Repenti

une tension dramatique : Don juan est face à son destion, tenu entre les mains des forces divines, De plus, Sganarelle apeurée, veut que cette situation cesse et tente une fois de plus, en vain, de persuader son maitre de se repentir « jeter vous vite dans le repentir ». Mais acte 6, don juan vient de mourir et Sganarelle clôture la pièce en énumérant les « victimes » de son maitre, et les bienfaits de sa mort. De plus, s’ajoute l’égoïsme de celui-ci « il n’y a que moi seul de malheureux » .

cette conduite de la vérité de l’art vers la vérité du Christ, mais aussi des dominances qui sont celles de la négativité, du refus, du rejet et donc d’une certaine domination diabolique. Les actions : une orientation vers le meurtre, puis le repentir Il y a chez lui des personnages noirs. Il met en scene des personnages dans des situations révélatrices, des moments de crises ù la liberté est mise en pleine lmière. Ces moments sont divers : ils peuvent être, dans Crimes et châtiments, des

paraboles de la brebis perdue et de l'enfant prodigue dans l'Evangile. La première se termine par ces mots du Christ "Il y aura plus de joie dans le ciel pour un seul pécheur qui se repent que pour quatre vingt dix neuf justes qui n'ont pas besoin de repentir" (Luc 15, 7). Tout se passe comme si la perdition dans le péché donnait plus de prix au retour vers Dieu. On peut même tirer du mal un bien supérieur à celui qu'on peut tirer de ce qui est simplement bon et irréprochable. L'attitude concrète du chrétien

croyais le réduire à force de punir, et ma sévérité ne fis que le bannir ». Pridamant insiste sur son attitude pour se repentir.
 • Le repentir : il est provoqué par l’amour paternel qui construit l’opposition entre un fils révolté et un père conscient de ses erreurs par l’antithèse du vers 32 :  « D'une injuste rigueure un injuste repentir ». Il y a une correspondance entre l’outrage et l’injuste rigueur par la même construction. 
• La recherche : elle

croyais le réduire à force de punir, Et ma sévérité ne fit que le bannir. Mon âme vit l'erreur dont elle était séduite; Je l'outrageais présent et je pleurai sa fuite, Et l'amour paternel me fit bientôt sentir D'une injuste rigueur un juste repentir. Il l'a fallu chercher : j'ai vu dans mon voyage Le Pô, le Rhin, la Meuse, et la Seine, et le Tage ; Toujours le même soin travaille mes esprits, Et ces longues erreurs ne m'en ont rien appris. Enfin, au désespoir de perdre tant de peine, Et

Sganarelle, Done Elvire, Ragotin | Un autre laquais de Dom Juan, prénommé Ragotin, vient informer le maître que Done Elvire vient lui rendre visite. Celle-ci expose à Dom Juan une réflexion, elle n'est plus amoureuse de lui, elle lui recommande de se repentir et de se remettre dans le droit chemin un peu comme Dom Louis, l'agressivité en moins. Elle essaye de le convaincre en douceur, peut être dans l'espoir de le voir être son mari plus tard. Dom Juan rit d'elle en demandant à Sganarelle si il pleure

offensants. Dans le premier acte, Done Elvire reproche à Don Juam sa trahison et sa peine, ce que le séducteur ignore. L'extrait est donc la scène 6 de l'acte IV de cette pièce où l'on retrouve Sganarelle, Dom Juan et Done Elvire. Cette dernière tente de repentir Dom Juan et lui accorde son pardon. Nous nous poserons la question suivante : En quoi cette scène est elle une scène de persuation ? Nous commencerons par montrer l'apparition inattendue d'Elvire puis nous montrerons que cette scène est une scène

maître, qui joue une scène d'hypocrisie à son propre père. Sganarelle veut faire entendre raison à Dom Juan, et tenter de le faire changer de comportement : "c'est le Ciel qui vous parle, et c'est un avis qu'il vous donne" ; "jetez-vous vite dans le repentir". Sgnarelle insiste sur les évenements tragiques qu'il va arriver avec cette question rhétorique "Entendez-vous, Monsieur?". C'est un personnage qui s'affolle à la moindre apparition du fantastique: "Ah! monsieur, c'est un spectre" ; "O Ciel! voyez-vous

tous, il place l’individu au-dessus de la société, de l’intérêt général et du bien commun ; Matérialisme : Don Juan vit dans l'instant présent et pour le plaisir sensuel, il met les principes religieux en doute, et remet toujours à plus tard son repentir, il ne se repent trop tard qu'une fois plongé dans les flammes de l’enfer ; Pouvoir et conflit : violence verbale et parfois physique, menaces, le masculin contre le féminin, le désir physique pur contre l'union des êtres, l'acte charnel contre

confiance. Ils étaient mes yeux et j’avançais sereine, sachant qu’ils étaient près de moi. L es breuvages d’amertume m’ont interpelé : l’acidité des 1ères coupes se dissolvait au fur et à mesure. Chacun, s’il veut évoluer, doit avancer vers le chemin du repentir, l’amertume se transformant ainsi en douceur et limpidité. Au terme des épreuves, j’ai recouvré la vue et me suis trouvée face à un groupe d’individus brandissant leurs armes face à moi. La clarté soudaine m’a éblouie. De toutes les épreuves, je