Relation Maitre Valet Vainqueur

bien entendu, je les dévorai. Mon intention n’est pas de faire ici une analyse de ce curieux ouvrage, et je me contenterai d’y renvoyer ceux de mes lecteurs qui apprécient les tableaux d’époques. Ils y trouveront des portraits crayonnés de main de maître ; et, quoique les esquisses soient, pour la plupart du temps, tracées sur des portes de caserne et sur des murs de cabaret, ils n’y reconnaîtront pas moins, aussi ressemblantes que dans l’histoire de M. Anquetil, les images de Louis XIII, d’Anne d’Autriche

bien entendu, je les dévorai. Mon intention n’est pas de faire ici une analyse de ce curieux ouvrage, et je me contenterai d’y renvoyer ceux de mes lecteurs qui apprécient les tableaux d’époques. Ils y trouveront des portraits crayonnés de main de maître ; et, quoique les esquisses soient, pour la plupart du temps, tracées sur des portes de caserne et sur des murs de cabaret, ils n’y reconnaîtront pas moins, aussi ressemblantes que dans l’histoire de M. Anquetil, les images de Louis XIII, d’Anne d’Autriche

75 28 28 www.tvsud.fr Maître de stage : Franck CHASSAGNON Tuteur de stage : Serge HELIES Période : 28 Février au 29 Avril 2011 REMERCIEMENTS Je remercie les membres de TV SUD Camargue Cévennes pour leur chaleureux accueil, pour les connaissances qu’ils m’ont apportées et pour la confiance qu’ils m’ont accordé tout au long du stage. Je tiens particulièrement à exprimer ma reconnaissance à l’équipe de la rédaction, Franck Chassagnon, rédacteur en chef et maître de stage, et aux journalistes

bien entendu, je les dévorai. Mon intention n’est pas de faire ici une analyse de ce curieux ouvrage, et je me contenterai d’y renvoyer ceux de mes lecteurs qui apprécient les tableaux d’époques. Ils y trouveront des portraits crayonnés de main de maître ; et, quoique les esquisses soient, pour la plupart du temps, tracées sur des portes de caserne et sur des murs de cabaret, ils n’y reconnaîtront pas moins, aussi ressemblantes que dans l’histoire de M. Anquetil, les images de Louis XIII, d’Anne d’Autriche

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c'est qu'un Dieu : et sans pouvoir imaginer que l'État voisin n'eût pas comme lui un protecteur véritable. Car comment penser, lorsqu'on avait un Seigneur, que les autres n'en eussent pas aussi ? Il s'agissait seulement de savoir lequel de tant de Maîtres, de Seigneurs, de Dieux, l'emporterait, quand les nations combattraient les unes contre les autres. Ce fut là, sans doute, l'origine de cette opinion si généralement et si longtemps répandue, que chaque peuple était réellement protégé par la divinité

bien entendu, je les dévorai. Mon intention n’est pas de faire ici une analyse de ce curieux ouvrage, et je me contenterai d’y renvoyer ceux de mes lecteurs qui apprécient les tableaux d’époques. Ils y trouveront des portraits crayonnés de main de maître ; et, quoique les esquisses soient, pour la plupart du temps, tracées sur des portes de caserne et sur des murs de cabaret, ils n’y reconnaîtront pas moins, aussi ressemblantes que dans l’histoire de M. Anquetil, les images de Louis XIII, d’Anne

bien entendu, je les dévorai. Mon intention n’est pas de faire ici une analyse de ce curieux ouvrage, et je me contenterai d’y renvoyer ceux de mes lecteurs qui apprécient les tableaux d’époques. Ils y trouveront des portraits crayonnés de main de maître ; et, quoique les esquisses soient, pour la plupart du temps, tracées sur des portes de caserne et sur des murs de cabaret, ils n’y reconnaîtront pas moins, aussi ressemblantes que dans l’histoire de M. Anquetil, les images de Louis XIII, d’Anne d’Autriche