Revenu

l’IR en raison de l’ensemble de ses revenus= obligation fiscale illimitée (mondialité). Lorsqu’une personne physique n’a pas son domicile fiscal en France, elle n’est imposable en France que sur ses revenus de source française. Les impositions qui frappent les revenus : 1) Les contributions sociales généralisées (CSG) : Se sont des impositions qui sont affectées à un but précis. Ce n’est pas une cotisation car elle ne frappe pas uniquement des revenus du travail et son paiement n’ouvre pas

du président de la Commission des finances Jérôme Cahuzac. UN IMPOT CITOYEN SUR LE REVENU La stagnation des revenus modestes et des classes moyennes .............................................................. 53 Des inégalités de patrimoine considérables ...................... 56 Un système fiscal illisible et peu redistributif ................. 58 Une redistribution à rebours pour les faibles revenus d’activité ...........................................................................

Dossier 8 : La redistribution I/ Les fondements de la redistribution La répartition primaire des revenus se traduit par l’apparition d’inégalités, tant en terme de salaire que de patrimoine. Ces inégalités sont à l’origine de l’intervention de l’apparition de l’État-Providence dont la fonction principale est d’assurer une plus grande justice sociale en favorisant une redistribution des revenus au profit des agents économiques les plus pauvres. Ce phénomène de redistribution sociale s’est accru

répartition correspond au revenu I. Les différents types de revenus Les revenus : répartition liée au mode de production. Plusieurs types de revenus primaires : - Du travail : salaire, traitement pour les fonctionnaires, solde pour les militaires, droit d’auteur pour les écrivains, …) - Du capital : revenus du patrimoine=intérêts, loyer, dividende (part du bénéfice distribuée aux actionnaires), la plus-value (écart entre prix d’achat et prix de vente) - Mixtes : revenu qui mélange travail et

classique se fond sur deux piliers : - la loi de J.B.-Say de laquelle découle la théorie de l’intérêt ; - et la Théorie Quantitative de la Monnaie (TQM). I – La loi de Say j. B.-Say (1767 – 1832) résume la Théorie classique de l’emploi et du revenu dans le célèbre « toute offre crée sa propre demande ». si cette proposition est vraie, cela voudrait dire simplement que l’économie ne pourrait jamais souffrir de sous emploi ou de succomber à la peur Malthusienne de sous – consommation. La dépense

production homogènes produisant le même produit en branches. * Comment va se former le revenu des agents ? et comment vont-ils l’utilisé ? Les acteurs concernés sont les secteurs institutionnels ( unités qui ont un comportement économique identique) La production de biens et services non-marchand des administrations publiques contribuent a la richesse nationale . Le revenu primaire est l’ensemble des revenus que les ménages tirent de leur participation directe ou indirecte à l'activité économique

1.   2.   C. 1.   2.   Comment les revenus et les prix influencent-ils les choix des consommateurs ? Le revenu disponible se répartit entre la consommation et l’épargne Le revenu disponible Comprend les revenus primaires Les prestations sociales versées par la sécurité sociale et pôle emploi. Auxquels on soustrait les prélèvements obligatoires Le revenu disponible est réparti entre la consommation et l’épargne L’épargne est la partie du revenu qui n’est pas consommée. La consommation des

CONJONCTURE Revenu des exploitations agricoles 2010 Un effet de rattrapage Les Comptes de l’agriculture nationale ont été publiés le 16 décembre dernier. Le ministère de l’Agriculture a présenté une estimation de la croissance du revenu des exploitations agricoles professionnelles particulièrement forte : + 66 % entre 2009 et 2010. Ce chiffre mérite toutefois d’être interprété dans son contexte et à sa juste valeur. Du fait de la volatilité des marchés agricoles, en 2008 et 2009, les revenus des exploitations

entreprises, Maurice Cozian et Florence Deboissy, 2010_2011, Litec. INTRODUCTION I. Distinction entre impôts directs et impôts indirects Impôt direct : impôt qui est acquitté par le contribuable qui supporte directement l’impôt (ex : impôt sur le revenu, impôt sur les sociétés, etc.). Impôts indirects : il y a une dissociation entre le redevable (le débiteur juridique du prélèvement, cad celui qui verse l’impôt à l’Etat) et le contribuable (ex : un consommateur achète un produit soumis à la TVA

il est intéressant de poser la question sous un angle scientifique. Le fait que 45% des revenus passe par les mains de l’Etat qui les répartit de nouveau entre les différents agents économiques doit être mis en perspective : il faut bien distinguer la pression fiscale, qui est l’ensemble des prélèvements et taxations effectués sur les agents, de la redistribution, qui consiste en un transfert de revenu d’une population à une autre. Dans cette optique, François Bourguignon écarte de son analyse