Résidence secondaire

Le frère Attiret, jésuite, natif de Dijon, était employé comme dessinateur dans la maison de campagne de l’empereur Kang-hi, à quelques lis de Pékin. « Cette maison des champs, dit-il dans une de ses lettres à M. Dassaut, est plus grande que la ville de Dijon ; elle est partagée en mille corps de logis, sur une même ligne ; chacun de ses palais a ses cours, ses parterres, ses jardins et ses eaux ; chaque façade est ornée d’or, de vernis, et de peintures. Dans le vaste enclos du parc on a élevé à

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les avantages qu’offrent la ville ? je viserai deux points essentiels : le développement éducatif et la richesse des commodités. S’il est vrai que dans la plupart des petites communes il est possible de faire des études allant du primaire au secondaire bien souvent, il est certain que pour les études universitaires il faut se déplacer dans les grandes agglomérations. Prenons le cas d’une petite ville telle que Sallanches, en Haute-Savoie, l’université la plus proche est celle de Lyon dans le Rhône

PASSEPORT EMPLOI 1ère partie : le CV. Un CV est la présentation de soi-même, sous le meilleur jour possible. Non qu'il faille mentir, mais donner au lecteur-recruteur 1'envie de vous rencontrer. N'oubliez pas que la finalité de votre candidature est d'obtenir un entretien. Il faut séduire 1'entreprise, lui faire comprendre que 1'auteur du CV est la personne idéale pour le poste. C'est pour cette raison qu'un CV efficace doit être clair, concis et précis. Il faut savoir qu'un CV est

Le narrateur va à un mariage un jour d'avril de froid et partage ses tours avec un couple, M. et Mme. Roberts. Pendant la cérémonie, M. et Mme. Roberts de boisson beaucoup d'alcool; leur passager est circonspect d'aller à la maison avec eux quand ils décident de partir, autour 11pm. Le mari et la femme s'appellent des noms et les zigzags de voiture. Après quelques miles, M. Roberts se perd après prenant un mauvais virage et finit sur une petite route de campagne sombre. Après cela, ils ont un accident

Marivaux, La Double Inconstance, acte I, scène IV (1723). [...] TRIVELIN. � Savez-vous bien que le mariage que je vous propose vous acquerra l'amitié du Prince ? ARLEQUIN. � Bon ! mon ami ne serait pas seulement mon camarade. TRIVELIN. � Mais les richesses que vous promet cette amitié... ARLEQUIN. � On n'a que faire de toutes ces babioles-là, quand on se porte bien, qu'on a bon appétit et de quoi vivre. TRIVELIN. � Vous ignorez le prix de ce que vous refusez. ARLEQUIN, d'un air négligent. � C'est

Et si c’était vrai – Marc Levy Résumé : Un matin d'automne, Lauren Kline, medecin interne, se rend à Carmel, pour le week end, quand subitement, elle perd le contrôle de son véhicule. Elle est projetée à plusieurs mètres de sa voiture, traverse une vitre, puis enfin, sombre dans un profond coma. Durant son coma, le corps et l’esprit de Lauren se sépare, son esprit erre mais on ne peut ni le voire, ni l’entendre, ni le sentir pourtant il est bien là. Et pourtant, Arthur, architecte qui vient

Texte argumentatif sur la pièce «La résistible ascension d’Arturo Ui» «Cher public, nous vous présentons - Taisez-vous, les gens gens tout au fond! Chapeau là-bas, la jolie dame! - des gangsters l’historique drame: inédites révélations sur la scandaleuse affaire de la pseudo-subvention aux pseudo-travaux portuaires.» Ainsi débute la pièce intitulée «La résistible ascension d’Arturo Ui» revisitée et mise en scène par Gianni Schneider. Un bonimenteur s’adresse au plublic, lui présentant la situation

Marcel Pagnol raconte son enfance, sa naissance à Aubagne et les origines de ses parents Joseph et Augustine. Son père Joseph Pagnol, instituteur, est nommé à l'école du Chemin des Chartreux et la famille s'installe à Marseille.Tous les jeudis et tous les dimanches,il fait une promenade dans le parc Borély,au bord de l'étang avec sa tante Rose. C'est d'ailleurs là qu'elle rencontre l'oncle Jules qui se fait passer auprès de l'enfant pour le propriétaire du parc Borely. Tout semble opposer l'instituteur

Jean-Baptiste qui deviendra Molière, est baptisé le 15 janvier 1622 à Saint-Eustache, dans le quartier des Halles à Paris[5]. Il est né dans la maison[6] où son père, Jean Poquelin, marchand tapissier, a installé son fonds de commerce deux ans plus tôt avant d’épouser sa mère Marie Cressé. Son grand-père paternel et son grand-père maternel, tous deux marchand tapissier, exercent leur métier dans le voisinage, rue de la Lingerie (2 et 3 sur le plan). Les Poquelin et les Cressé sont des bourgeois