République de Weimar

officier juif. Alors que l’Allemagne est sur le point de capituler, la révolution gagne Berlin et la Kaiserliche Marine se mutine. Le Kaiser Guillaume II abdique et part pour les Pays-Bas avec sa famille. Le socialiste Philipp Scheidemann proclame la République. Deux jours plus tard, le nouveau pouvoir signe l’armistice de 1918. De son lit d’hôpital, Hitler est anéanti par cette annonce. Il affirme dans Mein Kampf y avoir eu une vision patriotique, et d'avoir sur le coup « décidé de faire de la politique »

communistes au niveau international, impose une ligne « classe contre classe ». Cette ligne interdit aux partis communistes toute alliance électorale avec les partis de gauche. Dans l’esprit d’opposition des communistes, les nazis condamnent la république de Weimar (régime démocratique parlementaires instauré en Allemagne en 1918). Mussolini, quant à lui, choisit de financer les mouvements d’extrême-droite dans toute l’Europe afin d’imposer le fascisme. La France, par exemple, connaît une poussée d’antiparlementarisme

sport était peu intégré à la pratique quotidienne des Italiens, majoritairement des ruraux. Ce n’était pas non plus un loisir pour les citadins. En Allemagne au contraire, le sport avait, avant le nazisme, une existence. Les dirigeants de la république de Weimar avaient décidé d’utiliser le Sport est de le développer, mais à des fins déjà très réfléchies. Il s’agissait notamment d’émanciper les jeunes filles du joug familial. • L’encadrement politique du sport. Dés leur arrivée au pouvoir, les régimes

prince héritier de l’Empire Allemand, peu avant le traité de Locarno. Gustav Stresemann est né en 1878 à Berlin, c’est un monarchiste. il devient chancelier en 1923, puis ministre des affaires étrangères. C’est une figure emblématique de la république de Weimar, reconnu notamment pour son caractère pacifiste, en ayant mené une politique de compromis et de concession, qui lui vaudra cependant quelques détracteurs. A l’époque, il conteste vivement le Traité de Versailles qu’il considère comme sévère

détermina chez Hitler une rage de revanche et le choix d’une carrière politique comme le rappelle Haffner. Puis la révolution de 1918, très embrouillée et indécise, et les 1ers signes d’une brutalisation des pratiques politiques. La chute de la république de Weimar, l’inflation et la passion boursière (dont je parlais toute à l’heure) qui renversaient en quelques heures les fortunes et élevaient quelques jeunes arrivistes au dessus de tout. La violence et le nihilisme sont désormais sur le devant de la

le moteur pour l'instauration, dans la communauté européenne, d'un nouveau projet de civilisation articulée par le progrès social, la laïcité et la défense de l'environnement.La montée du national-socialisme et les premières réactions. La République de Weimar, instaurée au lendemain de la Première Guerre mondiale, est em- preinte de l’idéologie sociale-démocrate et syndicale qui fait de la démocratie parlementaire l'une des bases essentielles de l’amélioration des droits des travailleurs et des

des ouvriers occupant les usines dans le nord et les paysans des propriétés agricoles, a lieu. Tout cela crée une situation de désordre dans le pays et aucune réaction du chef d’Etat n’est vue (il laisse pourrir l’Italie). En Allemagne, la République de Weimar est très contestée par la population qui considère qu’elle est responsable de la défaite allemande pendant la Première Guerre. Il y a un sentiment de « coup de poignard dans le dos ». De plus, le traité de Versailles est très mal vécu. L’opposition

infligées par les vainqueurs. Tout d'abord l'Allemagne est bien entendue considérée comme la grande perdante, mais aussi comme la coupable de la guerre : elle doit donc payer ses « dettes » tout en tentant de reconstruire son territoire. La république de Weimar imposée au pays par le traité de Versailles déplait fortement alors : on lui reproche de se plier aux exigences de la France, la Grande-Bretagne et les États-Unis. Les anciens combattants revenus du front sont quant à eux la nouvelle honte

Après la première guerre mondiale, l’Allemagne a perdue des territoires, elle n’a plus d’armée et  doit d’énorme sommes d’argents envers la France pour réparer les dégâts causés par la guerre.  Ce qui donne lieu a une crise économique.   La République de Weimar (Berlin) est très fragilisée mais est mise en place. Elle est attaque par  l'extrême droite allemande, qui est nostalgique de l’empire allemand. Mais elle est aussi  attaquée par l’extrême gauche, avec les communistes.   En 1918, on voit u

développer une théorie afin de trouver un coupable, c'est ce que l'on appelle la théorie de "coup de poignard dans le dos". Cette idée veut montrer que ce n'est pas l'armée qui est la fautive de cette défaite mais que c'est bel et bien la République de Weimar qui est le gouvernement mis en place entre 1918 et 1933, les civiles et les partisans de la Révolution de novembre 1918 qui sont la cause de cet échec. Ce mouvement de pensée est conduit par les nationalistes et des anciens combattants pour