Reguler La Masse Monetaire

personnel. D’où : l’autorité publique doit fixer et réguler le taux d’intérêt. Concernant la monnaie, d’Aquin dégage deux grandes fonctions : * Instrument de transaction * Unité de compte (=elle mesure la valeur d’un bien par rapport à un autre) Rq : Aristote déjà donnait à la monnaie 3 fonctions : unité de compte, réserve de valeur, et intermédiaire des échanges. D’Aquin relève également qu’il est difficile d’appliquer une politique monétaire car : * Existence d’un mauvaise monnaie (*)

organisés grâce aux facteurs démographiques (retraités), sociaux et culturels (ouverture et influence des médias, besoins d'échange et de dépaysement) grâce aux perturbations monétaires (Franc fort des années 1990) pour le toursime d'affaires et les voyages d'études, l'impact de la mondialisation est important. 1.3 Un phénomène de masse : un tourisme organisé et des infrastructures modernes. Apparition des charters à la fin des années 1960 ainsi que des grands distributeurs de voyages organisés (Neckermann

conjoncture, c’est-à-dire sur l’état de l’économie à court terme, en jouant sur les différents indicateurs du carré magique cités ci-dessus. On distingue principalement 2 types de politiques conjoncturelles : la politique budgétaire et la politique monétaire. En situation de sous-emploi, la relance de l’économie nécessite donc l’intervention de la puissance publique. L’État a alors un rôle de stimulateur de l’activité économique afin de relancer la croissance dans une approche macroéconomique, c’est-à-dire

Chapitre 17 : La monnaie Référentiel : • Création monétaire et politiques monétaires • Formes et fonctions de la monnaie • Processus de création monétaire • La masse monétaire et ses contreparties • Les grandes théories de la monnaie (quantitative, keynésienne, monétariste) • Les outils de la politique monétaire et le rôle d’une BC « La monnaie est dans l’Etat ce que le sang est dans le corps humain ; sans l’un on ne saurait vivre, sans l’autre on ne saurait agir » John Law

la liquidité des marchés financiers et notamment du marché interbancaire, chose qui n’avait pas été envisagée en 1929 : le marché devant se réguler seul ! Par ailleurs, par une politique de taux bas, elles contribuent aujourd’hui à la relance de l’économie et vont même parfois plus loin en prenant des mesures non conventionnelles (création de masse monétaire) comme le fait la FED actuellement. Toutes ces réponses étatiques ne doivent cependant pas nous faire oublier que les tentations protectionnistes

des dépenses publiques et du solde budgétaire joue aujourd’hui un rôle prépondérant dans l’organisation et la gestion de la politique économique et sociale. Les instruments de cette politique économique évoluent au fil des années en France pour réguler au mieux l’activité économique face à la crise. Comment expliquer que les dépenses publiques de l’état Français soient supérieures aux recettes fiscales depuis les années 1970 alors que d’autres pays européens sont arrivés à équilibrer leurs comptes

années 1980. REAGAN a accepté un très gros déficit budgétaire, ce qui a permis une reprise économique assez rapide. On peut presque dire que cette politique aurait pu être menée par les keynésiens. Au début des années 1980 est engagée une politique monétaire très rigoureuse, et une politique budgétaire laxiste : c’est un exemple de policy mix. Cela entraîne la croissance d’autres régions du monde par les exportations. Certains pays sont contraints par leurs déséquilibres. La reprise en Euripe se fait

courants de pensée : ⇨ le courant classique (= libéral). Il fait confiance au mécanisme des prix pour maintenir tous les marchés équilibrés, et ce dans tous les cas. ⇨ Le courant keynésien. Selon lui, il faut une intervention de l’Etat afin de réguler les marchés, et ainsi éviter chômage, inflation… Pour une « économie humaine » La seule finalité légitime de l’économie est le bien-être des hommes, ie la satisfaction de tous leurs besoins. L’économie humaine prend donc en compte le don

- Appréciations : Année universitaire : 2013-2014 Plan I. Definition de concepts a) System monétaire international b) Taux de change c) Marché de change II. Les regimes de change a) La typologie de regimes de change b) Le choix de régime de change III. La politique de change en taux flottant a) Les intervenants b) Les impacts

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