Raúl Alfonsín

sein du premier gouvernement démocratique depuis la dernière dictature militaire. Les deux groupes d’experts – en mesure de la pauvreté et en politiques sociales – partageaient leur engagement envers les idéaux démocratiques du gouvernement de Raúl Alfonsín – un projet de démocratisation qui devait être diffusé à partir des institutions politiques vers le champ social – ainsi qu’une volonté professionnelle modernisatrice, cherchant à instaurer des nouveaux domaines d’études et d’insertion professionnelle

Historia No Oficial Del Frente Patriótico Manuel Rodríguez 6 Capitulo 1 - Los Años Verde Olivo [pic]Galvarino Apablaza y Raúl Pellegrín en La Habana La "Solidaridad" Cubana La larga trama de la historia que daría nacimiento al Frente Patriótico Manuel Rodriguez comenzó en Cuba, solo un par de años después del golpe militar de 1973. Para ese entonces gran parte de los militantes comunistas y socialistas que habían escapado de la represión desatada en Chile, desalentados y masticando la

dictature est instaurée. En 1982, l’échec de l’opération militaire des Malouines ramène les civils au pouvoir. En 1983, R.Alfonsin, leader du parti radical, est élu président de la République. En 1989, Carlos Menem, candidat péroniste succède à R. Alfonsin. En 1993 : les élections législatives renforcent Carlos Menem, malgré un très impopulaire projet de loi visant la privatisation du régime des retraites. En 1995, Carlos Menem est réélu à la présidence de la République. En 2003, Nestor Kirchner est

meurt en 1974, sa deuxième femme Isabel lui succède, puis le général Videla prend le pouvoir (cf. p. 21). Fragilisée par les crises économiques et financières, une démocratie constitutionnelle est en place depuis 1983 : présidence du radical Raúl Alfonsin, puis, tous péronistes, Carlos Menem en 1989 et 1995, Nestor Kirchner en 2001 et sa femme Cristina en 2007. L’actuel nationalisme économique constitue une résistance aux États-Unis et les mouvements sociaux montrent une opposition au modèle

donnés. Et cela, se passe ainsi parce que la société argentine a vécu des situations dramatiques où la gestion de la chose publique a été morcelée. On ne peut s´empêcher de penser aux administrations des présidents Arturo Illia (1963-1966) et Raúl Alfonsín (1984-1989), où, au-delà des réussites et des erreurs, il était clair que gouverner n´était rien de plus que contrôler les intérêts des entreprises et d´agir en faveur de valeurs et des intérêts publics.   Ces expériences sociales semblaient

actuelle à Cuba. On pourra ainsi rappeler que Fidel Castro, 106 algo mÁs qui prit le pouvoir en janvier 1959 après avoir renversé le dictateur Fulgencio Batista, dirigea Cuba jusqu’en juillet 2006. à cette date, il remit le pouvoir à son frère Raúl Castro qui est encore actuellement chef de l’état cubain. Ce changement ne permet pas pour autant aux cubains de disposer d’une liberté d’information beaucoup plus grande. Ainsi, en 2008, Cuba était le second pays au monde qui comptait le plus de journalistes

spectaculaire de la citadelle fortifiée est le bastion dit “dos Fidalgos“ (bastion de la kasbah) qui ferme en haut le tracé de l’atalho occidental. Il était intégré au nouveau système de remparts réalisé au XVIème siècle qui renfermait l’ancien fort Alfonsin (réalisé sous le règne d’Alphonse V 1438-1481 - avec une curieuse interruption de 4 jours, pendant l’automne 1577 lorsque son fils Jean II accéda au trône) avec une large muraille dominée par les lignes horizontales des fortifications modernes, dont

économique » se codifie, devenant accessible à certains, excluant ceux qui ne sont pas « capables » de le produire, et cela en particulier autour des premières revues de sciences économiques9. À partir des années 1930 à travers des figures comme celle de Raúl Prebisch, de Alejandro Bunge ou de Federico Pinedo, « l’économiste » commence à prendre une place prépondérante dans la politique argentine, à tel point que la création de la Banque centrale en 1935 sera le fruit du travail insistant de Prebisch, désireux

qu’elle n’atteignait plus que 7,5 pour cent en 1985. Vers la mi-1985, le gouvernement a annoncé qu’il réduirait les effectifs des forces armées à 3,2 millions, soit une diminution de 24 pour cent. En Argentine, en 1984, le nouveau président, Raul Alfonsin avait ramené les dépenses d’armement à la moitié du niveau culminant de 1980 (près de 4 pour cent du PNB), en réaménageant les priorités et en réorientant les ressources sur des programmes sociaux. Le président du Pérou, Alan Garcia Pérez, en

qu’elle n’atteignait plus que 7,5 pour cent en 1985. Vers la mi-1985, le gouvernement a annoncé qu’il réduirait les effectifs des forces armées à 3,2 millions, soit une diminution de 24 pour cent. En Argentine, en 1984, le nouveau président, Raul Alfonsin avait ramené les dépenses d’armement à la moitié du niveau culminant de 1980 (près de 4 pour cent du PNB), en réaménageant les priorités et en réorientant les ressources sur des programmes sociaux. Le président du Pérou, Alan Garcia Pérez, en assumant