Repenti

Droit à l’intégrité de son œuvre : l’auteur ne peut cependant pas s’opposer à la modification de l’œuvre divulguée sauf s’il subit un préjudice. Droit de divulgation : l’auteur a, en principe, seul le droit de divulguer son œuvre Droit de repentir ou de retrait : ce droit est supprimé pour l’auteur d’une œuvre logicielle. Droits de reproduction et de représentation : (étant donnée la nature du logiciel, la reproduction est concomitante à la représentation) Ils consistent dans la fixation

débattre avec Don Juan sur l’existence de Dieu. Lecture pb I] Une synthèse de la pièce 1) Le rôle de Sganaralle -rôle toujours protecteur, cherche à raisonner son maître : « Ah ! Monsieur, rendez-vous à tant de preuves t jetez-vous vite dans le repentir ». Il veut le faire revenir vers Dieu. -Toujours présence de sa peur devant la colère divine, devant ce qui pourrait offenser Dieu. D’ailleurs, il reste caché dans la dernière scène avant de réapparaître une fois le danger terminé. -Enfin, il reste

théologique : Don Juan et la question de la Grâce La pièce enseigne un certain nombre de chose au lecteur. L’Espagne représentée par le moine Tirso de Molina est respectueuse du Concile de Trente : c’est parce que Don Juan joue avec la Grâce et le repentir qu’il sera châtié. 1. Les termes du débat a) Le libre arbitre : l’homme est maitre de son destin b) La prédestination : l’Homme est soumis aux décrets de la Providence. L’Abuseur de Séville met en scène ces deux visions, cependant elle ne fait

omniprésent chez Sartre : Jupiter est un personnage important de l’histoire, Apollon aussi. Le fait que les mouches soient les « personnages » éponymes montre que leur rôle est primordial ; ce sont les divinités de la vengeance, du remords et du repentir. Au contraire, chez Giraudoux, le divin est très peu important, au point qu’il est même remis en cause par le Mendiant qui demande aux autres s’ils croient aux Dieux. Cependant, il a quand même sesreprésentations : les Euménides, le

Baruch Spinoza (1632-1677) Spinoza élabore une éthique de la joie. Le but de la vie, selon lui, n'est pas d'être malheureux (comme y invite le christianisme : il faut se repentir, souffrir pour expier la faute originelle, etc.) mais d'être heureux. C'est-à-dire chercher à accroître sa puissance, chercher ce qui nous est vraiment utile (l'utile propre). On pourrait y voir une éthique égoïste. Mais c'est surtout une éthique de la raison. D'ailleurs pour celui qui utilise sa raison l'utile propre

longtemps après leur apparition. 8) France métropolitaine, ES-S, septembre 2002 (thème : autobiographie et repentir), Nathan-corrigés, analyse p. 230, pas de corrigé : Casanova écrit : ”…Je sens dans moi-même le repentir, et l’humiliation ; et c’est tout ce qu’il faut pour que ma confession soit parfaite ”. Pensez-vous qu’une autobiographie soit nécessairement la “ confession ” des repentirs et des erreurs de son auteur ? 9) France métropolitaine, STT-STI-STL-SMS, septembre 2002, (thème : efficacité

tournant le dos et disant que l’affaire demande prudence et qu’elle doit rester secrète, Don Juan va penser que Dieu non plus ne regarde pas et qu’il dispose donc de temps avant d’être puni: du temps pour commettre ses péchés et du temps pour se repentir. Tout en célébrant le Roi et le royaume d’Espagne, la pièce dénonce aussi la corruption de la Cour et les réseaux d’influence des favoris, qui assurent l’impunité et permettent à leurs protégés de vivre au-dessus des lois (Don Juan est un noble

familles identifiées, réunies en 17 mandamenti (quartier composé de 3 familles siciliennes faisant partie de Cosa Nostra). Les chefs (capi) des mandamenti se réunissent au sein d’une commission régionale baptisée Coupole. D’après les témoignages de repentis, il semblerait qu’il s’agisse d’une commission d’arbitrage en cas de litige (notamment concernant la réorganisation des territoires contrôlés ou les affiliations à une famille), et d’une instance qui fixerait les grandes orientations. Contrairement

longtemps après leur apparition. 8)France métropolitaine, ES-S, septembre 2002 (thème : autobiographie et repentir), Nathan-corrigés, analyse p. 230, pas de corrigé : Casanova écrit : ”…Je sens dans moi-même le repentir, et l’humiliation ; et c’est tout ce qu’il faut pour que ma confession soit parfaite ”. Pensez-vous qu’une autobiographie soit nécessairement la “ confession ” des repentirs et des erreurs de son auteur ? 9)France métropolitaine, STT-STI-STL-SMS, septembre 2002, (thème : efficacité

droit de pardonner et condamner les mauvais comportements. "Quand l'homme vient trouver le prêtre, il arrive poussé par le repentir, par le remords" Balzac décrit là les croyants qui ont la volonté de se sauver. La religion donnerait donc ce "droit" : "par des croyances qui le rendent intéressant, qui le grandissent" Tandis que l'homme de loi ne peut aider ses clients à se repentir, à avouer: "mais nous autres avoués, nous voyons se répéter les mêmes sentiments mauvais, rien ne les corrige, nos études