Rastignac Et Les Femmes

debut du roman commence par la description de la pension Vauquer, qui n'est autre que le nom de la directrice Mme Vauquer. Plusieurs pensionnaires y logent : • Eugène de Rastignac, venu à Paris pour y étudier le droit. À la maison Vauquer, il rencontre Vautrin, qui va lui proposer des marchés pour faire fortune. Toutefois Rastignac, ambitieux mais humain, ne suit pas jusqu'au bout les conseils criminels de Vautrin. Très vite il fait son chemin dans les hautes hiérarchies sociales. Chaque relation lui

faisaient2. » Le roman s'ouvre avec la description sordide et presque répugnante de la maison Vauquer, une pensionparisienne située dans la rue Neuve-Sainte-Geneviève, appartenant à la veuve Vauquer. Plusieurs résidents s'y côtoient, dont Eugène de Rastignac, jeune étudiant en droit, un mystérieux personnage un peu rustre et grossier nommé Vautrin et un ancien vermicellier (fabriquant de pâtes et de pain) ayant fait fortune pendant la révolution, retraité maintenant complètement désargenté et veuf, surnommé le

Maupaussant, à travers le livre, nous fait comprendre que Georges Dury n’a pas vraiment de talent, car, par exemple il s’initie peniblement a l’exercice de la chronique. En revanche, son ambition va être satisfaite grâce à son pouvoir de séduction sur les femmes telles que Mme. De Marelle, ou Mme. Forestier, celles ci lui permettront de rencontrer des figures importantes de la société de salon. L’histoire de Geroges Duroy est aussi celle d’une réussite accomplie en un temps record, sans un seul faux pas

Journal de lecture : Le Père Goriot de Balzac I-Première partie : Résumé du roman La Maison Vauquert est une pension bourgeoise à Paris où se côtoient depuis longtemps des personnes des deux sexes et de tous âges. C’est l’histoire d’Eugène Rastignac, un jeune bourgeois obstiné à faire parti de la haute société, cependant il ne sait comment y parvenir, et surtout n’en a point les moyens financiers. C’est aussi l’histoire de Vautrin, un ancien forçât, qui va tenter de le convaincre de passer par

Père Goriot:Description de la pension bourgeoise de Mme VauquerLes pensionnaires se moquent du Père Goriot, ce «vieux libertin»Rastignac se dirige chez Mme de Restaud et fait une gaffe en prononçant le nom du Père GoriotIl va aussitôt chez Mme de Beauséant qui lui raconte la douloureuse histoire de Jean-Joachim Goriot et ses filles.Prochainement dans le Père Goriot :Rastignac décide donc de défendre le Père Goriot après avoir été touché par son histoireIl écrit ensuite une lettre à sa mère afin de lui

Trois personnages émergent de cet univers médiocre : Eugène de Rastignac, un jeune et bel étudiant en droit, candide provincial, tout juste sorti de sa famille aristocratique mais sans le sou. Le vieux Père Goriot, un marchand de vermicelle qui s'est fabuleusement enrichi pendant la Révolution, et semble cacher une grande passion pour les femmes. L’explosif Vautrin, un colosse truculent, manipulateur, imprévisible et inquiétant. Rastignac est introduit dans la haute société parisienne grâce à sa cousine

son œuvre peut être qualifiée de réaliste ! Résumé Le roman débute à Paris, en automne 1819, dans une pension minable de la rue Neuve-Sainte Geneviève où se côtoient plusieurs résidents dont le jeune Eugène de Rastignac, Vautrin et le père Goriot. Rastignac est un jeune étudiant en droit, venant d’une famille provinciale modeste, qui s’émerveille devant la vie parisienne. Eugène préfère rejoindre la haute société à l’aide de sa cousine, la vicomtesse de Beauséant, aux dépens de

Goriot fait les sacrifices pendant toute sa vie pour faire plaisir à ses filles. Il finit par mourir sans un seul sou. 2. EUGENE DE RASTIGNAC : Jeune « ambitieux » qui rêve de s’introduire dans la haute société parisienne. Rastignac prend gout aux soirées parisiennes et il se rend compte qu’il est possible de réussir dans la société à travers les femmes. Rastignac finit par accepter ses choix et réalité de la vraie vie parisienne à la fin du livre. 3. VAUTRIN Mystérieux pensionnaire d une

Balzac, le Père Goriot, excipit Le texte se présente en deux volets, Rastignac servant en quelque sorte de pivot. I- Le sordide de la fin 1) La rapidité du service religieux : Voir les indications temporelles (« aussitôt que » ), l’adj. « brève » et le verbe « disparurent » pour souligner la rapidité de la prière. Voir aussi : « quelques pelletées » (les fossoyeurs en font le moins possible. 2) Le vide se fait progressivement * « disparurent », « le quitta » (concerne les gens

femme qui, depuis quarante ans, tient à Paris une pension bourgeoise établie rue Neuve−Sainte−Geneviève, entre le quartier latin et le faubourg Saint−Marceau. Cette pension, connue sous le nom de la Maison−Vauquer, admet également des hommes et des femmes, des jeunes gens et des vieillards, sans que jamais la médisance ait attaqué les moeurs de ce respectable établissement. Mais aussi depuis trente ans ne s'y était−il jamais vu de jeune personne, et pour qu'un jeune homme y demeure, sa famille doit−elle