Rendez-vous galant

dans Le Mariage de Figaro ses efforts afin de séduire Suzanne, la future épouse de Figaro. Dans la scène que nous allons étudier, le Comte est tombé dans le piège tendu par la Comtesse et Suzanne. Il pense retrouver la servante à laquelle il a donné rendez-vous alors que c’est la Comtesse, déguisée en Suzanne, qui le rejoint. Il fait nuit et il ne reconnaît pas son épouse. Figaro et Suzanne assistent cette scène, cachés derrière des buissons.PB  : Comment le piège tendu par les femmes

Euphrosine est vexée. Marivaux met en scène une précieuse. Il faut exagérer le trait pour que la transformation du personnage soit encore plus spectaculaire. C’est aussi sûrement un moyen de se moquer des femmes. En effet, Iphicrate n’a rien d’un galant. Les précieuses ridicules (doc complémentaire) Magdelon et Cathos, respectivement fille et nièce du bourgeois Gorgibus, viennent d’arriver à Paris. Elles se veulent « précieuses »,c’est-à-dire qu’elles entendent vivre de manière raffinée, fréquenter

EL 11 Explication linéaire, Le Mariage de Figaro, V, 3. Le Mariage de Figaro est une pièce jouée pour la première fois en 1784 et qui obtint un triomphe dès le soir de sa première le 27 avril 1784, après être passée 6 fois devant les censeurs de Louis XVI. Beaumarchais a conçu cette pièce comme une suite au Barbier de Séville. Mais cette fois, il s’agit des amours du valet Figaro avec la jeune et jolie femme de chambre de la comtesse Almaviva. Les deux amoureux doivent se marier dans la

Quelles lignes dominent ? Quelle impression se dégage de cet intérieur ? En peinture, Antoine Watteau 1684-1721, s'attache à saisir des impressions fugitives, il s'attache à la couleur plus qu'aux formes. Son oeuvre, souvent inspirée de "fêtes galantes" s'ouvre sur le rêve et la poésie (voir aussi au louvre "Pelerinage à l'île de Cythère").  Jean-Antoine WATTEAU "Assemblée dans un parc" peint vers 1616-1617. H 32cm L 46cm. Musée du Louvre   François BOUCHER "L'enlèvement d'Europe". 1747

Avec son peu de sous, il avait envie de gagner les Champs-Elysées et l’avenu du Bois-de-Boulogne, et de trouver une rencontre amoureuse. Il était toujours pessimiste sur le fait qu’il voulait mieux même si elle avait une belle mine et une tournure galante. Il alla jusqu'à un bar où il voyait tous ces gens qui buvait. Ca lui donnait envie de boire. Il continua sa route avec dureté jusqu'à l’Opéra et vit un gros jeune homme. Après un certain temps de réflexion, il se souvint d’un Forestier, moins gros

aussi s'interroge et trouve que quelque chose manque à cette société, aussi formidable soit-elle. Bernard obtient un droit de passage pour lui et Lénina pour aller à une Réserve de Sauvages, au Mexique. Il présente ce voyage à Lénina comme un rendez-vous galant. Les habitants de la réserve se reproduisent naturellement et vivent dans un univers non-stérile, ce qui horrifie Lénina et fascine Bernard. Le couple rencontre Linda, une femme qui vécut autrefois dans l'État Mondial et qui a donné naissance

de M. de G… M… débarque et vient alors partager leur repas. Il s’éprend de Manon, celle-ci monte un plan pour lui extorquer une énorme somme d’argent, en vengeance du père. Elle le rencontre donc mais Manon ne parvient pas à se libérer de ce rendez-vous galant. Tant de cynisme révolte le chevalier qui décide de se venger. Il fait enlever le jeune G… M…, s’introduit dans son hôtel, fait à l’infidèle une scène de jalousie qui se termine par de tendres effusions. Mais des Grieux pressent « une catastrophe

Arnolphe insiste auprès d'Alain et Georgette pour qu'ils repoussent toute démarche d'Horace. Nouvelle rencontre entre le tuteur et le galant, au cours de laquelle celui-ci lui apprend qu’il a réussi à s’introduire dans la maison, mais que l’arrivée impromptue de M. de La Souche a obligé Agnès à le cacher dans une armoire. En outre, il lui confie qu’il a un rendez-vous pour le soir même et qu’il projette de s'introduire dans sa chambre. Malgré les conseils de sagesse prodigués par Chrysalde, Arnolphe

en lui lançant une pierre mais à laquelle était ajouté un mot d'amour. Arnolphe est en colère, il reconnaît sa jalousie, et donc son amour ; et il aimerait être aimé lui aussi en retour. Nouvelle rencontre entre le tuteur et le galant, il lui confie qu'il a un rendez-vous pour le soir même et qu'il projette d'enlever la jeune fille. Arnolphe appelle donc son notaire pour la rédaction du contrat de mariage et se prépare à piéger son rival. Le piège a fonctionné, Horace a été roué de coups par

monter jusque dans sa chambre, M. de la Souche est arrivé, plein de colère. Vite Agnès l'a enfermé dans une armoire pour le cacher et lui a donné un nouveau rendez-vous pour le soir même. Ainsi averti par Horace, qui ne se doute toujours de rien,Arnolphe prend alors des mesures et demande à ses valets de défendre la maison. Lorsque le "galant" sera au sommet de l'échelle prêt à s'introduire dans la chambre d'Agnès, ordre leur est donné de faire pleuvoir sur lui une pluie de coups de bâton. Acte