Révolution fédéraliste

homme. La beauté, sans doute, ne fait pas les révolutions. Mais un jour vient où les révolutions ont besoin d'elle. Sa règle qui conteste le réel en même temps qu'elle lui donne sont unité est aussi celle de la révolte. Peut-on, éternellement, refuser l'injustice sans cesser de saluer la nature de l'homme et la beauté du monde? Notre réponse st oui. Cette morale, en même temps insoumise et fidèle, est en tout cas la seule à éclairer le chemin d'une révolution vraiment réaliste. en maintenant la beauté

soussignés, délégués au congrès tenu à Londres en novembre 1847, de rédiger un programme détaillé, à la fois théorique et pratique, du Parti et destiné à la publicité. Telle est l'origine de ce Manifeste dont le manuscrit, quelques semaines avant la révolution de Février 1, fut envoyé à Londres pour y être imprimé. Publié d'abord en allemand, il a eu dans cette langue au moins douze éditions différentes en Allemagne, en Angleterre et en Amérique. Traduit en anglais par Miss Hélène Macfarlane, il parut

Classiques / néo-classiques Introduction : Emergence de la pensée classique avec les révolutions industrielles grâce à de grands auteurs tels que Smith La richesse des nations ou Ricardo (Des principes de l’économie politique et de l’impôt) qui s’interrogèrent sur la question centrale de la valeur et du fonctionnement du marché. Remis en cause par Marx, les théories classiques sont pourtant reprises par un nouveau courant, celui des néo-classiques, fondé par Walras, Jevons et Menger aux alentours

rappelant de l’Algérie où les islamistes avait gagné les premières élections libres du pays depuis l’indépendance, c'est-à-dire, les municipales en 1989 et les législatives en 1991, ou celles de l’Iran où les islamistes sont arrivés au pouvoir après la révolution iranienne, il y a vraiment tout lieu d’être inquiet pour les pays arabes.

Guevara (1928-1967). Pendant ses études, il voyagea beaucoup, traversant l’Amérique latine et se rendant compte de l’extrême pauvreté recouvrant ce territoire. Pour abolir ces inégalités, il décide de se révolter et de défendre cette cause. Une révolution qui s’étendra dans le monde entier et, après sa mort, Che Guevara restera une icône du mouvement révolutionnaire partout dans le monde. L’esprit révolutionnaire paraît être un esprit adulé pour faire entendre ses idées au mieux. Les révoltes

majorité c) faits: -17 juin 1789, députés du TE se proclament Assemblée Nationale et prêtent serment du jeu de paume - 9 juillet l’Assemblée Nationale devient constituante d) conséquences: - pouvoir du roi diminue - fin de la monarchie absolu - révolution politique et juridique: levé du peuple contre le roi; prise de la bastille II- Vers un nouveau régime. a) Fin de la monarchie absolue et échec d'une monarchie constitutionnelle. - Le tiers-état déçu par l'ouverture des Etats généraux, se proclame

révolte. Quelle acte de révolte est justifiable et ou est la limite ? D’ou la polémique avec Sartre car Sartre va lui reprocher vu que Camus refuse la mort d’un tyran, il va dire que c’est un humanisme petit bourgeois. Camus a peur d’une révolution. Pour Sartre la révolution doit se faire. Il va évoluer vers un retour sur lui-même. Il remet en question son optimisme humaniste de départ. En 1957, il dit cela de lui : ‘un homme presque jeune, riche de ses seuls doutes et une œuvre encore enchanté.’ Il avait

le pays. Un an plus tard il est renversé par une junte militaire qui mettra en place la fameuse dictature Pinochet, laquelle fera torturer et tuer par millier. A quoi est du ce revirement de situation ? Le Chili n'était il pas prêt pour une telle révolution ? Le pays n'est pas seul en cause, de nombreux intervenant étranger on leur importance. Alors, l'échec d'Allende au Chili, un échec national où international ? Présentation de la situation avant Allende Après la première guerre mondial, le capitalisme

| | | |Lénine (1870-1924) : organisateur de la | | | |Révolution d’octobre 1917. | | | |Il est donc fait référence au | | |

e Forgeron : L'analyse politique et sociale Les deux premiers mots du poème "le bras" donne de suite le ton au poème, d'un coté des ouvriers et des paysans qui n'ont que leurs bras et reçoivent "gratuitement" des coups de fouet du seigneur , de l'autre une noblesse brutale vivant sous l'or, un clergé vivant dans l'insouciance et le confort "au soleil" passant le temps à réciter ses prières (disait des patenôtres), des élus timides rédigeant "des menus décrets", des juges "hommes en noirs" renvoyant