Rastignac Et Les Femmes

Fantaisie, chacun fait ce qu’il veut. Froideur: indifférence. Familiarité: accueil, bavardage. JT puissant, maître de tout. JT doux, timide et soumis. Temps pluie. Temps soleil. Importance de l’heure. On ne voit pas le temps passer. Femmes vieilles et souffrantes. Femmes joyeuse et en bonne santé. Réalité triste. Rêve de plaisirs faciles, tout semble irréel. JT n’arrive pas à choisir et hésite entre les deux car il ne sait pas associer les deux. - Couverture et quatrième de couverture: La

suivants, imaginez et décrivez, physiquement et moralement, le personnage qui le porte : chez Rabelais : Touquedillon - Badiguoincier - Picrochole, Panurge, Epistémon (penser à l'étymologie) Balzac : Lucien de Rubempré - Eugène de Rastignac - Gobseck (un usurier avide) - Vautrin (un ancien bagnard) Dumas : Grimaud, Planchet, Bazin, Mousqueton (les valets des mousquetaires) Hugo : Javert (inspecteur de police) - Phébus (capitaine de cavalerie) Zola : Lisa Quenu

les vicissitudes de l’existence d’un individu ou d’une classe sociale »4. C’est dans ce sens qu’il convient de comprendre le commentaire du narrateur décrivant la première visite du château de la 23 Français comtesse de Beauseant effectuée par Rastignac : il « n’avait donc pas encore pénétré dans les appartements de madame Beauséant ; il allait donc voir pour la première fois les merveilles de cette élégance personnelle qui trahit l’âme et les mœurs d’une femme de distinction »5. Soulignant au passage

Berny, quarante cinq ans, mariée, et déjà grand-mère, qui devient sa maîtresse. Balzac recherchera toujours l’amour de femmes plus âgées, comme la marquise de Castries qui, après avoir repoussé ses avances, a inspiré l’auteur pour écrire La Duchesse de Langeais, l’histoire d’une femme du grand monde qui s’amuse à séduire à se jouer des sentiments d’un homme. Cette passion pour les femmes plus âgées s’explique sans doute par le manque de tendresse qu’il a reçu durant son enfance, restant éternellement

Julien ne se trompera pas : la fidélité de Louise est sans faille. Mais réussit-il grâce à elle ? Non, il n’a pas eu cet emploi grâce à elle et il partira au séminaire et ensuite à Paris sans son aide. Le personnage n’a donc pas d’adjuvant, comme Rastignac par exemple, qui est mis en garde par sa tante, elle le conseille. De même, l’ascension sociale que lui permet son histoire d’amour avec Mathilde n’en sera pas une : il sera certes anobli- Julien Sorel de La Vernaye- mais ce sera pour éviter le scandale

des noms suivants, imaginez et décrivez, physiquement et moralement, le personnage qui le porte : chez Rabelais : Touquedillon - Badiguoincier - Picrochole, Panurge, Epistémon (penser à l'étymologie) Balzac : Lucien de Rubempré - Eugène de Rastignac - Gobseck (un usurier avide) - Vautrin (un ancien bagnard) Dumas : Grimaud, Planchet, Bazin, Mousqueton (les valets des mousquetaires) Hugo : Javert (inspecteur de police) - Phébus (capitaine de cavalerie) Zola : Lisa Quenu (charcutière)

son premier regard se porte sur "Madame de Marelle" (désir) et le second sur "la foule". On retrouve les deux soifs du héros de l'incipit: les femmes et l'ambition. Le point de vue omniscient nous montre que les femmes sont plus importantes que l'ambition, le mot "lit" clôt le roman, c'est l'ouverture finale, comme dans Le Père Goriot ou Rastignac décide de se rendre chez la baronne de Nucingen.   Bel-Ami, un arriviste.   1/La Madeleine représente la réussite             a- Un roi Bel-Ami

inconnu, La Peau de chagrin, Le Père Goriot ou Les Amours de deux bêtes. -Rastignac est un jeune homme de petite noblesse. Il vient à Paris espérant y rencontrer la fortune. Mais il n'a ni l'argent, ni la connaissance de la société parisienne nécessaire.Une de ses cousines lointaines, Madame de Beauséant, une des dernières grandes dames, le prend sous son aile pour l’aider à appréhender ce monde qu'il ne connait pas. Grâce aux femmes, il va apprendre les mœurs de cette société pervertie et en s'adaptant

Monsieur de Rênal, royaliste, avait découvert, caché dans la paillasse qu’il inspectait, le portrait de Napoléon. Le père Goriot présente un jeune noble provincial pauvre, Eugène de Rastignac. Celui-ci, avide de parvenir, reçoit une leçon d’arrivisme de sa cousine, la vicomtesse de Beauséant. Eh bien, monsieur de Rastignac, traitez ce monde comme il mérite de l’être. Vous voulez parvenir, je vous aiderai. Vous sonderez combien est profonde la corruption féminine, vous toiserez la largeur de la misérable

Les femmes Le personnage a beaucoup d’atout pour réussir avec les femmes mais ici il n’a rien de romanesque et regarde les femmes de haut, aucune spontanéité, regard de chasseur, d’ « épervier ». CONCLUSION : Ces éléments inscrivent le récit dans un contexte social et moral très précis. Le héros est aussitôt défini comme l’incarnation de l’ambition et du désir. Il est aussi le héros d’un roman d’apprentissage qui l’initiera à l’amour et à la société. Père Goriot, Rastignac. -