Revenu minimum d'insertion

travailler et le droit d’obtenir un emploi" (art. 5). Les créations du SMIG (salaire minimum interprofessionnel garanti) par la loi du 11 février 1950, puis du SMIC (salaire minimum interprofessionnel de croissance) par la loi du 2 janvier 1973, de l’Agence nationale pour l’emploi (ANPE) par une ordonnance du 13 juillet 1967, du revenu minimum d’insertion (RMI) par la loi du 1 er décembre 1988 et du revenu minimum d’activité (RMA) par la loi du 18 décembre 2003, essaient de rendre le droit au travail

Les revenus Par I. BANAS (Lycée Lamarck – ALBERT) K. BOUTARFA (Lycée de la Hotoie - AMIENS), Dossier professeur Déroulement pédagogique : |Titre : |Les revenus | |Séquence pédagogique : |Cours | |Durée : |3 heures

des comités d’hygiène et de sécurité. ð 1950 Création du SMIG (Salaire Minimum Interprofessionnel Garantit) ð 1956 Troisième semaine de congés payés. ð 1967 Création de l’ANPE. ð 1968 Accord de Grenelle (c’est la reconnaissance d’un droit syndical dans l’entreprise entre le patronat et les organisations syndicales). ð 1969 Quatrième semaine de congés payés. ð 1970 Création du SMIC (Salaire Minimum Interprofessionnel de Croissance). ² 4ème étape : L’extension des droits

LES MERES SEULES ET LEUR INSERTION PROFESSIONNELLE……..P. 4 à 16 I-1 La famille monoparentale au féminin………………………………………… P. 4 à 7 I-2 Rencontre avec une population dite « pauvre » ……………………………… P. 8 à 11 I-3 Les difficultés d’insertion professionnelle des mères chefs de foyers monoparentaux……………………………………………....P.11 à 16 II. DISPOSITIFS MIS EN PLACE PAR L’ACTION SOCIALE POUR LES MERES ISOLEES…………………………………………………………..P. 17 à 28 II-1 Les

de leurs droits fondamentaux. La pauvreté: une personne est considéré comme pauvre quand son niveau de vie est inférieur au seuil de pauvreté. L’évolution de l’exclusion : Les personnes les plus touchées sont : Les familles à revenus très bas et/ou aléatoires Les femmes seules avec enfants Les personnes privées d’emploi au-delà de 50 ans Des personnes privées d’assurance Maladie/Vieillesse Les causes de l’exclusion : Chômage Faible niveau d’étude Endettement Immigration

véhicule, la santé (soins), le logement ou son équipement (travaux, aménagement), ou pour des évènements familiaux (frais liés à un divorce, à un décès). Il est accordé aux personnes généralement exclues du système bancaire classique, du fait de leur revenu trop faibles ou de la fragilité de leur situation professionnelle, et qui bénéficient d’un accompagnement social auprès d’un réseau d’accompagnement social qualifié. Il a pour objet l’acquisition d’un bien ou d’un service permettant d’améliorer la

 : ► Pauvreté  : (phénomène éco et sociologique) L’état de pauvreté fait référence à l’insuffisance de revenus. De cette définition ressortent 3 caractéristiques  :

possédant de se construire dans des circonstances favorables. Or, nous verrons par la suite que dans les ZUS ces conditions sont très rarement réunies. Comme il est précisé auparavant, les ZUS ne sont pas les seuls zones concernés par le problème d’insertion professionnelle des jeunes. L’étude du cas de la France en général pourrait être très intéressante mais mènerait à une analyse trop complexe, non gérable dans ce mini-mémoire. Ainsi celui-ci portera uniquement sur l’insertion des jeunes de 15 à

membres élus au sein du Conseil municipal et 8 membres nommés par le maire parmi les personnes participant à des actions de prévention, d’animation ou de développement social menées dans la commune. Au nombre des membres nommés doivent figurer au minimum : • un représentant des associations qui œuvrent dans le domaine de l’insertion et de la lutte contre les exclusions, • un représentant des associations familiales désigné sur proposition de l’union départementale des associations familiales,

l'emploi). - Sur le plan socio-économique, plusieurs réformes très importantes sont entrées en vigueur le 1er janvier 2012 ou prendront effet un peu plus tard. Elles concernent notamment les allocations d'attente qui sont devenues les allocations d'insertion, la dégressivité des allocations de chômage, l'accompagnement et le suivi des chômeurs, les prépensions, l'interruption de carrière et le crédit-temps. Il s'agit de réformes structurelles qui vont dans le sens des recommandations internationales