Renard polaire

peut plus sortir. Peu après, Ysengrin, poussé par la faim, quitte son repaire pour chaparder dans l’abbaye. Sur son chemin, il voit le puits dans lequel se trouvait Renart. Il se penche pour regarder et voit Renart • Ainsi commence un dialogue où Renard très habil parvient sortir de cette mauvaise situation. Renart s’est servi des seaux comme de la balance du Jugement dernier pour arriver à ses fins et tromper Ysengrin. C’est une satire car Renart se moque de la façon dont les chrétiens conçoivent

Les six fables que j’ais choisies sont: 1-«Le chat et un vieux Rat» p 118 2-«Le cochet, la Chat, et le Souriceau» p 179 3-«Le Chat, la Belette, et le petit Lapin» p 220 4-«Le Chat le Rat» p 259 5-«Le Chat et le Renard» p 289 6-«Le Chat et les deux Moineaux» p 352 Le Chat incarne l’hypocrisie est représente souvent la classe sociale aisée. Ex: Dans «Le Chat, la Belette, et le petit Lapin» «Un Chat faisant la chattemite, Un saint homme de Chat, …, gros et gras,» Il incarne se caractère car

un arbre perché, Tenait en son bec un fromage. Maître Renard, par l'odeur alléché, Lui tint à peu près ce langage : "Hé ! bonjour, Monsieur du Corbeau. Que vous êtes joli ! que vous me semblez beau ! Sans mentir, si votre ramage Se rapporte à votre plumage, Vous êtes le Phénix des hôtes de ces bois." A ces mots le Corbeau ne se sent pas de joie ; Et pour montrer sa belle voix, Il ouvre un large bec, laisse tomber sa proie. Le Renard s'en saisit, et dit : "Mon bon Monsieur, Apprenez que

Prince, et l'Antre, et cette odeur:           Il n'était ambre, il n'était fleur, Qui ne fût ail au prix. Sa sotte flatterie Eut un mauvais succès, et fut encor punie.           Ce Monseigneur du Lion-là           Fut parent de Caligula (9). Le Renard étant proche: Or cà, lui dit le sire, Que sens-tu? dis-le moi : parle sans déguiser.           L'autre aussitôt de s'excuser,  Alléguant un grand rhume : il ne pouvait que dire (10)           Sans odorat ; bref, il s'en tire.           Ceci vous

louve, fut jadis « violée » par Renart ; d'où une éternelle rancœur. Il est l'oncle de Renart. Renart : le goupil espiègle, rusé, personnage principal de ces récits. Complexe et polymorphe, allant du bon diable redresseur de torts tel Zorro (renard en espagnol) au démon lubrique et débauché, il incarne la ruse intelligente liée à l'art de la belle parole. Aussi appelé « le maître des ruses » Ces textes ont des fonctions diverses : de critique sociale des classes dominantes, incapables

beaucoup. Ces sujets étaient masqués par l'utilisation d'animaux en tant que personnages, elles visaient donc une catégorie précise de personnes ou quelquefois des personnages en particulier, comme par exemple le lion qui symbolisait le roi ou le renard qui réprésentait le flatteur courtisan. La Fontaine transmettait généralement plusieurs messages dans une meme histoire, la plupart des fables comportent donc un double sens, une double signification, et il est vrai que les enfants n'ont pas la

Séance n°1 IMAGE- LECTURE Manuel p 162 et 164-165 Objectif : introduire Le Roman de Renart Le mot renard actuel doit don origine au Roman de Renart. En effet, au moyen-âge, un renard s’appelait un goupil. Mais ce roman eut tant de succès, que désormais, on appela plus les goupils que des « Renards » De nombreux auteurs ont écrit les aventures de Renart. C’est la réunion de toutes ces histoires qu’on appelle Le Roman de Renart (rappel : le mot roman

Introduction Nous avons tous en tête des fables de La Fontaine apprises à l'école primaire : « La Cigale et la Fourmi », « Le Corbeau et le Renard », « La Grenouille qui veut se faire aussi grosse que le Bœuf »… Puis, après quelques années d'oubli, en classe de première les programmes officiels de littérature les rappellent à nous : en effet, quel meilleur exemple du genre de l'apologue que les Fables de La Fontaine ? Et pourtant, si Rousseau ressuscitait de nos jours, il interdirait formellement

Fontaine "Le Renard et le Bouc". Après l'introduction, détail du schéma narratif rigoureux puis analyse des animaux personnifiés et enfin la morale puis la conclusion. Capitaine Renard allait de compagnie Avec son ami bouc des plus haut encornés : Celui-ci ne voyait pas plus loin que son nez ; L'autre était passé maître en fait de tromperie. La soif les obligea de descendre en un puits : Là chacun d'eux se désaltère. Après qu'abondamment tous deux en eurent pris, Le renard dit au bouc :

Le Corbeau et le Renard Maître Corbeau, sur un arbre perché,Tenait en son bec un fromage.Maître Renard, par l’odeur alléché,Lui tint à peu près ce langage :«Hé! bonjour, Monsieur du Corbeau.Que vous êtes joli! que vous me semblez beau!Sans mentir, si votre ramageSe rapporte à votre plumage,Vous êtes le Phénix des hôtes de ces bois.»À ces mots le Corbeau ne se sent pas de joie:Et pour montrer sa belle voix,Il ouvre un large bec, laisse tomber sa proie.Le Renard s’en saisit, et dit: «Mon bon Monsieur