Relations Maitres Servant

choses qui lui paraissent indispensables à sa condition de gentilhomme. Il courtise Dorimène, amenée sous son toit par son amant, un comte autoritaire, qui entend bien profiter de la naïveté de M. Jourdain et de Dorimène. Sa femme et Nicole, sa servante, se moquent de lui, puis s'inquiètent de le voir aussi envieux, et tentent de le ramener à la réalité du prochain mariage de sa fille Lucile avec Cléonte. Mais ce dernier n'étant pas gentilhomme, M. Jourdain refuse cette union. Cléonte décide alors

phrase est en effet polémique, car elle va à l'encontre de ce que pense la communauté mais il ne se contente pas juste de dire le contraire de ce que pensent les gens. Il explique d'ailleurs qu'il ne suffit pas juste de dire que l'homme doit devenir maître de la machine au lieu de se faire diriger par elle pour prouver son idée. Il explique qu'il faut avoir conscience et comprendre que si c'est la machine qui asservit l'homme, c'est parce que l'homme dégrade la machine en faisant d'elle une esclave

appliquent au roman les méthodes expérimentales, notamment de la médecine. Maupassant est associé au naturalisme, mais il a toujours refusé d’appartenir à un mouvement. Il participe cependant au recueil des Soirées de Médan, mais d’un autre côté, son maître est Flaubert. Maupassant n’est pas impartial ni détaché, il est pessimiste et le hasard pour lui joue un grand rôle dans la vie de ses personnages (il s’éloigne du déterminisme). Plutôt réaliste donc. La bécasse Un vieux chasseur, le baron

vérité à son mari, mais celui-ci ne la crois pas. Finalement, Covielle, le valet de Cléonte, va prendre monsieur Jourdain à son propre piège en faisant passer son maître pour un noble Turc; il organise une cérémonie où Monsieur Jourdain devient mamamouchi (faux titre de noblesse turc). Lucile et Cléonte se marieront, Nicole, la servante de Lucile, et Covielle aussi et Dorante épousera Dorimène. III – Appartenance de la pièce au classicisme En art et en littérature, le terme classicisme désigne

Objet d'étude : Le théâtre, texte et représentation Question : Quelle est la fonction de l'objet dans les trois extraits du corpus ? Introduction nI) L'objet a une fonction dramatique A. L’objet crée des relations entre les personnages. Figaro + Les Bonnes B. L'objet peut supporter et créer une intrigue. Figaro II) L’objet permet aussi de structurer une pièce dans un cadre spatio-temporel A. L'objet dynamise le jeu de scène. Figaro + Ruy Blas B. L’objet permet au lecteur-spectateur

l’aident à mettre en scène son comportement de rouée. Piège de la vanité et jeu constant entre la réalité et l’illusion, glaces et miroirs sont, par ailleurs, partout présents dans les appartements des Grands de la société du XVIIIe siècle. Enfin, moyen servant à la répétition d’une scène de séduction (le libertin ou la libertine apprend son rôle, essaie ses mimiques ou rejoue la comédie d’un sourire, [1b]), le miroir est d’abord solitaire ; c’est celui des premiers apprêts au saut du lit et d’une toilette

dialectique du maître et de l’esclave qu’un renversement de la relation maître à esclave est inévitable puisque le maître est considérablement dépendant du travail de l’esclave. En effet, le maître à l’illusion de la domination sur l’esclave alors que c’est l’esclave qui a du pouvoir puisque c’est lui qui grâce à son travail a une influence sur les êtres et les choses : « Dans le moment qui correspond au désir dans la conscience du maître, ce qui paraît échoir à la conscience servante, c'est le côté

quant à elle, résulte du fait que les exploités adhérent au système de valeurs de ceux qui les exploitent Capital constant : ensemble des moyens de production qui ne fait que transmettre la valeur au produit (travail mort) Capital variable: capital servant à acheter la force de travail (travail vivant), source de plus-value Composition organique du capital : rapport du capital constant au capital variable Exploitation : pour Marx, il s'agit d'un rapport entre les groupes sociaux. Un groupe s'approprie

générationnel qui règne entre les enfants et les parents en plus de la « guerre des clans » entre les deux familles. Ici, la répartition des rôles relève d’un parti pris du metteur en scène qui cherche à « éclairer » cet aspect de la pièce pour la mettre en relation avec la vision qu’il a de la société actuelle. En prenant l’exemple de la mise en scène de Philippe Adrien des Chaises d’Ionesco, la répartition des rôles a une signification toute particulière associée à cette pièce. En effet, la représentation

leur personnalité et leur fonction : * Harpagon : il est un homme riche et avare pour lui, le plus important ce l’argent. Il a deux enfants. * Elise : elle est la fille d’Harpagon. Elle est amoureuse de Valère mais son père s’oppose a cette relation. * Cléante : il est le fils d’Harpagon et il est amoureux de Marianne qui est la femme dont son père veut se marier. * Valère : il est un gentil homme napolitain au service d’Harpagon en qualité d’intendant. Il est frère de Marianne.son père