Relique

plusieurs formes et variantes. La pagode est un type de temple très répandu en Chine, au Japon, en Corée et en Asie du sud-est. La pagode tire ses origines du stûpa indien, structure en forme de dôme ayant pour fonction de contenir et protéger des reliques sacrées de saints bouddhistes. Au fil du temps, cette structure s’est transformée pour donner lieu à différents types de pagodes. Au Tibet, la pagode a une forme de bouteille (chörten); en Asie du sud-est, elle prend une forme pyramidale ou conique

tenue par des mains ennemies. Idée illustrée 2 : Ainsi, sa dévotion religieuse se manifeste dans l’attachement de Roland à son épée sainte : « Dans ton pommeau se trouvent maintes reliques : une dent de saint Pierre, du sang de saint Basile, des cheveux de mon seigneur saint Denis […] » (l. 35-37) L’énumération des reliques religieuses nous fait ressentir toute l’étendue, l’importance de la loyauté de Roland envers son dieu. Phrase bilan : Enfin, cette chanson de geste médiévale est un cas exemplaire

aussi: astragale, corbeille et tailloir. Chapitre Ensemble de moines ou de chanoines vivant sous une règle monastique ou autour de l'évêque Charpente Structure de bois soutenant la toiture Châsse Coffre souvent très richement orné ou l'on garde les reliques d'un saint Chauffoir Seule pièce chauffée de l'abbaye, abritant la cheminée, souvent attenant au scriptorium Chevet Extrémité orientale d'une église ou partie extérieure du chœur Chevet plat Mur droit fermant une abside Chœur Partie d'une église

latins 5 Jésus dans les religions et cultures non chrétiennes 5.1 Jésus dans le judaïsme 5.2 Jésus dans l'islam 5.3 Jésus dans l'hindouisme 6 Représentation artistique 6.1 Art occidental 6.2 Art oriental 6.3 Au cinéma 6.4 Comédie musicale 7 Reliques 8 Annexes 8.1 Bibliographie 8.1.1 Ouvrages et travaux historiens généralistes 8.1.2 Historiens et exégètes biblistes 8.1.3 Théologiens et exégètes canonistes 8.1.4 Revues 8.1.5 Essais 8.1.6 Ouvrages anciens 8.1.7 Ouvrages confessionnels

Ganesa ou Durga) et jaïnisme (Jina). Les maîtres spirituels sont historiques et légendaires. Développement d’un art narratif au IIème s., dimension intemporelle = image de culte du Buddha. * Pas de temple mais des stupas : destiné à abriter des reliques. Pas de décors sculpté, progressivement sur les portes d’entrés. Monuments excavés (ex : Bhaja, Ier siècle av. n.è) : destiné aux moises. Vème s. av. n.è : Temples accueillant de la divinité : * b : représentation du buddha. * ind : maison

non pas de celui de la sainte mais du sarcophage d’une matrone romaine. Le sarcophage entreposé à Strasbourg disparu lors des bombardements de 1870. Par ailleurs, lorsque le pape alsacien Saint Léon IX consacra l’église en 1049, il y apporta les reliques de la sainte et les offrit au Dompeter. A travers tout le Moyen Age, le culte de Sainte Pétronille au Dompeter va attirer les pèlerins venus guérir leur maux de tête ou leurs maladies des yeux. A cette même époque se développe le pèlerinage à

est quelque chose de complexe qui nous renvoie essentiellement la double nature du Christ. Le Mandylion : Image de Dieu apparaissant sur un mouchoir. Cette peinture est aussi appelée « image d’Edesse ». Ce morceau de tissus constitue une relique célèbre aussi appelée « Saint-Suaire » ou « Sainte-Face », sur laquelle le Christ aurait de son vivant imprimé son visage sur le mouchoir. Ce miracle s’accomplit grâce à Véronique de Jérusalem, celle-ci aurai donné son mouchoir au Christ pour qu’il

paix soit observée, ont juré : le duc de Bourgogne, le comte de Flandre, le comte Henri, le comte de Nevers, le comte de Soissons et le reste du baronnage présent. Et de même le clergé : les archevêques, les évêques, les abbés, placés devant les reliques sacrées, ont promis qu'ils maintiendraient cette paix de toutes leurs forces ; et ils ont promis qu'ils aideraient de tout leur pouvoir à ce que justice fût faite des violences… » INTRODUCTION DU COMMENTAIRE DE TEXTE I – LA PRESENTATION DU TEXTE

transposition sonore d’un effet visuel ; au vers 13 et 14, une atmosphère de paix, de tradition, de beauté et de mystère est évoquée par la marche quasi rituelle du glaneur rythmée par la répétition de « pas » et la reprise de « recueillir » par « relique ». Tandis que les sonorités étouffées de « tombant » et de « moissonneur » évoque le déclin de la lumière et ferme le tableau. Mais la croissance d’un champ de blé et la moisson qui s’y effectue ne sont pas l’objet véritable de ce sonnet ; à travers

 au IXe siècle, est venue corroborer l'existence de cette sainte martyre. Les reliques ont été retrouvées par le Pape Pascal 1er lorsqu'il entreprit de déplacer des milliers de dépouilles hors des catacombes tombant en ruine, vers des lieux plus sûrs et à l'abri des envahisseurs. Il faudra attendre plusieurs siècles pour que le Cardinal Sfrondati (16-17ème siècles) fasse procéder à la reconnaissance de ses reliques. La statue bien connue de Maderno , datant de 1599, est censée représenter le