Récit originel

et de « flèches ». Il parle de « campagnes riantes », mais la vision est en réalité négative puisqu’il parle de « sueur des hommes ». Enfin, les hommes ont été « civilisé[s] » mais ont « perdu le genre humain ». Modalités verbales _ Passé simple : récit sommaire de l’évolution de l’humanité. Situation initiale : les sauvages vivaient bien. Élément perturbateur : la civilisation. Situation finale : l’homme est perverti. Passé composé : passé moins lointain, qui a des conséquences dans le présent. Présent

dialogue de sourds, à un colloque sentimental inabouti (II). Ce non-dit latent au fil de l'exposé naif n'est pas le moindre des plaisirs que nous ressentons à la lecture : le lecteur entrevoit une autre histoire, celle de la jeune femme, derrière le récit du poète. (III) I - Un jardin d'Eden a - Un cadre idyllique : une nature qui semble douée d'une conscience bienveillante et folâtre ; voir le merle et le rossignol, symbolisant respectivement le jeune homme et la jeune femme, communiquant avec

Rabelais Introduction : François Rabelais appartient au courant humaniste qui apparaît au 16ème siècle. Dans ses deux livres Pantagruel et Gargantua, il comte les aventures romanesques de ses héros, qui sont père et fils. Cependant, à côté des récits, ce sont surtout des ouvrages à valeurs humanistes. Il expose dans ces deux œuvres ses nouvelles idées et prône la réforme de nombreuses valeurs. Dans cet extrait, il décrit la vie et les activités à l’abbaye, dont le nom signifie désir en grec. Elle

se déplacer, d’aller vite était finalement limitée. I - Une culture de la lenteur. a - Un rapport organique à l’espace et à sa mesure. Référence bibliographique : Daniel Roche, Humeurs vagabondes, Fayard, Paris. Les gens qui ont laissé des récits de voyages, quand ils racontent leur expérience du mouvement, abordent avec beaucoup d’attention la question des pas. Les voyageurs à cette époque sont des élites. Ils ne cessent de dire qu’ils sont descendus du moyen de locomotion (carrosse, diligence…)

des Rougon-Macquart, lui donnant la parole, elles reconstruisent un univers et se situent, par leur écriture même, aux limites de la fiction. La biographie est un pari stupide. Elle naît de l'histoire et du récit, genres antagonistes. Car si l'histoire se présente avec les qualités du récit, elle perd en précision scientifique, et si elle gagne sur ce plan, le détail risque de tuer la vie. Mais c'est là le charme : toutes les tentatives de traduction de la vie sur papier sont des paris stupides

capable d’échapper à l’expérience de la mort et de la finitude et de devenir tout-puissant. Ces désirs impossibles ne feront que le blesser et augmenteront démesurément son orgueil, outil utilisé pour cacher ses faiblesses et son humiliation. Dans le récit de Dostoïevski, le héros narre : « j’ai toujours été si orgueilleux que, jamais, pour rien au monde, je n’ai voulu le reconnaître devant personne. Cet orgueil, il s’accroissait en moi d’année en année, et si je m’étais autorisé à le reconnaître même

convaincus par le récit de la création de l'univers, tel que la Genèse le présente. Cette version de la création doit être prise littéralement au sujet d'Adam et Eve, des six jours de la création, du déluge etc., et que cela ne doit pas être interprété comme une allégorie. Revenons à Adam et Eve. Selon la bible, Adam est le premier homme créé par Dieu. La Genèse lui donne un âge de 930 ans à sa mort. Il est accompagné d’Eve créée à partir de la côte d’Adam. Ce couple entraîne le péché originel et est expulsé

loisir comme divertissement, comment le loisir va-t-il donner un sens à notre existence ? Dans quelle mesure faut-il distinguer travail et loisir ?   ​Récits mythiques et religieux tentent d’expliquer la nécessité du travail en le présentant comme une malédiction. Dans l’Ancien Testament le travail est présenté comme la conséquence au péché originel d’Adam et Eve. Les ancêtres communs a tous les hommes ont gouté le fruit de l’arbre de la connaissance du bien et du mal en dépit de l’interdiction divine

cacher dans une grotte * Serpent = symbole de satan et celui qui selon le récit de la genèse aurait tenté Ève de manger le fruit défendu. Autour de l’arbre du fruit défendu * Hibou, créature de la nuit, détruit * Des animaux étranges à l’avant (oiseau à trois têtes) qui ont l’air impurs par leur côté sombre, brise l’éclat de la première vue. * Tous ces éléments annoncent le péché originel Après la jouissance du fruit défendu vient le plaisir des sens Ouvert partie centrale :

tuation      a – La tradition     b – La situation     c – L’oralité est créative                Chapitre VI : La problématique du ‘’mythos’’                      1 – Le langage du mythe     a – Approche du mythe     b – Mythes et récits  Mythe et légende  Mythe, récit et ordre  Les dimensions du mythe  c – Le contenu et les fonctions du mythe             a/ Mythe et mise en situation                    ‐  Les modes d’approche                   ‐  Mythe et savoir                   ‐  Vraie ou fausse historicité du mythe