Resserrement du crédit

Tout d’abord par le retournement du cycle d’investissement après le boom de la fin des années 80, * Puis par l’éclatement des bulles financières et immobilières * Et enfin par le resserrement des politiques monétaires réagissant à l’accélération de l’inflation. La hausse des taux d’intérêt et le resserrement des politiques monétaires fut le facteur dominant de la récession en Europe. La politique restrictive menée alors pars les pays européens aboutie à la stagnation de la croissance jusqu’au

financier et finalement la mise en place de nouvelles régulations financières. De plus, la crise de crédit ce qui concerne Les banques ont littéralement moins d’argent, ce qui ne les incite pas à prêter .On parle donc d’ une réduction de la disponibilité générale de crédit ou d'un resserrement soudain des conditions requises pour obtenir un prêt de la banque . A partir du moment où il y a pénurie de crédit, la consommation des ménages diminue, entraînant ainsi un risque de récession économique.

Le
risque
global
de
la
banque
(secteur
a
risques)
:
 
 Risque
bancaire
proprement
dit
:
 
 ‐

 Risque
de
contrepartie
au
cœur
de
la
crise
actuelle.
La
banque
accorde
des
crédits
 sans
être
sur
de
pouvoir
se
faire
rembourser.
 ‐ Risque
de
liquidité,
elle
a
besoin
de
liquidité
pour
payer
ses
dettes
aux
autres
 banques
 ‐ Risque
de
taux
d’intérêt,
la
banque
accorde
des
crédits,
reçoit
de
l’épargne
…
marge
 intéressante
?
 ‐ Risque
de
marchés
financiers,
mauvaises
opérations
(achats
d’immeuble,
etc.)
 ‐ Risque
des
actions

(émission de titres financiers, plus réservé aux grandes entreprises) ou une autre part de financement intermédié (par crédit bancaire) plus pour les PME. 1 pt Explication : resserrement de la politique monétaire = hausse des taux d’intérêts par la BCE (lutte contre l’inflation) = hausse du coût du crédit pour un financement bancaire = l’endettement coûte plus cher = moins de crédit surtout pour les PME qui n’ont pas d’alternative = baisse ou ralentissement des investissements 1 pt Synthèse Introduction

cette crise par le rôle grandissant qu’ont joué les banques sur les marchés financiers dont l’instabilité se répercute sur la politique des banques quant à leur rôle traditionnel, celui de l’octroi de crédit aux agents économiques. Cette interdépendance entre risque de marché et resserrement des crédits semble a priori intéressante pour expliquer la répercussion de la crise financière sur l’économie réelle, ce qui remet en question le rôle des banques dans un système financier désormais internationalisé

seulement. Dans une situation aussi extrême, la priorité doit être de stabiliser le taux de change avant qu’un engrenage inflationniste s’enclenche. À partir du moment où on laisse les prix intérieurs s’envoler, il devient très coûteux de procéder au resserrement monétaire requis pour rétablir la stabilité des prix. La stratégie menée par les pays asiatiques a consisté à relever les taux d’intérêt à court terme pour enrayer le déra- page du taux de change, puis à abaisser graduellement les taux d’intérêt

développées ............................................... 4 Zones émergentes ................................................. 5 MARCHÉS OBLIGATAIRES ............................ 6 Obligations Gouvernementales ............................. 6 Crédit IG et HY....................................................... 7 Dette émergente .................................................... 8 MARCHÉ DES CHANGES ............................... 9 MARCHÉS ACTIONS .....................................

n’en demeure pas moins que les perspectives de la croissance mondiale restent menacées par une augmentation des risques baissiers. Il s’agit, notamment, des menaces liées à une aggravation de la crise des dettes souveraines de la zone euro, à un resserrement budgétaire excessif aux Etats-Unis, à un ralentissement plus rapide de l’activité en Chine et dans d’autres pays émergents, aux fluctuations des taux de change, et aux mouvements politiques et sociaux dans certains pays de la région MENA… 1

pays de la zone après la bulle immobilière des dernières années a pesé sur l’activité économique. Dans le groupe de pays émergents et en développement, la croissance économique a commencé à perdre de sa vigueur en 2011 sous l’effet, notamment, du resserrement des politiques monétaires dans certains pays pour contrecarrer la montée de l’inflation et de l’affaiblissement de la demande provenant des pays développés. Ce ralentissement a touché pratiquement toutes les régions, mais le rythme de la croissance

améliorations, la situation est loin d’être optimale. Les conditions standard d’octroi des prêts sont toujours relativement restrictives, une situation dont pâtissent la croissance du crédit et l’activité en général. Une simulation de modèle montre que, pendant la crise, l’allégement des conditions de crédit standard à hauteur d’un écart-type aurait permis d’atténuer la récession d’un point de pourcentage (pp). De nouvelles mesures doivent encore être adoptées pour remédier aux contraintes