Registres Paroissiaux

premier temps, une scéne où Le Compte Almaviva exprime ses sentiments personnelle. Cette première scène est sérieuse et parlée, et le registre est plutôt lyrique. Puis nous avons une deuxième scène qui présente Figaro un personnage qui a comme plaisir le vin et la paresse. Cette deuxième scéne, contrairement a la première est chantée et moins sérieuse, et le registre est plutôt comique. Malgrès toute ces différences entre ces deux personnages, une certaine complicité les unients.

Registre tragique , lyrisme…. Expressions de phèdre , (cris ) , bcp de tristesse , termes utilisé qui relève du tragique Ainsi les dieux sont présents dans la pièce et confèrent une aura tragique au personnage de Phèdre. Il y a sur elle une malédiction divine qui crée la fatalité sous le signe du sang, des amours défendues et maudites et pour finir de la mort. D’ailleurs Phèdre sait que l’univers qui l’entoure est habité de forces agissant pour son propre malheur  Ce feu qui brûle son corps

Problématiques possibles * En quoi la scène étudiée constitue-t-elle une scène d’acmée ? * Quels sont les arguments, les valeurs promues, et les sentiments des deux personnages ? * Analysez la structure du passage. * Etudiez les registres utilisés dans le passage. * En quoi cette scène est-elle classique ? * Etudiez la versification et la musicalité du texte. 4) Etude de l’extrait * L’argumentation * Bérénice : elle utilise la persuasion en jouant sur

des créancier, le fripier. Le chantage de Thénardier sur la santé de l ‘enfant de Fantine. 2- Les effets produits sur le lecteur par la description de la déchéance : V.H. entend frapper le lecteur. Il veut montrer, en faisant appel à un registre pathétique, la misère dans laquelle est en train de sombrer le personnage. Un vocabulaire de la déchéance et de la misère : « loque, dépaillée, desséché, oublié, sales, vieux, usé, calicot… » Une déchéance exprimée par des parallélismes

faire à un récit donc il convient de montrer les caractéristiques du récit, car au file de la lecture on s’attachera à l’étude du discours. Cet extrait de Guy de Maupassant interpellant le lecteur avec son titre La Main d’écorché renvoie ainsi au registre fantastique. L’organisation et la longueur des deux parties montrent que le narrateur laisse une plus grande place au discours qu’au récit, qui d’écrit totalement « la main d’écorché »l1 où l’ont peut relever d’entrée une accumulation «  L1 […] il

joyeux et les enfants qui travaillent. Les mots à la fin des vers sont des mots qui montrent éléments révoltants du travail des enfants : « crétin », « serre », « misère », « outil », « maudit », « blasphème ». Le poète a très souvent recours au registre pathétique dans la description des enfants pour sensibiliser le lecteur aux réalités du travail des enfants. Dans ces descriptions et dans l’utilisation des termes renvoyant à la maladie, on voit l’injustice de ce type de travail et la destruction

familiaux) qui est entraînée au fur et à mesure de la dégradation de Gregor ; le père à l'origine faible et somnolent devient vigoureux, tandis que la sœur affectueuse au départ participe ensuite au rejet de Gregor. A un premier niveau de lecture : registre fantastique : on a à la fois un cadre réaliste : personnages, entourage social, importance du mariage et à la fois des éléments surnaturels: la métamorphose. Sous ses apparences fantastiques, La métamorphose en réalité échappe au genre fantastique

Le locuteur montre qu’il est outré, choqué et souligne la gravité de la situation.(a)  Adverbes d’intensité (modalisateur)  « tant de » répété plusieurs fois          Textuels            Registres      Registre polémique    L’auteur montre son indignation et critique violemment la tyrannie.(a)  Registre pathétique    L’auteur suscite la pitié pour faire réaliser l’absurdité de la situation.(a)  Enchaînement du texte  Du Début à « vous‐même ? »  Constat révolté que les personnes sont responsables de leur soumission

sur tous les esclaves. De plus, Voltaire utilise une périphrase «  Fétiches hollandais » qui désigne les missionaires. Il utilise aussi l'ironie, grâce à l'allitération comique du nom «  Venderdendur » = vendeur dent dur. L'auteur utilise aussi le registre pathétique on le remarque avec l'utilisation de phrases expressives comme « Eh ! Mon dieu ! » et par l'utilisation du vocabulaire du sentiment et de la douleur « pauvre homme » « l'état horrible » qui permet d’appuyer la dénonciation de Voltaire

face à une tradition qui, après avoir distingué les genres, tragiques et comiques, au moins en les fondant dans le drame, a séparé les « tonalités » (faire rire ou émouvoir, alternativement), cette dramaturgie ne sépare plus nettement le registre comique et le registre tragique, les rend non seulement peu séparables mais même quasi équivalents… Pour neutraliser l’effet encore intact d’étrangeté de ce théâtre, on a brandi la notion d’« absurd » comme si on retrouvait le questionnement existentiel de Camus