Réminiscence

l'aristocratie. Dantès se transformera en Monte-Cristo à merveille. Mais que dire de cet esprit froid, calculateur? Dantès n'était pas du tout calculateur et je doute que Faria l'ait aidé en ce sens. Il me semble que le changement est trop marqué, un peu de réminiscence du matelot marseillais aurait apporté un plus dans le personnage de Monte-Cristo.
De plus, pourquoi faire attendre Morrel un bon mois et le faire souffrir toutes les souffrances imaginables pour lui rendre sa Valentine. Là encore je me demande

en ayant oublié leur nature archaïque d’être total et comblé .Ceci permettrait d’expliquer comment des êtres peuvent « connaître » et donc désirer ce qu’ils ne possèdent pas .(l’explication de Platon étant attachée quant à elle à la théorie de réminiscences ). Critique Nous pouvons formuler une critique qui serait celle de Diotime. Selon elle l’amour, ne saurait se réduire à une contemplation narcissique d’une nature originelle perdue et désespérément quêtée par des individus séparés

que dans notre expérience particulière nous avons rapport d’abord à des choses particulières ? C’est le problème du multiple et de l’un. Pour démontrer les idées, Platon fait la distinction entre le monde des idées et le monde sensible ; et la réminiscence. le monde sensible et des idées Par la pensée, je peux isoler des prédicats et me demander ce qui est BEAU en lui-même = réflexion sur l’essence des choses. Qu’en est-il des propriétés du BEAU en soi ? = les idées. Donc, il y a une distinction

une issue aux instincts → les ramène à la fct normale qui eût été la leur si le développement n'avait pas été perturbé ne pas priver l'instinct sexuel de son aliment naturel, en d'autre terme, laisser l'Homme avoir accès à la satisfaction. Réminiscence = souvenir confus Phénomène de transfert = le malade déverse un trop plein d'excitations affectueuses sur le médecin => anciens désirs du malade devenus inconscients.

Alphonse Karr Ce week-end, j’ai mangé des madeleines et même trempées dans un thé au citron, elles ne m’ont procuré aucun souvenir ! Pourtant Marcel Proust, lui, a pu inventer tout un texte à partir d’une madeleine. Son œuvre se base sur les réminiscences du passé. L’invention n’a-t-elle comme seul ingrédient le souvenir ? Le plus facile est de commencer par définir les différents concepts tels que « souvenir » et « invention ». Le souvenir est «  ce qui revient ou peut revenir à l’esprit des

de l'eau. 1.3. La mise en abyme de la présentation des personnages  Le choeur présente Blazius et Pluche, qui eux-mêmes présentent Perdican et Camille (à développer). 1.4. Le personnage du choeur comme «chef d'orchestre» de ce début  Réminiscence antique, aspect conventionnel du personnage : il sert à mettre le lecteur au courant plus rapidement; à mi-chemin entre le spectateur et les personnages.  Mais ici renouvelé: adapte son style et ses images, le rythme de ses phrases au physique

il a tomber -troisième idée : mosle de bœuf mythe de Descartes, proche du soleil, ses ailes ont brulé L’ascension du héro est rapide Le hasard fait que.. -Description de L’envol -désir d’aller sur la lune -moque de la bible (paradis terreste) réminiscence du bible faite d’une manière moqueuse Étonnement a .. -a quatre pattes a deux, mais il fait sens de cela. Quand on est jeune, naturellement on marche a 4, mais les nourrisses nous fait marcher a 2 20 octobre -la personnage va a la lune et il

limites de ces tentatives ? Bergson distingue temps et durée : il montre que l’on peut échapper à la durée, de temps en temps, en écoutant de la musique par exemple (Matière et mémoire). On peut se référer également à Proust et au phénomène de la réminiscence : à la fin de La Recherche, le narrateur fait trois expériences de superposition du temps (analogues à celle de la madeleine) : quelque chose, un bruit ou une sensation le fait revivre un autre moment de son existence : dès lors, le temps se superpose

vocation poétique. La poésie illumine le réel. B/ Sensualité des synesthésies * Champs lexical de la vue « étoilé, immensité, feu » : vision, expérience de la contemplation métaphysique. * Oxymore « feu clair » : intuition du monde idéal, réminiscence. Le poète aurait conservé imprimé dans son âme un souvenir du monde idéal. * Récurrence de termes évoquant la sensualité « se pâme, volupté» éritisme, jouissance à la fois physique et spirituelle. * Synesthésie « bois comme une divine liqueur

C’est une froideur qui se perçoit, celle-là même qui dit en filigrane l’usure de la souffrance et donne au recueil son caractère poignant. Reste une poésie dénudée, travaillée par la vision traumatique du corps mort en même temps que par les réminiscences d’un érotisme accablant. Le phrasé surgit comme l’image pornographique, soudaine, choquante : « Seins. Puis bas. La main s’approche, pénètre. » De fait, l’écriture détruit à mesure ses propres traces : il n’y a rien à espérer, rien non plus à exprimer