Rhétie

Extrait français tiré de « Vies des douze Césars » de Suétone p.272-273 chapitre X, Paris, 1975, Coll. « Folio ». [8] Cette route relie la Rhétie au nord de l’Italie de façon directe. [9] Mais plutôt le troisième, après Jules César et Caligula. [10] Commandant choisi par Claude [11] Désormais Richborough, au sud est de Londres ----------------------- En l’an 801 de Rome César

de la Gaule est un évènement historique dans l'histoire de l'Occident. Rome, qui jusque là est un empire méditerranéen, étend à partir de ce moment là sa domination sur l'Europe transalpine. Dans les décennies qui suivent, Rome soumet les Alpes, la Rhétie, la Norique et la Bretagne, et dominera ainsi le vieux continent pendant des siècles. À partir de ce moment, les destins de la Gaule et de Rome suivent le même chemin : la Gaule voit, grâce à la romanisation, la construction de nouvelles villes,

ponctuelles et répondent souvent aux abus du pouvoir romain en matière de prélèvements fiscaux et elles sont menées par des élites, citoyens romains. * Des régions semblent peu marquées par les révoltes même lors de la conquête : les Alpes, la Rhétie, la Bétique. Dans une moindre mesure la Bretagne et la Germanie qui d’une part sont des provinces « militarisées » mais sont aussi de plus petites tailles que l’Ibérie et la Gaule. La Sicile est un cas particulier avec les révoltes servile. *

partage.   II-                La mise en œuvre du partage.     A-    L’inventaire du royaume : Envoi de missi à interpréter dans le sens plus classique d’enquêteurs qui établissent un état des revenus et des domaines fiscaux (conservé pour la Rhétie, actuelle Suisse). Ce qu’il est important de connaître, c’est ce qui fait l’objet du partage. Il importe moins, à l’époque, de connaître les limites territoriales que les villae, d’où l’inventaire ou l’état dont parlent les sources. Ce sont bien

fils. Parallèlement, Pépin et Louis cherchent, avec leur clientèle, à tirer profit des rivalités. Plusieurs crises : - 826-827 : se termine par le triomphe du principe de partage. Charles obtient la promesse d’un territoire (Alémanie, Rhétie, Alsace et une partie de la Bourgogne). Lothaire est relégué en Italie. - 830-831 : les frères rétablissent Lothaire comme empereur associé (Louis le Pieux est toujours vivant) et obtiennent des agrandissement de leur royaume respectif). C’est

aussi les enseignes que les Parthes avaient enlevées à M. Crassus. (2) Il gouverna environ un an la Gaule chevelue, alors agitée par les incursions des Barbares et par les querelles des chefs. (3) Il fit les guerres de Rhétie, de Vindélicie, de Pannonie et de Germanie. Dans celle de Rhétie et de Vindélicie, il soumit les peuples des Alpes; dans celle de Pannonie, les Breuces et les Dalmates; dans celle de Germanie, il transplanta dans les Gaules quarante mille hommes qui s'étaient rendus à discrétion

scéniques qui représentent en fait la fin de l’initiation). Il revient par trois fois à Athènes, et passe plus de temps en Orient qu'en Occident. La deuxième est l’idée qu’il se fait de sa tâche d’empereur : fortification du limes, en Germanie, Rhétie et Bretagne en 121 et 122, inspection des troupes en Afrique en juillet 128, surveillance de l’administration des provinces, fondation de la colonie d’Aelia Capitolina en 130 sur le site de Jérusalem détruite sous Vespasien lors de la dernière grande

prétorien » suite à de « nouveau [x] succès militaire[s]. En effet il y a encore la guerre le long du Danube, et Marc Aurèle a besoin d’officier de confiance, il se tourne alors vers Pertinax. Celui-ci aurait libéré les provinces de Norique et de la Rhétie. Par ces actes victorieux, Marc Aurèle fait de Pertinax un Prétorien, et lui donne le poste de préfet du prétoire. De plus en 175, ligne 13, Pertinax devient consul suffect (consul élu suite à la mort d’un consul qui n’avait pas fini sa charge). Il

| |Mésie |Palestine | |Norique |Egypte | |Rhétie |Antioche | |les deux Germanie |Parthes | |

migratoires des populations germaniques commencèrent bien avant leur arrivée dans l’empire. C’est dans la deuxième moitié du IIe siècle que les Quades, Marcomans, Lombards et Sarmates firent leur apparition sur le Danube et envahirent les provinces de Rhétie, Norique, Pannonie et Mésie. Au début du IIIe siècle, les Alamans firent leur apparition et menacèrent le limes de Germanie à la charnière entre le Rhin et le Danube. En 233, la recrudescence des menaces sur le Danube força l’empereur Sévère Alexandre