Rapport sur la richesse mondiale

* Entre 1914 et 1918 : la « Grande Guerre » * Entre 1918 et 1929 : les « années folles », soit les années d‘après-guerre * Entre 1929 et 1939 : la dépression des années trente * Entre 1939 et 1945 : la deuxième guerre mondiale * Entre 1945 et 1980 : l‘âge d‘or de la croissance économique Quant au cadre géographique : le cours s‘intéresse d‘avance à l‘évolution de la France, de l‘Allemagne et du Royaume-Uni et des USA. Chez ces économies, on

INTERNATIONAUX 3 Partenaire de la France : - ALLEMAGNE - BELGIQUE - ITALIE 159 milliards d’€ 69 Milliards d’€ 67 Milliards d’€ L’ouverture des économies à permis une forte progression des échanges internationaux notamment depuis la 2nd guerre mondial. Même si tout les pays on un secteur d’activité ne se sont pas ouvert au même degré aux commerce. Ses échanges conduisent à des paiements internationaux à des règlements en monnaie étrangère, en fonction de l’évolution de la cour des monnaies les

les PVD Constat L’écart de revenu/hab des pays riches et celui des pays pauvres par rapport à la moyenne mondiale a augmenté depuis 25 ans, Les richesses sont inégalement réparties : les pays riches s’approprient 80 % des richesses mondiales alors que leur population ne représente qu’à peine plus de 15 % de la population mondiale : on parle déséquilibre mondial. Constat Baisse de moitié au niveau mondial depuis le début des années 80 mais évolution irrégulière selon les régions (baisse importante

Maroc. Pilier de la coopération Maroc-UE en matière de gouvernance publique, le programme Hakama a vu son budget augmenter de plus de 99 millions de dirhams, le portant ainsi à 925 millions de dirhams. «La gouvernance est très avancée au Maroc par rapport à la région mais il y a toujours la possibilité d’évoluer», a indiqué Johannes Hahn. Le programme Hakama, lancé en décembre 2013 et dont la mise en œuvre devrait s’achever fin 2017, s’articule autour de trois axes. D’abord l’amélioration de la gestion

aujourd’hui semble devoir se traiter à un niveau mondial. Le terme est récent, il vient des EU (le terme américain est « globalization »). Un phénomène qui n’est pas nouveau (Christophe Colomb a contribué à sa façon a initié cette mondialisation par exemple) mais qui s’est fortement amplifié depuis 1945 et plus encore depuis environ 25 ans à tel point de devenir un des aspects dominants de notre monde. Elle est à la base d’une nouvelle organisation de l’espace mondial, dominé par des flux, et qui privilégie

SYNTHÈSE 5 – Les fondements de l’échange international I – Les flux internationaux de biens et de services La structure du commerce mondial • Marchandises – Prépondérance des produits manufacturés (plus de 70 % des exportations de marchandises en 2006) et, parmi ceux-ci des machines et matériels de transport (53 % des échanges de produits manufacturés) – Stagnation du poids des produits agricoles autour de 8 à 9 % des exportations de marchandises depuis 2000 – Part fluctuante des produits

 c’est a dire, Bresil, Russie, Inde et Chine.  Cet extrait est tire de l’article “ Les BRIC quoi de neuf?”, redige par Helene Lafaye et tire du  magazine Espace­prepas, paru en novembre 2010. L’interet de cet article vise le  chamboulement de l’economie mondial actuel. La question qui se pose est alors, quelles sont  ces mutations economiques dans monde d’aujourd’hui et en quoi se XXIe siecle differe t’­il  des  deux siecles precedants?  Ce document illustre les mutations economiques du monde actuel. C’est l’introduction dans la 

population ayant accès au numérique que ceux en voie de développement, 2>> Cette dernière phrase montre que l'accès a Internet, assez onéreux, (ce qui rejoins la première question a travers nous avons vu que seuls les pays ayant une certaine richesse ont un grand accès au numérique) est aussi très lent a se propager et nous pouvons donc observer les inégalités qui se forment 3>> Aujourd'hui, les part de la population que chaque continent représente sont: -Asie:60,5% -Afrique:14%

mobilité des facteurs de production (capital et travail) au niveau interne de la nation, et l'immobilité de ceux si au niveau des autres nations. Sa théorie est celle des coûts comparatif: pour lui 2 pays ont intérêt à échanger des produits lorsque le rapport des coûts est différent dans les deux pays. Ceci n'est pas évident car il faut admettre qu'un pays puisse importer des biens qu'il sait mieux produire que son partenaire commercial. Pour citer Samuelson, on peut dire que cette règle est toujours juste

développement durable en Afrique 1 Pierre-Noël Giraud 2 (Cerna), Denis Loyer 3 (AFD) 1 Remerciements : ce texte résulte de longues et anciennes discussions avec Jean Christophe Carret (Banque Mondiale). Nous avons également beaucoup appris d’échanges directs avec Kirk Hamilton (Banque Mondiale) et avons bénéficié de l’aide de Timothée Ollivier, doctorant à l’Ecole des Mines. Ce texte tire parti de l’expérience et des réflexions de l’équipe environnement de l’AFD (Constance Corbier, Pierre