Régicide

« premier peintre » (peintre officiel) de Napoléon Ier. Devenu partisan de Bonaparte, ce dernier l’admirant beaucoup, lui confie la réalisation de plusieurs compositions dont le portrait de son sacre. Sous la Restauration, son passé de révolutionnaire régicide et d'artiste impérial lui vaut d'être exilé. Il se réfugie à Bruxelles et continue jusqu'à sa mort en 1825 son activité artistique. Il fut un peintre extrêmement réputé de son vivant. Il est considéré comme le chef de file de l’École néoclassique

est condamnée. Elle ne condamne pas l'individu à la mort « médicale ». L'individu mort civilement n'a plus de droit juridique mais est toujours en vie. De tout temps la peine de mort a été appliquée en France (Ravaillac condamné le 27 mai 1610pour régicide)puis été abolie en 1981 sous le gouvernement de Mitterrand. De grands criminels ont subi la peine capitale: Emile Buisson (l’ennemi public n°1), Ali Ben Yanes, Christian Ranucci, Hamida Djandoubi qui est le dernier prisonnier français exécuté …

République (en langue vulgaire), Bodin tente de restaurer la théorie monarchique contre le pragmatisme philosophique (Etat fondé sur la force) et les Monarchomaques (adversaires du pouvoir royal qui prônent le droit de résistance, de tyrannicide, voire de régicide/ Théodore de Bèze, Hotman). Il utilise la méthode historique (rejette la scholastique et l'utopique), surtout l'histoire constit. des principaux Etats européens. L'apport de Bodin (héritier de la pensée philo. antique) : définition de l'Etat, concept

anglais : « l’équipage, tout français et de matelots déserteurs était composé d’officiers émigrés et de matelots déserteurs…ils avaient le triple fanatisme du navire, de l’épée et du roi » Il montre l’intransigeance de Lanternac : « tu es pour les régicides contre le trône, tu es pour les impies contre l’Eglise. Tu ôtes à Dieu sa dernière ressource. Parce que je ne serai point là, moi qui représente le roi, les hameaux vont continuer de brûler, les familles de pleurer, les prêtres de saigner, la Bretagne

rapidement le peintre officiel de l’Empire. Le tableau consacré au sacre de Napoléon couronne l’œuvre de David au service de l’empereur.Après la chute de Napoléon, David est proscrit de France par une loi de 1816 : il est en effet considéré comme « régicide » puisqu’il a voté la mort de Louis XVI. Il part pour Bruxelles et continue à peindre essentiellement des tableaux mythologiques, le dernier étant Mars désarmé par Vénus et les Grâces (1824), de dimensions impressionnantes (3,08 m × 2,65 m).David

commanditaire du Serment des Horaces. Il se prend par la suite d'admiration pour Napoléon, et réalisera sa plus célèbre composition Le Sacre de Napoléon. Sous la Restauration (retour d'un roi à la tête de la France), son passé de révolutionnaire régicide et d'artiste impérial lui impose l'exil à Bruxelles, en Belgique. Son œuvre, importante par le nombre, est exposée dans la plupart des musées d'Europe, des Etats Unis, et pour une grande partie au musée du Louvre. Elle est constituée principalement

unique a. Solitude i. C’est un monologue, il est donc seul, et il parle seul ii. Il est aveugle, donc ne pourra plus jamais voir personne iii. Pas d’adjuvants, et seul a assumer les conséquences de son crime. b. Crimes uniques i. Crimes : parricide, régicide, inceste ii. Champ lexical possessif « mon » (l.3), « ma »(l.4), « mes »(l.6)  caractère intime de ses victimes (son père, sa mère, ses enfants) iii. « Même semence » (l.28) : insiste sur le caractère coupable de l’acte d’Œdipe (inceste) c. A crime

énigme qui ne peut être résolue et donne l'adresse au père. A la fin de la pièce, le père est tellement atteint par la folie que lui a causé son rêve qu'il en vient à tuer son fils pour se délivrer de ce mystère, il prendra 20 ans de prison pour régicide infanticide et la mère finira par se pendre. Une fin adaptée vue que la pièce est une tragédie. Durant toute la pièce le décor est en accord avec le texte notamment par les immenses tableaux qui illustraient les scènes qui se déroulaient et les

d’un choix qu’il n’a jamais désiré. Les métaphores de l’hydre et de Brute renforcent l’impression d’une volonté supérieure qui impose ce dilemme ; l’hydre en tant qu’animal immortel et fléau éternel et Brute (ou Brutus) figure éternelle du vengeur régicide. 3- la fatalité Seul le destin est responsable de cette situation : notons l’expressivité des phrases exclamatives « mais quoi ! Toujours des supplices ! » qui mettent en valeur la pérennité de cette situation. Les formes emphatiques « mille

d'apostrophes et d'imprécations, ce qui nous fais éprouver de la crainte avec le meurtre et la folie d'Oreste mais aussi de la pitié pour celui-ci qui a perdu Hermione, celle qu'il aime. Oreste est donc un criminel qui a commis un matricide et un régicide, mais est tout d'abord une victime des dieux qui ne peut échapper à sa destinée. Enfin, nous pouvons voir dans le texte certains aspects surnaturels et monstrueux. En effet, Oreste a des hallucinations et il croit voir Pyrrhus et Hermione alors