Réfugié

celle-ci aura fait environ 1.25 million de déplacés et de réfugiés.[2] Le Mexique fut ainsi le principal pays d’asile pour les réfugiés guatémaltèques au début des années 1980. Il aura reçu, entre les années 1980 et 1996, environ 200 000 réfugiés, dont seulement 46 000 furent reconnus comme étant de « vrais » réfugiés par le Haut Commissariat aux Réfugiés des Nations Unies (HCR).[3] De cette façon, en ce qui concerne les réfugiés guatémaltèques au Mexique, le HCR a joué un rôle très important

Les camps de réfugiés Les camps de réfugiés abritent plus d'un million de personnes, certains camps de réfugiés étant contrôlés par les génocidaires du Rwanda. La moitié des victimes du conflit sont des enfants de moins de 5 ans. UNIHCR : l'Agence des Nations Unies pour les réfugiés Les tensions ont entraînes le retour de la violence dans l'est et le nord-est de la République démocratique du Congo depuis le début de l'année 2012, provoquant le déplacement de plus de 2,2 millions de personnes

Il existe une centaine de zones d'attente ainsi qu'une trentaine de centres administratifs pour les « retenus ». Il distingue les « refuges auto-installés et auto-organisés », les centres de tri, les camps de réfugiés et les camps de déplacés interne. Il donne l'exemple d'un camp de réfugiés en Afrique qui commence par une tente, puis autour se construisent des cases et des huttes dans un environnement plus ou moins isolé, et finalement les tentes sont retirées. Ensuite est mis en place, l'approvisionnement

exode massif, des familles entières partent pour des camps de réfugiés installé dans les pays frontalier, par exemple, le camp de réfugiés de Dadaab situé au Kenya voit arriver massivement des réfugiés somaliens. Prévu pour accueillir 90.000 personnes, il en compte actuellement presque 400.000 la surpopulation et le manque de nourriture d’eau et d’abris décents dans les camps du nord-est du Kenya est telle que nombreux réfugiés ayant fui les combats en Somalie envisagent de retourner dans les

nouvelle guerre, de nouveaux morts… Elle symbolise une future entente entre ces deux pays. 5. Qu’elle solution la SDN imagine-t-elle pour régler le problème des réfugiés apatrides ? La SDN imagine une solution pour régler le problème des réfugiés apatrides qui est : de crée le « passeport Nansen » (créé en 1922 par le commissaire aux réfugiés de la SDN Freidtjof Nansen) qui permettra à des dizaines de millier d’apatrides de circuler librement dans les pays constituant la SDN.

l’histoire d’un jeune palestinien se nommant Mahmoud Abu Srour. Il a 22 ans et il est vendeur dans une épicerie familiale. Il passe le temps en se consacrant à ses deux passions; la lecture et les dessins. Mahmoud habite en Cisjordanie dans le camp de réfugiés d’Aïda. La Cisjordanie est cernée par un mur presque infranchissable de 700 kilomètres de long. Mahmoud fait partie de ses personnes qui sont prisonnières dans leur propre pays. Pour apaiser cette souffrance, il fait la rencontre de Audrey, une jeune

La guerre des six jours, du 5 au 11 juin 1967, à elle aussi provoquée une forte augmentation du nombre de réfugiés palestiniens. Environ 300 000 Palestiniens supplémentaires ont dû quitter leur terre. Tous ces palestiniens quittent leur foyer dans le but de fuir la misère et l’armée israélienne qui les chassent de leur terre. Des milliers de Palestiniens tentent de se réfugier en Cisjordanie, dans la Bande de Gaza, ou encore dans les pays voisins, où ils sont désormais réduits à vivre dans

n’a-t-elle pas quitté le Vietnam communiste avec d’autres boat people en 1978 à l’âge de dix ans ? N’a-t-elle pas été ballotée trois années durant, jusqu’au vomissement sur le Golfe de Siam et trempée jusqu’aux os sous la tente trouée d’un camp de réfugiés en Malaisie ? Par la suite, plus au calme et au sec, sédentarisée à Granby à mi-chemin entre Montréal et Sherbrooke malgré l’éternel mouvement qui anime les gens-bateaux (traduction littérale de boat-people), elle a refait sa vie, eu deux enfants

du groupe de résistance al Fatah. Ce groupe gagne le contrôle de l'Organisation de Libération de la Palestine (OLP). Il devient le président de son comité exécutif en 1969. Dans sa base à Beyrouth, au Liban, l'OLP fournit des services sociaux aux réfugiés palestiniens, en même temps qu'elle arme et organise les groupes de « résistants » (ou « terroristes » selon le point de vue des Israéliens) qui lancent des attaques incessantes sur Israël. Sa présence au Liban, ainsi que celle de l'OLP, se

l'artiste s'était fait remarquer par ses oeuvres engagées. Lors de la révolution tunisienne, il avait notamment peint les victimes des affrontements entre manifestants et forces de l'ordre. Il avait également séjourné pendant un mois dans le camp de réfugiés de Choucha, à la frontière libyenne, en prenant de nombreuses photos. Le Monde Magazine avait consacré en juin 2011 un reportage à ses dessins représentant «les visages de la révolution». Les enquêteurs ont mis plusieurs mois à l'identifier. Les