Rébellion des Patriotes

en plus conservatrice. De nombreux députés sont exclus car soupçonnés d’être favorables aux révoltés mécontents de la République. En 1850, une loi électorale très sévère est mise en place : si l’on a été condamné à plus d’un mois de prison pour rébellion, si l’on n’est pas domestiqué dans la même commune depuis 3 ans on ne peut plus voter. Le nombre de votants est réduit d’un tiers même si l’on parle toujours de suffrage universel. B. La réaction dans l’empire d’Autriche Très vite, les révoltés

le royaume, faisant prendre les armes aux paysans. Si, parfois, l’inexistence de la menace fait rentrer chacun chez soi, ailleurs les paysans attaquent les châteaux et la Grande Peur devient alors une insurrection révolutionnaire. Là aussi, les rébellions paysannes du printemps 1789 (Île-de-France, Nord, Normandie, 73 Champagne, Poitou, Quercy, Périgord, Sud-Est) avaient montré le chemin. Doc. 4 : La nuit du 4 août La première vision est donnée par le marquis de Ferrières (17411804), député de

La monarchie l'acceptait. Elle avait elle-même tant de difficultés à trouver de l'argent ! Elle eût volontiers laissé la tâche à d'autres. Mais les états tombaient mal. Ils ne furent pas plus heureux que le roi. Une partie de la France était en rébellion. La Normandie, l'Artois, la Picardie n'avaient pas voulu « députer » aux états généraux et refusèrent d'acquitter les taxes. L'Assemblée de 1355 avait esquissé un gouvernement représentatif : il ne fut pas mieux obéi que l'autre et l'anarchie en

touche aveuglement des civils. Il représente un ennemi insaisissable, difficile à localiser et non rattaché à un Etat. La CIA s'est livrée à des tortures pour démanteler des réseaux de terrorisme, mettant en doute les fondements de la démocratie. Le Patriot Act est une loi anti-terroriste américaine datant de 2001. La pratique radicale de l'Islam est appelée l'islamisme. Ben Laden et Al Qaida sont islamistes. C'est l'islamisation, le fondamentalisme. Le terrorisme a entrainé un véritable traumatisme

partisans de la démocratie, farouchement hostiles à toute violence révolutionnaire. Pour eux le mot de "Révolution", hérité de la tradition socialiste du XIXe siècle, en était venu à signifier un changement sans violence de régime politique et social. Patriotes (ils avaient voté les crédits de guerre en 1914), ils voulaient barrer la route au bolchevisme, car ils connaissaient de première main la situation en Russie, et les méthodes des bolcheviks les horrifiaient14. Un peu plus tard, les troubles révolutionnaires

imprimeries, nous pouvons y trouver les premières revues et les premiers livres. 1.3 Constitution de la culture nationale La troisième période commence en 1840 par l’Acte d’Union qui est adopté par les autorités britanniques juste après « la rébellion des patriotes »5 au Bas-Canada et qui unit le Haut-Canada et le Bas-Canada. Le gouvernement britannique veut assimiler la population franco-canadienne, mais pourtant, le paragraphe de la constitution qui parle de « la position exclusive de l’anglais

républicaine en 1911 : république libérale, volonté d'établir un régime démocratique sur le modèle occidental. Sun Yat Sen. Refuse d'être assujetti par l'Occident. S'appuie sur un parti national : Kuomintang. Pas un parti d'extrême-droite à la base : patriote et démocratique. Elites très développées, étudiants, ouvriers le soutiennent. Réaction occidentale : coup d'Etat militaire qui plonge la Chine dans l'anarchie politique. Il faut conserver le « gâteau chinois ». Gouvernement de Cantons de Sun Yat-Sen

mondial’ (Spark 2003: 536). L’idee a fait son chemin dans les milieux de la droite religieuse (notamment chez Pat Robertˆ ´ ´ ´ son)9 et de l’extreme droite et s’est fort developpee, durant les annees 1990, au sein des milices et des mouvements patriotes. La chute du `re ´ `res a ` communisme et la premie guerre du Golfe ne sont pas etrange ´ ´´ l’essor de cette idee. La disparition du communisme a cree une incerti` tude quant au visage de l’ennemi a combattre, et la guerre au Moyen´ ` Orient menee

La monarchie l'acceptait. Elle avait elle-même tant de difficultés à trouver de l'argent ! Elle eût volontiers laissé la tâche à d'autres. Mais les états tombaient mal. Ils ne furent pas plus heureux que le roi. Une partie de la France était en rébellion. La Normandie, l'Artois, la Picardie n'avaient pas voulu « députer » aux états généraux et refusèrent d'acquitter les taxes. L'Assemblée de 1355 avait esquissé un gouvernement représentatif : il ne fut pas mieux obéi que l'autre et l'anarchie en

non efficace : difficulté de l'institution "représentative" à exprimer des intérêts convergents. - l'institution apparait peu compatible avec l'absolutisme : la logique de l'Etat absolutiste exclut toute idée de représentation politique. a) La rébellion parlementaire brisée 1. Le parlement, rouage essentiel de la monarchie Pendant longtemps en France, il n'existe qu'un seul Parlement à Paris, étant la Cour de justice la plus ancienne mais également la plus prestigieuse du Royaume. Elle dépend