Repartition Du Revenu David Ricardo

production ? L’échange ? La formation de la valeur, du prix ? Adam Smith, 1er des économistes classiques ; David Ricardo ; Robert Malthus sont des représentants de cette école, qui « vécut » de 1730 environ jusqu’en 1848. Ils présenteront un modèle économique simplifié, le modèle Classique, qui conduit à la conclusion pessimiste que l’économie industrielle d’alors va directement dans le mur. Ricardo appellera ça l’état stationnaire. Milieu du XIXème, fin de l’école classique car évolution des pensées

abondant et donc les moins coûteux. La répartition des revenues Les revenus sont répartis selon 3 modalités : - La répartition primaire, réalisée lors de la production et sa réalisation directe ou indirecte. - La redistribution effectuée par l'Etat au sens large du terme(l'organisme de la sécurité sociale, les collectivités et l'état central) - La redistribution des revenus effectuée par les mécanismes économiques. A) La répartition qui s’effectue lors de la production de marchandise

d'informations (cour du marché, qualité, etc...). Les agents ayant des ressources différentes échangent (sur les marchés) pour assouvir leurs besoins (temps => argent => biens et services). L'ensemble des choix et des actions des agents définissent la répartition des richesses entre eux. 2. Les concepts fondamentaux a. La notion d'arbitrage La rareté des ressources implique l'obligation d'arbitrer. Cela peut être un choix individuel ou collectif. D'une manière générale, rien n'est gratuit. Avoir

(1723-1790), Recherche sur la nature et les causes de la richesse des nations (1776) • Thomas Robert MALTHUS (1766-1834), Essai sur le principe de la population (1798 à 1803) • Jean Baptiste SAY (1767-1832), Traité d’économie politique (1803) • David RICARDO (1772-1823), Principes de l’économie politique et de l’impôt (1817) La liberté individuelle est le principe fondamental, ces économistes considérant qu’il existe un ordre naturel, caractérisé par un système logique de règles naturelles, immuables

Mercantilisme Français ou le Colbertisme 5 II.1.3 Le Mercantilisme Anglais ou Commercialiste 6 II.1.4 Limites du Mercantilisme comme pensée économique 6 II.2 Libéralisme physiocratique 6 III. La pensée économique Classique 8 III.1 Valeur, Répartition et croissance 8 III.2 La politique monétaire 9 III.2.1 Rapport de la monnaie face aux métaux précieux 10 III.2.2 Rapport de la monnaie face aux métaux précieux 10 III.3 Le Marxisme 10 IV. Le Néo-classicisme 11 V. La pensée économique contemporaine

.............................................................. 6 III. La pensée économique Classique............................................................................................................................... 8 III.1 Valeur, Répartition et croissance .............................................................................................................................. 8 III.2 La politique monétaire ........................................................................

économies marxistes et les radicaux utilisent le terme d'économie politique pour insister sur les interdépendances et l'impossibilité de dissocier des choix politiques et des choix économiques. Tandis que, les économistes libéraux tels que Adam Smith ou Ricardo préfèrent employer le terme de science économique afin de mieux marquer la différence entre la politique qui est la science des choix de l'économie qui est la science des moyens. La théorie est une opinion particulière. Une théorie est un point

nation masse : rapports qu’entretienne les catégories sociales économiques entre elles. Approche sociologique de la nation qui renvoi aux problèmes des rapports sociaux dans la mondialisation. Mais cette idée est balayée par un autre classique : David Ricardo Pour lui une nation est un système de prix relatifs. Car une nation est une propriété qui dispose de facteurs de production travail et capital mobiles à l’intérieur. Mais ces facteurs de production sont immobiles à l’international. Leur mobilité

cadres sont cadres. Source : D'après Insee, enquête FQP 2003, repris dans A. BIHR et R. PFEFFERKORN, Le système des inégalités, La Découverte, 2008. DOCUMENT 2 Aussi étrange que cela puisse paraître pour une question aussi fondamentale, l'impact du revenu des parents et des conditions de vie des familles sur la scolarité des enfants est encore très loin d'être bien mesuré et compris. [...] En 1997, près des deux tiers des enfants de 15 ans appartenant aux 20 % des familles les plus pauvres sont en

meilleure situation pour tous qui est dû aux mécanismes du marché qu'il appel « une main invisible » permettant de concilier l'intégral individuel et général. Il ne faut donc pas d'intervention de l'État pour laisser jouer les mécanismes du marché. Et David Ricardo (1772-1823) avec la loi des coûts comparatifs, elle montre que le libre échange est le meilleur système pour tous les pays et qu'il permet d'éviter l'État stationnaire et donc la croissance économique. Robert Malthus pour sa théorie de la population