Registres Paroissiaux

énigmatique. Le mystère s’amplifie lorsque le protagoniste découvre, en même temps que le lecteur, un ravin “ plein de milliers et de milliers d’autres caisses identiques “ (l.10) après avoir poursuivie l’étranger. Le récit s’inscrit dans un registre fantastique lorsque Kazirra entreprend d’ouvrir une des caisse et y découvre une de ses journée perdue : “ A l’intérieur, il y avait une route d’automne, et au fond Graziella, sa fiancée qui s’en allait pour toujours . “ (l.24-25) A la fin du récit

voiles. Parfois on devine qu'un mouvement ou qu'une ombre. Le décor est fait de paroi percée de portes ou des projections vidéo en fond de scène. Ça illustrent les différents genres que le metteur en scène voit dans la pièce de Corneille, un registre fantastique au premier acte. Le deuxième, troisième, quatrième actes se déclinent en farce une belle comédie romantique jusqu'au drame, alors que le dernier acte est une tragédie. Cette évolution traduit les métamorphoses dont sont victimes chacun

: • • • Par quels aspects ce texte se rattache-t-il à l’esthétique baroque ? par rapport à un registre, ou à l’articulation de plusieurs registres : - Quels sont les éléments susceptibles de susciter le rire dans ce texte, et quelle forme de rire ? Ce texte vous paraît-il devoir susciter le rire ou l’émotion ? Avec un intérêt particulier accordé : • à l’utilisation du genre ou du registre : • Comment l’auteur tire- t-il parti du genre épistolaire pour mettre en valeur l’anecdote racontée

rire ou sourire le lecteur avec de l'humour, de la moquerie, qui sont des éléments du registre comique (c'est un procédé très efficace). Ce procédé créer une relation de complicité: entre l'auteur et le lecteur , et entre le locuteur(celui qui parle) et le destinataire ou l'interlocuteur (personne a qui on s'adresse). Les exemples de personnes rencontrées et qui se plaignent de leur sort font parti du registre pathétique: pour provoquer le pitié, le compassion du lecteur. A.L. Maintient l'attention

CULTURE GENERALE -Extrait choisi «Je me prénomme Octave et m'habille chez APC. Je suis publicitaire: eh oui, je pollue l'univers. Je suis le type qui vous vend de la merde. Qui vous fait rêver de ces choses que vous n'aurez jamais. Ciel toujours bleu, nanas jamais moches, un bonheur parfait, retouché sur PhotoShop. Images léchées, musiques dans le vent. Quand, à force d’économies, vous réussirez à vous payer la bagnole de vos rêves, celle que j’ai shootée dans ma dernière campagne, je l’aurai

vivant de Musset. On pourrait donc se demander comment Musset considérait sa pièce lors de sa publication. Comme un drame romantique ou plutôt comme une tragédie romantique ? On a pu dire que « Lorenzaccio » était une tragédie romantique, car le registre tragique est à la fois, comme l'enjeu de la pièce, individuel et collectif ; c'est à dire que le héros est enfermé dans son destin, condamné à commettre un meurtre qui ne servira à rien et qui entrainera sa mort. Les circonstances de la mort de Lorenzo

une aventure avec Hippolyte comme héros qui braverait tous les dangers de ce départ. On le voit avec l’incursion du registre épique qui reste cependant dominé par le tragique. Pour le montrer on a l’adjectif « noble » qui montre la dignité propre au héros ou encore le registre de langue assez soutenu : « ardeur » ; « coursiers »….. Cependant, ce qui fait le plus ressortir ce registre, c’est l’affrontement du héros avec le monstre marin, référence à Neptune, le dieu marin invoqué par Thésée. On y retrouve

prendre la parole. Son « Discours sur la misère » est rapporté dans cet extrait. Dans un premier temps, nous étudieront le registre pathétique utilisé par Victor Hugo pour dresser l’état des lieux alarmant, puis dans un second temps, nous verrons en quoi ce constat soulève une polémique au sein de l’assemblée. Dans son discours sur la misère, Victor Hugo utilise le registre pathétique afin d’établir un état des lieux plus qu’alarmant sur la misère en France au XIXème siècle. En effet, l’auteur

conscience du jeu de ce dernier avec les femmes. Nous dégagerons donc deux parties distinctes, tout d’abord Elvire une femme trahis puis dans un second temps une femme en quête de vengeance I. Elvire une femme trahis. * Utilisation du registre lyrique dramatique et pathétique. * Elvire consciente de sa naïveté passée : «  refusais de croire » * Utilisation d’antithèses pour montrer sa stupéfaction : « la faiblesse …. Confirmait » * Elle utilise l’ironie pour essayer de dédramatiser

paraitre sérieuse et ferme envers son mari qui lui, adopte une attitude nonchalante, moqueuse «  Hugo se mettant à rire », et qui interprète les propos de sa femme de la mauvaise manière. Le lecteur est donc témoins d’une entrée dans le registre comique, registre antagoniste à celui de base, et on vient à considérer la dérision d’Hugo comme un possible moyen de se protéger. On peut alors aussi parler de projet argumentatif pour Hugo, car même si il n’explique pas clairement ses arguments, il adopte