Ride

wont forget me. remember and if you dont then ponder. hold up bahh bahh there's a reminder i aint kinda hot i'm sauna i sweat money and the bank is my shower haha and that pistol is my towel ha so stop sweatin me coward and i would die for ours ride for hours supply the flowers this is history in the making now shut the f**k up and let me make it chorus please dont shoot me down cause im flyyin im flyin im highup please dont shoot me down cause im flyin im high up (this tea is at a real

plaques : Plaque Nubie/Somalie (ou Afrique) à l’ouest, Plaque Inde-Australie à l’est, et Plaque Antarctique au sud. La branche Centrale Indienne a d'abord une direction S-N, puis s'incurve en s’orientant vers le NW (elle prend alors le nom de dorsale ou ride de Carsberg), et enfin se dirige vers l’W en pénétrant dans le golfe d'Aden, après décalage par la faille transformante (et zone de fracture) d’Owen; son taux d'expansion moyen est de l'ordre de 3cm/an. La branche Sud-Ouest Indienne, a une direction

est tout usée et ridée comme celle d’un vieil éléphant ». Ses yeux sont « très clairs, d’un gris pâle » et la peau de son visage est brune. Il ressemble un peu à un Indien. Son expression est très calme et douce, malgré son nez busqué et ses joues ridées. Il y a une lueur d’amusement dans son regard. Il a été soldat. Il est généreux et patient avec Mondo. C’est lui qui va lui apprendre à lire. Il connait beaucoup de choses et aime les raconter d’une voix douce. Il rêve de partir très loin.

Chaleur frappante Pluie abondante Souvenir des années trente cinq' Même réunis Rentrent les nazis Souvenir des années trente cinq' Soixante millions d'anéantis, État source d'idéologie, Début réel d'un génocide, Hitler frappa sans la moindre ride. Cauchemars d'après quarante' Quittant mon âme Sortant ma lame Cauchemars d'après quarante' Sombre « Dornier-Do » Volant de haut Cauchemars d'après quarante' Soixante millions d'anéantis, État source d'idéologie, Début réel d'un génocide

boot h , h s C A7 D G7 W e are , w e are t e dandy cow boys h C A7 D G7 C E7 F Fm I re ad t oday in a m agazine t atm e n don'tl e girl w h o are s h y and s ad s o now h ik s C E7 F Fm I w e ar m y m agic s m il, j tfor you, I putm y m agic boot , I ride m y m agic h ors e e us s C A Dm G7 I am s o brav , I don'tfe ar anyt ing, I fe e l s grow ing unde r m y s k irt e h gut C A7 D G7 C A7 D G7 I rob alt e bank s and giv t e m one y t daddy lh e h o be caus e ... C A7 D G7 C E7 And now I'm t

"Veux-tu avoir la vie facile ? Reste toujours près du troupeau, et oublie-toi en lui." On ne devient pas vieux pour avoir vécu un certain nombre d'années; on devient vieux parce qu'on a déserté son idéal. Les années rident la peau: renoncer à son idéal ride l'âme Réaliser dans l'âge d'homme les rêves de la jeunesse, c'est ainsi qu'un poète a défini le bonheur. [ Stendhal et le Beylisme (1914) ] Léon Blum « Dès qu'un homme cherche le bonheur il est condamné à ne pas le trouver. Quand il paraît

they have inspired the Association of Chief Police Officers to launch a campaign to encourage bike dealers to ensure that their middle-aged customers get the training they need to meet the challenge that newer bikes pose . “ Many of them used to ride bikes years ago but they don't seem to realise that bikes have advanced so much over the past 20 years that today's machines bear little resemblance to what they were used to “ said Chief Insp. David Short of North Yorkshire traffic police , whose

main, elle est droite dans l’adversité. Mais tous les signes de la misère sont là : ses vêtements sont de toile rude, ses cheveux grossièrement coiffés, elle tient un nourrisson dans une couverture sale, posée sur ses genoux. Son visage est abîmé, ridé, c’est presque celui d’une vieille femme, marqué par les tournants de la vie, alors que nous savons que Florence Thomson n’a que 32 ans. Elle est le symbole de ces 70% de femmes américaines qui ont du lutter seules pour soutenir leur famille. La beauté

touches plus ou moins épaisses. Son autoportrait est ainsi dynamisé par les coups de pinceaux. Rien n’est vraiment net, mais pourtant le tableau regorge de détails : le béret et tous ses plis, la blouse peintre et le costume qu’elle protège, la petite ride du lion qui indique la concentration du peintre. Il en va de même pour la photo de Nadar. A la différence que tout est montré en détail : la coiffure légèrement échevelée, son costume élégant, cette pose décontractée qui semble indiquer qu’il a quelque

caoutchouc de traite, brut, qu’on lui apportait de la brousse, en sacs, en boules humides. Comme nous étions là, jamais las de l’entendre, une famille de récolteurs, timide, vient se figer sur le seuil de la porte. Le père en avant des autres, ridé, ceinturé d'un petit pagne orange, son long coupe-coupe à bout de bras. Il n'osait pas entrer le sauvage. Un des commis indigènes l'invitait pourtant : « Viens, bougnoule ! Viens voir ici! Nous y a pas bouffer sauvage ! » Ce langage finit par