Retour Du Protectionnisme

échanges internationaux doit disparaître. Protectionnisme : c’est pour un Etat, prendre des mesures visant à faire obstacle aux importations afin de protéger la production nationale contre la concurrence étrangère. Arguments en faveur du libre échange ou contre le protectionnisme | Arguments en faveur du protectionnisme et contre le libre échange | * La réduction des importations risque d’entraîner une chute des exportations * Le protectionnisme entraîne une baisse de la qualité des produits

ralentissement de l’industrialisation qui transcenda les frontières du Royaume-Uni ; berceau du phénomène. Enfin l’industrialisation s’est accompagnée de l’émergence de nouvelles théories économiques qui se confrontèrent tout au long du siècle ; entre protectionnisme et libéralisme, les débats ont été houleux et les alternances fréquentes… Mais comment l’Etat réagit-il et s’adapte-t-il à l’essor de ces nouvelles théories et phénomènes qui restructurent les sociétés ? Par quels mécanismes juridiques

ET INTERNATIONALISATION Remarque : Le libre échange est apparu après la deuxième guerre mondiale comme un nouveau dogme. Aujourd’hui, tous les Etats ou presque sont devenus favorable au libre échange. Tous condamnent officiellement le protectionnisme. Cependant, ce n’est qu’une humanité de passage. Chacun d’entre eux essayant de freiner les importations quand des secteurs nationaux sont fragilisés par la concurrence internationale. La notion, absolument centrale, pour comprendre l’objectif

la crise Mexicaine de 1992 les pays en développement, afin d’éviter des cessations de paiement, ont été tenus de passer des accords avec les institutions financières internationales, garantissant l’assainissement de leurs finances publiques, et le retour à l’équilibre de leurs balances des paiements. Ceci a provoqué un ralentissement du développement économique par le fait de politiques de privatisation sans limites, (?, À NUANCER) et des coupes étranges (À PRÉCISER) dans les dépenses publiques, notamment

socio-économique et démographique, un vote de peur traditionnel contre les pauvres et les jeunes. Il a rallié les petits commerçants qui étaient « unis » aux ouvriers au sein du vote frontiste : on observe donc une défaite du principe identitaire et un retour de la lutte des classes. Il n’y a selon Todd aucune dérive identitaire du corps électoral. Celui-ci est au contraire préoccupé par des questions économiques. En fait, c’est la classe dirigeante qui se concentre sur les questions identitaires, ce qui

dans la distribution, ce qui pose évidemment problème. De plus, alors que les 60-74 ans bénéficient de cette redistribution, les plus de 75 ans sont totalement oubliés et les 55-64 qui sont fortement atteints par le chômage. L’éternel retour du paupérisme Le retour du paupérisme dans les pays riches rend le combat contre la pauvreté primordial. Le financement de la redistribution par les entreprises semble impossible puisqu’elles ne jouent désormais plus de rôle « social ». L’Etat-Providence doit

les produits agricoles qui sont peu chers pour avoir un excédent dans la balance commercial. Politique coloniale : création de la compagnie des Indes. Politique des douanes. Favorable au développement économique. C’est un système extrêmement protectionnisme, avec des droits de douane et l’aide de l’Etat au développement industriel ou création directe d’entreprise… industries très réglementées. Moyen privilégié par Colbert : le développement industriel. Le colbertisme est une réponse à l’insuffisance

dans les années 1860.Dans ces années 1860, le prestige de l’empereur est encore immense, mais l’idée d’une libéralisation du régime fait son chemin. Les élections de mai 1863 montrent le retour en force de l’opposition, et notamment l’élection au Corps législatif de Paris de Thiers qui défend le protectionnisme et conteste les résultats du traité de janvier 1860. Dans son discours, Adolphe Thiers affirme sa politique et revendique le rétablissement des cinq « libertés nécessaires » : avec d’une part

plan la crise de 1929 qui témoignera de leur puissance économique. Puis nous terminerons par leur attitude neutraliste adopté dans les années 30. Warren G.Harring, représentant du parti républicain, est élu président en 1920, sous le slogan « retour à la normale ». Les Etats-Unis marquent leur attitude réservée face à l’Europe en particuliers à travers leurs différentes lois sur l’immigration. Ils imposent des quotas d’immigrants par nationalités. Ils se réfèrent au recensement de 1910 où une

commerciale, financière et bancaire. • Après une période de croissance rapide (1848-1873) due notamment aux innovations techniques (boom ferroviaire), les pays industrialisés traversent une période de stagnation (1873-1892) qui favorise un retour au protectionnisme. • À partir de 1892, la découverte de mines d’or, la deuxième révolution industrielle (moteurs à explosion, électricité) et la course aux armements (1906) relancent la croissance. B. 1914:les États-Unis, 1re puissance économique mondiale