Républicains modérés

La segunda republica (1931 1936) I El contexto y la creación de la republica 1° el contexto y la sociedad española General Primo de Rivera asumió el poder el 15 de septiembre de 1923 por real decreto tras el pronunciamiento de 13 en Cataluña, fue hasta enero 1930 tras la crisis económica después de cinco años de relativa prosperidad económica y social, que el rey Alfonso XIII pidió su dimisión. En efecto con la crisis mundial de 1929 los beneficios de una política social desaparecieron, provocando

second tour. Il réalise deux performances notoires en PACA (20,2% des voix, en repli continu par rapport aux 23% de 2004 et aux 26,8% de 1998) et dans le Nord-Pas-de-Calais avec 18%. Les autres mouvements (Parti de la France, Mouvement national républicain, Bloc identitaire, etc.) ne franchissent pas la barre des 5% (score maximum : 4,98% pour Alsace d'abord). Le centre Le Mouvement démocrate est le grand perdant de ce scrutin. Il ne franchit le seuil de 5% (qui permet de fusionner) que dans

Félix Gouin, que remplace Georges Bidault, président du MRP, en juin suivant. La France vit alors sous un régime d’assemblée que domine la formule du «tripartisme» 80% des députés sont communistes, socialistes SF10 ou membres du Mouvement républicain populaire (MRP), c’est-à-dire démocrates-chrétiens. Quand la Constitution préparée par l’Assemblée est soumise à référendum le 5 mai 1946, le MRP préconise son refus pour éviter un régime d’assemblée qui paralyserait l’exécutif: elle

bloqués pendant la guerre, hors la monnaie se dévalue. Des avancées sociales se font entre temps, la journée des 8 heures. Les syndicats ouvriers se développent, 700 000 adhérents en 1914, 2 000 000 en 1920 à la CGT. Pour certains la CGT est trop modéré, création de nouveaux syndicats : CGTU (unitaire), qui est plus près des communistes 1921. Création en 1919, CFTC (Confédération des français travailleurs chrétien). La bourgeoisie et les classes moyennes : Souffre de l’inflation, les rentiers

des années 1990, les accents populistes l’emportant sur les accents libéraux. Il a été occulté un temps par une crise interne, marquée par l’éclatement du Front national, et la création, par Bruno Mégret et ses partisans, du Mouvement national républicain (MNR). L’élection présidentielle de 2002 a cependant permis la concrétisation idéologique de cette évolution. Jean-Marie Le Pen se présente alors comme le porteparole des « perdants » de la mondialisation. Sa condamnation de la mondialisation et

Socialiste, Républicain et Citoyen (SRC) Groupe de l’Union pour un mouvement populaire (UMP) Groupe de l’union des démocrates et indépendants (UDI) groupe écologiste groupe de la Gauche démocrate et républicaine (GDR)groupe Radical, Républicain, Démocrate et Progressiste (RRDP) Bruno Le Roux Christian Jacob Jean-Louis Borloo François de Rugy Roger-Gérard Schwartzenberg André Chassaigne/Communistes et républicains * Le groupe socialiste Son nom : Groupe Socialiste, Républicain et Citoyen

respectivement les conseils généraux de la Haute-Corse et de Tarn-et-Garonne secrétaire général : Jean Michel Baylet Le Mouvement républicain et citoyen (MRC) : est un parti politique français fondé en 2003, qui prend la suite du Mouvement des citoyens et avant lui du Centre d'études, de recherches et d'éducation socialiste. Il faisait partie du Pôle républicain, du temps où celui-ci existait. Les Jeunes du MRC constituent le mouvement de jeunesse du MRC, après avoir été de 2003 à 2006: les jeunesses

Quels sont les parties politique qui pourrait remettre la laïcité en question? La France est constitué de parties politiques tels que : Parti Communiste Français (PCF) Mouvement Républicain et Citoyen (MRC) Parti Socialiste (PS) Union pour un Mouvement Populaire (UMP) Tout parties politique confondus ont une opinion bien à eux. Certain sont plus flexible sur le fait de montrer de quels religions on appartient tandis que d’autres veulent faire respecter cette loi à la lettre. Le PS est

électorale nationaliste catalane née en 1978, longtemps dirigée par Jordi Pujol et désormais emmenée par Artur Mas, possède 10 sièges ; – Le Parti nationaliste basque (PNV) fondé en 1984 et dirigé par Inigo Urkullu, compte 6 députés ; - Gauche républicaine de Catalogne (ERC), fondé en 1931, positionné à gauche sur l’échiquier politique et présidé par Oriol Junqueras i Vies, compte 3 députés ; – Le Bloc nationaliste galicien (BNG), créé en 1982 et dirigé par Guillerme Vázquez, possède 2 sièges ; –

conquête de trois villes du Sud, Orange, Marignane et Toulon (la première de plus de 100 00 habitants). Après 1995 le FN connait un passage à vide suite à la scission impulsée par le numéro 2 du parti, Bruno Mégret (qui fonde le Mouvement National Républicain). 2e pic du FN : 2002 : qualification de Le Pen au second tour de l’élection présidentielle, dans un contexte particulier marqué par le 11 septembre, les débats sur l’islam et une campagne que Chirac a tout de suite emmené sur le thème de l’insécurité