Revue de Paris

Madame Bovary MADAME BOVARY. Mœurs de province. Roman de Gustave Flaubert (1821-1880), publié à Paris en feuilleton dans la Revue de Paris du 1er octobre au 15 décembre 1856, et en volume chez Michel Lévy en 1857. Après diverses œuvres de jeunesse — jugées comme telles par Flaubert qui n’envisagea jamais de les publier — et la Tentation de saint Antoine (première version) — texte encore insatisfaisant et qui fera l’objet de deux autres rédactions —, Flaubert, de 1849 à 1851, voyage en Orient

lecteur puisse laisser entièrement libre cours à son imagination. Flaubert commença la rédaction de « Madame Bovary » en 1851 et y travailla ensuite pendant 5 ans, jusqu’en 1856. À partir d’octobre de la même année, Madame Bovary est publié dans la Revue de Paris sous la forme d’un feuilleton. En février 1857 les choses se compliquent avec le jugement de Flaubert et de son imprimeur pour « outrage à la morale publique et religieuse et aux bonnes mœurs ». Finalement, Flaubert sera acquitté et Madame Bovary

Eugène Delamare, médecin à Ry est retrouvé mort de chagrin après que sa femme adultère se seraient empoisonnée. Ce fait divers inspire Flaubert qui après quatre ans de labeur, publie son roman Madame Bovary dans la revue de paris en 1856 et en libraire en 1957. Ce roman fait scandale. L'histoire de cette fille de paysans qui, insatisfaite, fuit la médiocrité de son époux et la routine provinciale par ses lectures et l'adultère choque profondément la censure. Flaubert est poursuivit en procès pour

ressentit déjà «un sentiment de destinée éternellement solitaire», d’autant plus qu’il fut mis en pension : à Lyon, parce que son beau-père y fut nommé chef d'état-major de la 7e division militaire ; à Louis-le-Grand, quand le colonel Aupick fut muté à Paris ; dans la Pension Bailly de la rue de l'Estrapade après son renvoi du lycée. L'écolier passa par les crises de mélancolie et d'indiscipline des enfants mal aimés. À dix-huit ans, cependant, il fut bachelier, tandis qu’Aupick devint général. Il «voyait»

littéraire dans Madame Bovary. IV. Comparaison entre Bel-Ami & Madame Bovary. V. Conclusion générale. I. Introduction. Bel-Ami est un roman de Guy de Maupassant publié en 1885 sous forme de feuilleton dans Gil Blas, et dont l'action se déroule à Paris au XIXe siècle, en pleine Révolution industrielle. Ce roman, retrace l’ascension sociale de Georges Duroy, homme ambitieux et séducteur, employé au bureau des chemins de fer du Nord, parvenu au sommet de la pyramide sociale parisienne grâce à ses maîtresses

Henri Beyle, plus connu sous le nom de Stendhal, à qui l'on doit les romans de formation Le Rouge et le Noir, La Chartreuse de Parme et Lucien Leuwen. La nouvelle « Vanina Vanini », dont l'incipit est analysé dans ce commentaire, paraît dans la Revue de Paris en 1829 puis est incorporée dans les Chroniques italiennes à la mort de l'auteur. Cette œuvre met en scène un amour impossible entre deux jeunes passionnés que tout oppose, une jeune princesse dénommée Vanina et un révolutionnaire italien. Stendhal

(par exemple, Juana, la mère de Don Juan, introduite dans l’Elixir de longue vie revient dans le Lys dans la vallée) Balzac publiait beaucoup en revue et on compte de nombreuses nouvelles à son actif. Ce texte sera l’un des plus réédités car il le sera cinq fois du vivant de son auteur. La première version, publiée dans la Revue de Paris, en 1930, s’intitule Festin et Fin, qui deviendra, dans l’Edition Furne, en 1846, l’Elixir de longue vie. En tête de chapitre sont placés, en épigraphe,

Le père Goriot – Balzac L’œuvre et son auteur 1 Titre et première date de parution • « Le père Goriot » • La publication du roman commence sous forme de feuilletons dans La revue de Paris, entre décembre 1834 et février 1835. Il ne paraît réellement en librairie qu’en 1835. Le roman est tout de suite bien accueilli par le public. Il inaugure dans La comédie humaine, le système du retour épisodique des personnages. La comédie humaine est un ensemble d’ouvrages d’Honoré

* Entrée dans l’  « histoire de C.Gueux », l’historique des publications : * La relation des faits dans La Gazette des tribunaux les 19 mars, 11 avril et 15 juin 1832 * La publication de la nouvelle de Hugo dans La Revue de Paris le 6 juillet 1834 * Lecture de l’incipit de la nouvelle : * Du début à « il avait pourtant bien souffert » * Mise en perspective avec la fiche signalétique de Claude Gueux : éléments repris par Hugo. * Premiers éléments

Source : Gallica bibliothèque numérique, BNF. LA REVUE DE PARIS, Novembre-décembre 1921 UNE CONSPIRATION EN 1537 SCÈNE HISTORIQUE INÉDITE DE GEORGE SAND AVANT-PROPOS Vers 1831, à l'époque où George Sand, arrivée depuis peu à Paris, faisait, avec l'aide de Sandeau, son apprentissage dans le métier d'écrivain et cherchait sa voie, en s'essayant tour à tour dans divers genres, elle s'avisa de composer une scène historique. La faveur du public se portait depuis quelques années de ce côté Ludovic Vitet