Récepteur ionotrope

soma (corps cellulaire) équipé de l’appareillage commun à toutes les cellules (noyau, mitochondries, Golgi, réticulum...) 2. Le neurone est une cellule dite polarisée (asymétrique) avec d’un côté les dendrites, qui constituent le pôle normalement récepteur. Les dendrites font 1-2 mm de longueur, et présentent une arborisation variable (maximale chez la cellule de Purkinje). L’aspect distal peut présenter des épines, sites synaptiques dont la morphologie varie au cours des processus d’apprentissage

brut Illustration 6: Tracé de l'activité du coeur en fonction d'injection d'une gamme d'acétylcholine de 10-7 à 10-3 mol/L Lors d'injection d'une gamme d'acétylcholine croissante on peut observer une diminution de la force de contraction (effet ionotrope négatif) et une diminution de la fréquence cardiaque (effet chronotrope négatif). La diminution devient significative à partir d'une concentration de 10-5 mol/L , avant cette concentration, les effets induits sont peu significatifs. Tableau

notamment grâce à des signaux excitateurs ou inhibiteurs. Nous verrons aussi quels sont les principaux composés chimiques –on les appelle des neurotransmetteurs– qui assurent la transmission d’un signal d’un neurone à un autre, et quels sont les récepteurs sur lesquels ces composés agissent. Dans la dernière partie de ce chapitre, nous aborderons les bases neuronales de l’apprentissage, autrement dit la faculté des synapses à s’adapter en réponse à l’expérience d’un organisme. 5.1 Un messager chimique

cellulaire A. Mitose B. Méiose 2. Différentiation cellulaire 3. La notion de tissu 4. Types et structures des cellules A. membrane plasmique B. organites C. éléments figurés du sang 5. Hémostase 6. La communication intercellulaire 7. Récepteurs et médiateurs 8.Cellules excitables A. Neurone et la transmission synaptique B. Contraction musculaire 1 Les cellules excitables • Caractéristiques des cellules excitables : – variation du potentiel de membrane lors d’un stimulus extracellulaire

_________________________________________________________________________________________________ Les principaux stimuli qui déclenchent des potentiels gradués proviennent de modifications locales de l’environnement (par exemple, activation de récepteurs ou canaux sensibles à la chaleur, la lumière ou la pression osmotique au niveau du système nerveux périphérique). 12. Le potentiel gradué, de part sa nature locale et sa faible intensité, ne peut véhiculer une variation du potentiel membranaire

nerf moteur chez le calamar et le tentacule a bougé, il y a une action.Pendant le sommeil lent et paradoxal, l’activité cholinergique est lente. C’est sous l’influence des rythmes circadiens liés au thalamus que cette activité a lieu. RECEPTEURS Ionotrope : récepteur-ligand : ROCMétabotrope : Grâce à une protéine G, fonctionnement associé à un métabolisme cellulaire. Le second messager interviendra sur un canal ionique adjacent pour induire la réponse, ou la cascade de signaux. Si le 2nd messager

LA NEUROTANSMISSION GABAERGIQUE ET GLUTAMATERGIQUE I. Neurotransmission gabaergique A. Le GABA B. Le rôle du GABA C. Le métabolisme du GABA D. Les récepteurs gabaergiques II. La neurotransmission glutamaergique Généralités Ces deux neurotransmissions constituent des cibles de principes actifs: - la neurotransmission gabaergique est la cible d'hypnotiques (qui favorisent le sommeil) et d'anxiolytiques (qui réduisent l'anxiété)

représentent donc les ligands naturels des récepteurs spécifiques. 2) Les récepteurs : Il existe trois sous types de récepteurs définis en fonction des agonistes capables de les activer : Récepteurs AMPA (Acide Amino 3, Hydroxy 5, Methyl 4, Isoxazole propionique). Récepteurs KA (Kainate). Récepteurs NMDA (N methyl, D aspartate). Ces récepteurs sont dits ionotropes (liés à un transport d’ions). C'est-à-dire qu’ils agissent sur des courants ioniques. Les récepteurs AMPA et KA permettent préférentiellement

2011/2012 PLAN ¢  Exercices —  —  —  —  —  de Bio-informatique Exercice 1 : Séquence mystère Exercice 2 : Séquence inconnue Exercice 3 : Séquence connue Exercice 4 : Recherche d’amibes pathogènes Exercice 5 : Étude comparative des récepteurs nicotiniques neuronaux et musculaires de l’acétylcholine Exercice 1 Exercice 2 Exercice 3 Exercice 4 Exercice 5 l’ADN trouvé dans mon jardin de séquence nucléotique: tcatacatcaactacaactccaaagacacc ! a été rechercher dans la base

Ca2+ Ca2+ Ca2+ Eloignement de la vague calcique de son point de départ, Activation des mécanismes de réduction [Ca2+] aprés passage “Ca2+-induced Ca2+ release” Ca2+ 2- les muscles squelettiques 2.5 bases moléculaires, résumé. Le Récepteur Ryanodine (RyR) Ryanodine – alcaloïde végétal Stimulé par la cafeïne 4 SU de 560 kDa Nombre Variable de domaines transmembraires (4-10) Domaine N-terminal cytosolique 3 gènes Ryanodine Ryr1 – muscle squelettique Ryr2 –muscle cardiaque Ryr3