Repenti

extrême employé par Sganarelle qui montre la monstruosité des actions de Dom Juan   « Après cela, si vous ne vous rendez, tant pis pour vous » : Sganarelle pousse Dom Juan à se repentir = juge MAIS montre que l’on récolte ce que l’on sème, exaspération, lassitude d’essayer de le changer, arrivé au bout de ses essais à le repentir par l’utilisation d’une locution adverbiale « tant pis pour vous » « Suit de bon préceptes ; les bons préceptes valent mieux que les belles paroles ; les belles paroles se

droit de pardonner et condamner les mauvais comportements. "Quand l'homme vient trouver le prêtre, il arrive poussé par le repentir, par le remords" Balzac décrit là les croyants qui ont la volonté de se sauver. La religion donnerait donc ce "droit": "par des croyances qui le rendent intéressant, qui le grandissent"Tandis que l'homme de loi ne peut aider ses clients à se repentir, à avouer: "mais nous autres avoues, nous voyons se répéter les mêmes sentiments mauvais, rien ne les corrige, nos études

spectre apparait, comme le dit les didascalies en « femme voilée » (l.0). Il incarne la bonté divine puisqu’il est envoyé par le Ciel comme l’indique le groupe nominal « la miséricorde du Ciel » (l.2). Le spectre offre une chance à Dom Juan de se repentir comme le montre « s’il ne se repent ici » (l.2). Le spectre de femme voilée représente aussi toutes les femmes qui ont été déshonorées par le personnage car Dom Juan dit « Je crois connaitre cette voix » (l.5), comme un retour de son passé. Ainsi

de plein pied avec son destin. Il refuse la dominance de son destin : "non, non", "rien n'est capable de m'imprimer", "il ne sera pas dit (...) que je sois capable de me repentir". C'est donc quelqu'un qui est incrédule, il ne croit pas a(ux) Dieu(s), c'est son affirmation matérialiste qui est exprimée par ces expressions. "repentir" fait parti du vocabulaire moral, voire religieux et le terme "miséricorde" connotte la pitié, la grâce. Il refuse la grâce de Dieu parce qu'il nie son existence. Il lance

rester marier à la même femme toute sa vie, ne croit pas en la religion et va jusqu'à jouer la carte de la provocation en faisant l'hypocrite avec son père et Done Elvire. - Au cours de la pièce, on lui offre à plusieurs reprises le choix du repentir mais Dom Juan refuse catégoriquement. - Il est même cruel ( chantage au pauvre) , moqueur ( avec M. Dimanche ) et est qualifié de « grand seigneur méchant homme » par son valet. 2) La scène du pauvre. -Cette scène est la plus

matin. On peut voir en lui le symbole de la prière, de la lumière et de la résurrection du Christ. Même si son chant nous rappelle la trahison de Pierre, les chrétiens voient pourtant en ce cri matinal une invitation à la vigilance, à la prière et au repentir. En ce qui concerne la croix, elle est omniprésente dans l’Église catholique. Autant elle évoque tous les sacrifices consentis et acceptés par Jésus, autant encore elle évoque l’amour de Dieu, le pardon, l’espérance de la résurrection et le Christ

Enfers. Molière évoque également par l’intermédiaire de Dom-Juan les fantômes et le diable. B) Coté tragique : Ces scènes possèdent deux cotés à la foi tragique et comique, la mort de Dom-Juan est prédit dès le début puisqu’il ne compte pas se repentir et accepte sa mort qui est confirmé par les expressions « Quoi qu’il arrive » et « La voilà ». Il apprécie trop sa vie telle qu’elle est, et préfère mourir que de vivre autrement, de plus son coté matérialiste le pousse à ne pas prendre en compte

(21), « l’auguste Vertu » (22) et « le Repentir » (23) Le Hasard , la Vertu et le Repentir semblent être trois recours, trois possibilités pour l’homme de se sortir indemne de son procès contre le Temps. Mais les trois restent vains et impuissants : le Temps pulvérise le hasard (Cronos décide de tout), la pratique de la Vertu chrétienne et des bonnes actions ne changera rien à une mort derrière laquelle on n’entrevoit pas de seconde vie et le repentir (l’extrême-onction, dernier sacrement

I. « Une consolation dans la mort » On vient de lire qu’en comprenant les intentions l’un de l’autre, les deux époux « se firent pitié et horreur ». Cette pitié réciproque se traduit par une « crise suprême ». Celle-ci n’est pas l’occasion d’un repentir ni d’une rédemption qui rendraient les protagonistes sympathiques au lecteur. Ceux-ci la subissent, comme le montre la construction de la phrase : c’est le mot « crise » qui est en position de sujet, tandis que les héros sont représentés par les

penser, mais celui-ci s’en moque. Scène 5 : Première dispute entre Sganarelle et Dom Juan, il reproche à son maitre de ne pas écouter son père. Dom Juan souhaite la mort de son père. Scène 6 : Une femme voilée annonce à Dom Juan qu’il doit se repentir. Scène 7 : On frappe à la porte lorsque Dom Juan et Sganarelle dînaient. Ce dernier a peur, Dom Juan reste égal a lui-même. Scène 8 : Dom Juan invite la statue à rejoindre la table, celle-ci l’invite le lendemain. Acte 4 : Les proches de