Rassemblement-UMP

divin), il faut descendre de cette famille (race et intégrisme catholique) -> Front National. Troisième force de droite voulant contrôler le capitalisme et voulant faire des réformes sociales. Hommes providentiels. (Suite de Napoléon 1er et 3ème) -> UMP. La république « opportuniste » : la consolidation de la République. 2 tendances chez les républicains qui se soudent pour faire face au danger royaliste : Tendance opportuniste (insulte de leurs détracteurs) : « nous ferons des réformes au moment

rappelé qu’il y avait « 3,5 millions de Français travaillant aujourd’hui le dimanche et 7 millions occasionnellement ». Sur la base du volontariat et payé double. Le gouvernement veut reprendre les termes du projet de loi du député Richard Maillé (UMP, Bouches-du-Rhône) qui préconise de faciliter l’ouverture dominicale des commerces, sur la base du volontariat et à condition que ce travail « soit payé double ». De leur côté les syndicats, CFTC en tête, font valoir que le volontariat n’existe pas

change le mode de scrutin et on redécoupe les circonscriptions. Les législatives de novembre sont très favorables au gouvernement en place. L’UNR (Union pour la Nouvelle République), sorte de parti gaulliste un peu métissé, hétérogène (genre UMP aujourd’hui, mais encore plus bordélique). Il va devenir le 1er groupe parlementaire à l’assemblée nationale avec 198 du siège, devant les modérés, les indépendants, et le MRP. La SFIO (perd moitié de ses députés) et surtout le PC (perd 150 sièges)

en commun. Il développe l'animation de la vie parisienne par de grandes manifestations culturelles comme Nuit Blanche ou simplement ludiques comme Paris Plages. Le 16 mars 2008, Bertrand Delanoë est réélu maire de Paris face à Françoise de Panafieu (UMP). Politique et administration Organisation administrative Articles détaillés : Mairie de Paris, Arrondissements de Paris, Liste des députés de Paris et Liste des conseillers de Paris. Carte des arrondissements de Paris. Depuis la loi du 10 juillet

comptes de campagne ne sont pas déposés ou rejetés par la Commission, le parti politique perd son financement public. Pour l’année 2009, l’Etat a versé en financement public 75 millions d ‘euros à dix formations politiques, par ordre décroissant : UMP, PS, Modem, PCF, les verts, FN, radicaux de gauche, LCR (maintenant NPA), UMPF et Lutte ouvrière. La loi interdit le financement par des personnes morales (société, entreprise). La Commission Nationale des comptes de campagne examine les comptes,

bipolarisation. On a donc des accords, des coalitions qui ne sont pas toujours durables. 
 On a le cas italien où il n'y as pas de parti qui s'impose à droite ou à gauche. On n'a pas de discipline qui structure la vie politique avec un groupe à droite (UMP) et à gauche (PS) auxquels s'adjoignent de plus petits groupes. 
 Le gouvernement sera l'émanation de cette coalition politique si ce parti présentant des coalitions est élu.
 Dès que cette majorité parlementaire s'effrite, alors le Gouvernement

rappelé qu’il y avait « 3,5 millions de Français travaillant aujourd’hui le dimanche et 7 millions occasionnellement ». Sur la base du volontariat et payé double. Le gouvernement veut reprendre les termes du projet de loi du député Richard Maillé (UMP, Bouches-du-Rhône) qui préconise de faciliter l’ouverture dominicale des commerces, sur la base du volontariat et à condition que ce travail « soit payé double ». De leur côté les syndicats, CFTC en tête, font valoir que le volontariat n’existe pas

pôles autour desquels la droite va s’organiser sont en place. Au centre, le Centre démocratique est fort de 55 membres dont certains apporteront un soutien intermittent à la majorité. À gauche, on trouve 41 communistes, 66 socialistes SFIO et 39 Rassemblement démocratique (dont François Mitterrand). • Aux élections législatives de 1967, les deux principaux partis soutenant le Gouvernement (gaullistes et RI) s’allient et désignent un candidat unique dans la plupart des circonscriptions. À gauche, PC

élections présidentielles. À droite, c'est plus compliqué à décrire car le paysage a été profondément remanié notamment ces dernières années. Jusqu'en 1997, il existait deux grandes formations : l'une fondée en 1976 par J. Chirac, qui s'appelle le rassemblement pour la République. Elle apparaissait comme l'héritier du mouvement gaulliste. La seconde formation est l'Union pour la Démocratie Française (UDF). Elle avait été constituée en 1978 par V. Giscard d'Estaing. Mais en 1981, V. Giscard d'Estaing est

transposé dans l’arène politique. Les partis politiques expriment à chaque fois des clivages mais permettent aussi d’en étouffer d’autres. Le paradoxe des partis est qu’ils sont à la fois l’expression de divisions et un instrument de cohésion, de rassemblement. Pour comprendre cette alchimie de la transformation des clivages structurels en système partisans, Lipset et Rokkan suggèrent de s’interroger sur les conditions d’expression des mouvements de protestation et sur la représentation des intérêts