Régiment de marche

Séance 7: Analyse linéaire n°1 Extrait étudié : de « Il montait lentement les marches » à « par quelque invité de son ami » (I,2, p.32-33) Comment l'écrivain met en scène le personnage principal, celui autour duquel tourne tous les événements du roman ? Contexte : Le passage est situé au Chapitre 2 de la Première Partie du roman : – Georges Duroy se rend au dîner auquel l'a invité son ami le journaliste Forestier pour le présenter au directeur du journal La Vie Française

conduite courageuse pendant la Grande Guerre. C’est un homme âgé aux cheveux gris coupés courts, à la moustache soignée et aux grands yeux gris-bleu fanés par les années. Se rendant compte que son épouse le trompe avec Arthur Richmond, officier de son régiment, il envoie ce dernier en reconnaissance et celui-ci se fait tuer par l’ennemi. Il est invité par Mr Owen pour évoquer, avec des amis de longue date, le bon vieux temps sur l’île du nègre. John Macarthur se fait tuer par le juge Wargrave d’une fracture

1876 à Little Big Horn, dans un affrontement entre le septième de cavalerie et une union de tribus sioux et cheyennes. Les Indiens perdirent 26 hommes, contre plus de 200 pour les tuniques bleues. Le général George Armstrong Custer, commandant le régiment, y trouva également la mort. Ce fut la dernière victoire des cavaliers de la plaine. ------------------------------------------------- ------------------------------------------------- ------------------------------------------------- La

principal qui se nomme Georges Duroy. C’est un ancien sous officié récemment employé dans les Chemins de fer du Nord. Il est peu fortuné et rêve de mener une vie parisienne sans problèmes. Un soir lors d’une promenade il rencontre un ex-camarade de régiment qui désormais travaille dans un

sujette à confrontation (Bodin, Héas, 2002). Une confrontation qui se vit de manière différente, même opposée selon l’école. A l’EMIA où les élèves sont très majoritairement, pour ne pas dire exclusivement, des jeunes sous-officiers ayant un vécu en régiment, les rapports sociaux de sexe ne sont pas source de difficultés relationnelles, à l’instar de ce que nous résume empiriquement ce sous-officier ayant une bonne partie de sa carrière militaire derrière lui à propos des élèves de l’EMIA qu’il encadre

rencontrer des amis?). - que les buts sont évolutifs, et qu’une organisation ayant un certain passé, peut être vue comme étant un outil… à la recherche constante de ses propres buts (une entreprise cherche à survivre, quitte à changer de créneau de marché). Ce débat sur les buts d’une organisation est évidemment essentiel. Mais compte tenu de la pluralité des buts, il n’est possible d’évaluer l’efficacité d’une organisation qu’en référence à une catégorie de buts déterminée (buts financiers, administratifs

uniforme vert, à Floriane . Floriane ne se laissa pas prier très longtemps et acceptât la proposition du jeune homme. Après lui avoir remit le parfum, le jeune soldat se présenta à Floriane : «Je m'appelle Matthäus Pabdorf et je suis un soldat du régiment Allemand Madame!» Avec respect, Floriane , qui n'avait jamais vu de soldat de sa vie, ne savait plus trop quoi lui répondre... Et ils restèrent encore quelques minutes à se regarder. Pas un regard comme les autres, pas comme ceux que les jeunes

au poids des Juifs dans le mouvement. Hitler incarne ainsi la vague d'antisémitisme qui traverse l'Autriche d'avant-guerre. Il part pour l’Allemagne à 24 ans et s’installe à Munich. La guerre de 1914 déclarée, il s’enrôle volontairement dans le régiment allemand de la Bavière. Il est nommé caporal. Blessé, il guérit et retourne au front en mars 1917. Il est décoré par la suite de la Croix de Fer, 1re classe, décoration rarement accordée à un fantassin. Remarqué par le capitaine Röhm, pour son

de replonger là-dedans. Mais vous ne vous êtes pas laissé abattre... On nous avait dit qu’on rejoindrait nos parents dix ou quinze jours plus tard, mais je n’y croyais plus. Déjà, un officier avait donné sa parole à mon père, engagé dans le 3e régiment étranger, que nous ne quitterions pas le pays. Le soir, j’ai décidé de m’évader. L’instinct de survie me guidait. Me sentant très fragile, je me suis mis en quête d’un copain, un grand : j’ai rencontré Joseph Kogan. Et, le lendemain, nous avons profité

remords, Véra va se pendre dans sa chambre. Qui a donc pu les tuer ? Le mystérieux tuer n’est qu’en fait le juge Wargrave. Il avait  pour complice le docteur Amstrong qui a simulé sa mort. Wargrave avait choisi ses victimes et son crime avait marché à la perfection. Ne voulant pas être accusé mais n’ayant plus rien à faire de sa vie de vieux juge, il finit par se suicider. Auparavant, il se confesse sur son geste en envoyant un message dans une bouteille et jeté à la mer, expliquant toute la