Revolver

« la mer haletait de toute la respiration rapide et étouffée de ses petites vagues ». Le soleil est présenté comme une espèce de monstre : »son grand souffle chaud », hostile, il est armé : « épée de lumière ». la lumière « gicle » sur l’acier du revolver, le soleil est muni de « cymbales » qui assourdissent le personnage. On retrouve encore à la fin du passage : »l’épée brûlante ». De la même façon, la personnification de la mer scande le passage :  le bruit des vagues est « paresseux », la

L’intensité des chocs sert de mesure d’agression. Auparavant, le sujet a été ou non irrité, mis en colère, par le partenaire. Pendant la manipulation elle-même, le sujet a, à côté de lui, soit un revolver, soit une raquette de badminton, soit rien. | |Présence d’un revolver |Présence d’une raquette de |Aucun objet | | | |badminton |

« Pendant tout ce temps, il n’y a plus eu que le soleil et ce silence, … » (p.60). Le décor nous indique déjà que quelque chose de mal va se passer. Ambiance lourde et malsaine. Le soleil apparaît encore quand Raymond lui donne le revolver: « Quand Raymond m’a donné son revolver, le soleil a glissé dessus. » (p.61). Il les suit jusqu’au retour au cabanon, l’atmosphère est étouffante pour Meursault « la tête retentissante de soleil, découragé devant l’effort qu’il fallait faire pour monter l’étage de

(baignade, cinéma) avec une amie d’autrefois, Marie. Un dimanche, Meursault, son ami Raymond et Marie, rendent visite à Masson et sa femme qui habitent au bord d'une plage. Les trois hommes ont une altercation avec deux Arabes. Meursault prend le revolver de Raymond et, sans véritables raisons et suite à un enchaînement aveugle de circonstances et d'impulsions instinctives, il tue l’un des deux Arabes resté sur la plage. Déféré à la justice, Meursault n'a pas conscience d'être un criminel. Par son

parce qu'il ne faut rien négliger, mais j'avais l'impression qu'ils m'éloignaient de la piste de l'homme à l'imperméable. A moins que ... Peut-être cet homme était-il un ami de Jacqueline Delvrière? Peut-être avaient-ils rendez-vous? ... Mais le revolver?... Et pourquoi un rendez-vous dans ce funiculaire dont le trajet est si bref qu'on n'a pas le temps de tenir une conversation? Et puis, il y avait eu vol, à n'en pas douter. La bonne me confirma ce point: oui, Madame avait toujours un peu d'argent

disparaissent au fur et à mesure que les crimes surviennent. Il ne reste alors plus que six invités. A qui le tour ? La question reste sans réponse… Au petit déjeuner, Miss Brent meurt d’une piqûre ; puis dans la soirée, le juge Wargrave meurt d’une balle de revolver. Il ne reste plus que quatre personnes vivantes sur l’île. Des recherches sont faites pour savoir si quelqu’un se cache dans l’île mais aucune cachette n’est possible. Le meurtrier fait donc partie des quatre survivants. Le jour suivant, l’officier

tribu indigène, il a pris leurs vivres alors qu’ils étaient perdus dans la brousse et les a laissé mourir de faim. Il a été pressenti par Isaac Morris qui lui a offert cent guinées pour venir sur l’île. Il est tué par Véra Claythorne d’un coup de revolver dans le cœur. John Gordon Macarthur J.G. Macarthur est un général qui a eu une conduite courageuse pendant la Grande Guerre. C’est un homme âgé aux cheveux gris coupés courts, à la moustache soignée et aux grands yeux gris-bleu fanés par

d’éducation très stricts et aux opinions tranchées. A la découverte de sa mort, les autres invités décident de fouiller la trousse du docteur. Sa seringue a effectivement disparu. Sur ce, le Juge décide de mettre le revolver de Lombard et les médicaments en sécurité. Mais le revolver de Lombard reste introuvable. L’aurait-il mis à l’abri dans une cachette connue de lui seul ? 6 ème crime: Prise de panique à la découverte d’une algue accrochée au plafond de sa chambre, Véra alerte tous les autres

tous les événements. En effet, c’est « à cause de cette brûlure » que Meursault fait « un mouvement en avant », ce qui en retour provoquera le geste de l’Arabe qui sort un couteau. Agressé par le reflet du soleil sur la lame, Meursault lève alors le revolver et tire. En un sens, c’est contre le soleil, clairement hostile, que semble se défendre Meursault, plus que l’Arabe lui-même. B – La souffrance physique Si Meursault cherche à se défendre, c’est qu’il endure un véritable tourment physique. Ses sensations

au lendemain d'une nuit d’émeutes opposant la police et la jeunesse sont en marres du système et la société. Dans les émeutes un policier blesse un de leurs amis (Abdel Ichaha) sérieusement. Pendant la nuit de l'affrontement un policier perd son revolver. Le lendemain Vinz la trouve et décide qu'il va tuer un policier au cas où son ami ne sortait pas du coma, l'histoire se déroule cette jour-là au tour de la haine. CRITIQUE DU FILM : Dans le film « La Haine » on peut voir les complexes problèmes