni à ,on vieux père Géronte. Le dra. maturge s'appuie donc souvent sur des schémai traditionnels iici, cetui du valet rusé qui peut aider comme persécuter les maîtres) qui simplifient la-ialité pour

repris cette distinction : Molière a écrit des comédies célèbres (l'Avare, le Bourgeois Gentilhomme, le Misanthrope, Dom Juan, le Malade imaginaire, etc.) ; Corneille et Racine, des tragédies non moins fameuses (par exemple, le Cid, pour le premier, Phèdre, pour le second). • Le théâtre baroque, lui, n'hésitait pas à mélanger dans une même pièce le comique et le tragique. C'est ce qui s'est fait à nouveau, à l'époque romantique, époque à laquelle Victor Hugo a créé le drame. Au xxe siècle, Antonin

l'auteur fêté est désormais Racine. Alors que Corneille présente des héros admirables par leur grandeur d'âme, Racine émeut et accable en soulignant le tragique de la condition humaine héros racinien est prisonnier d'une destinée cf Phèdre, là où le public trouve davantage de vérité dans cette nouvelle image de l'homme. Or dès lorsqu’il termine sa vie dans une retraite pieuse, on montre ses pièces à Paris et Versaille tandis que sa réputation européenne s’affirme

ailleurs souvent présenté grace à Arlequin, un personnage connu dans le rôle de l'humble serviteur , en apparence naïf et sensible . Il laisse néanmoins entendre l'intelligence et la ruse d'une soumission feinte dans Arlequin serviteur de deux maîtres de Carlo Goldoni ou encore L'île des esclaves de Marivaux . Ce genre n'est pas le seul issus du théatre ; en effet les pièces ont majoritairement pour but d'illustrer des faits quotidien. Corneille donne à la pièce qu'il compose en 1636 le titre

Palais-Royal, Dom Juan connaît un grand succès, mais fait scandale. Dom Juan, noble espagnol, libertin et séducteur, a abandonné son épouse Elvire. À la scène 2 de l’acte II, Dom Juan fait l’apologie du libertinage amoureux, au grand scandale de son valet Sganarelle. 5 10 15 20 25 30 35 DOM JUAN. — Quoi ? tu veux qu’on se lie à1 demeurer au premier objet2 qui nous prend, qu’on renonce au monde pour lui, et qu’on n’ait plus d’yeux pour personne ? La belle chose de vouloir se