Registre sensoriel

l'auteur décrit la machine. Il l'a décrit en disant qu'elle est étrange " avec ses récipients de forme étrange". L'auteur utilise de l'imparfait pour décrire la machine, il y a une personnification " mine sombreé (l 7) Enfin , l'auteur utilise un registre fantastique pour que le lecteur s'interesse ^plus à la lecture. Puis il y a un champ lexical des émotions d'un homme comme morne, puissant , muet et sourdement. En conclusion, cette nouvelle fantastique pose la question de la description d'une

le fait que Rose est simple d’esprit. Elle semble dépassée par l’explication pourtant logique de Follavoine : « Rose, abrutie » (l.42). Elle fait pourtant preuve de bonne volonté : « Voulant avoir compris » (l.45). Le portrait de Rose déclenche un registre pathétique et l’attitude décalée de Follavoine envers cette pauvre femme en fait un être méprisable. 22. un personnage ignorant révélateur de l’ignorance risible de Follavoine L’ignorance de Rose a permis à Follavoine de laisser libre cours à

en criant ». Dans un premier temps, cette scène peut sembler se rattacher à une pièce comique, avec l'indignation grotesque du musicien, dont la familiarité et la brutalité est digne d'une farce (il tutoie le secrétaire du maire, le violente). Ce registre comique est aussi renforcé par la réaction de la foule, « qui se mit à rire ». Cependant, l'intervention du narrateur « le peuple n'est pas charitable ni délicat et tous les yeux se sont tournés vers cette pauvre femme » change la tonalité de l'extrait

divers registres littéraires (registre pathétique chez Hugo, registre comique chez Molière, tragique pour Racine.). • Valeur poétique du texte de théâtre. (travail sur le style, les images, voire sur le vers...) Un texte est littéraire quand il possède une dimension esthétique car il y a un travail sur la forme, la langue, le style. Ex tragédies du 17°en vers, véritables «poèmes dramatiques» à étudier en tant que tels. Le texte théâtral// textes littéraires s’inscrit dans un registre (tragique

qu’un être innocent dénué de conscience. Différents registres sont présents dans la tirade, d’abord le registre tragique qui émeut le lecteur, il se traduit par un Champs lexical de la mort «  Expirer, trépas, sang, périr, crime, meurs, le fer, souffrir » Andromaque est face à un dilemme sans issus, tragique. Néanmoins on retrouve également dans le texte un autre registre, le registre lyrique élégiaque, en effet le rythme est très prononcer, la tirade est composé de

premier temps, une scéne où Le Compte Almaviva exprime ses sentiments personnelle. Cette première scène est sérieuse et parlée, et le registre est plutôt lyrique. Puis nous avons une deuxième scène qui présente Figaro un personnage qui a comme plaisir le vin et la paresse. Cette deuxième scéne, contrairement a la première est chantée et moins sérieuse, et le registre est plutôt comique. Malgrès toute ces différences entre ces deux personnages, une certaine complicité les unients.

Registre tragique , lyrisme…. Expressions de phèdre , (cris ) , bcp de tristesse , termes utilisé qui relève du tragique Ainsi les dieux sont présents dans la pièce et confèrent une aura tragique au personnage de Phèdre. Il y a sur elle une malédiction divine qui crée la fatalité sous le signe du sang, des amours défendues et maudites et pour finir de la mort. D’ailleurs Phèdre sait que l’univers qui l’entoure est habité de forces agissant pour son propre malheur  Ce feu qui brûle son corps

Problématiques possibles * En quoi la scène étudiée constitue-t-elle une scène d’acmée ? * Quels sont les arguments, les valeurs promues, et les sentiments des deux personnages ? * Analysez la structure du passage. * Etudiez les registres utilisés dans le passage. * En quoi cette scène est-elle classique ? * Etudiez la versification et la musicalité du texte. 4) Etude de l’extrait * L’argumentation * Bérénice : elle utilise la persuasion en jouant sur

des créancier, le fripier. Le chantage de Thénardier sur la santé de l ‘enfant de Fantine. 2- Les effets produits sur le lecteur par la description de la déchéance : V.H. entend frapper le lecteur. Il veut montrer, en faisant appel à un registre pathétique, la misère dans laquelle est en train de sombrer le personnage. Un vocabulaire de la déchéance et de la misère : « loque, dépaillée, desséché, oublié, sales, vieux, usé, calicot… » Une déchéance exprimée par des parallélismes

faire à un récit donc il convient de montrer les caractéristiques du récit, car au file de la lecture on s’attachera à l’étude du discours. Cet extrait de Guy de Maupassant interpellant le lecteur avec son titre La Main d’écorché renvoie ainsi au registre fantastique. L’organisation et la longueur des deux parties montrent que le narrateur laisse une plus grande place au discours qu’au récit, qui d’écrit totalement « la main d’écorché »l1 où l’ont peut relever d’entrée une accumulation «  L1 […] il