Ridicule D Orgon

dans des vers célèbres de Boileau, au IIIe chant de son Art poétique: Molière eût pu prétendre au titre de prince des poètes comiques s’il n’eût «quitté, pour le bouffon, l’agréable et le fin, / Et sans honte à Térence allié Tabarin. / Dans ce sac ridicule où Scapin s’enveloppe, / Je ne reconnais plus l’auteur du Misanthrope». Térence, Tabarin: la formule est juste, quoique incomplète. Les Fourberies de Scapin reprennent en effet l’intrigue du Phormion de Térence et empruntent aux farces tabariniques

protection du frère du roi : sa troupe prend le nom de « Troupe de Monsieur » et représente en particulier les tragédies de Pierre Corneille[->16] (Nicomède[->17] – Cinna[->18]). Sa carrière d'auteur dramatique[->19] commence vraiment avec Les Précieuses ridicules[->20] qui remporte un grand succès en novembre 1659[->21]. Soutenu par le roi Louis XIV[->22], (mal)marié avec Armande Béjart[->23] et vite malade du poumon, Molière affronte les cabales et continue à jouer et à diriger sa troupe – devenue « Troupe

porter un regard critique sur leur société, par exemple Tartuffe ou l’imposteur de Molière. Dans cette pièce de théâtre, il tente de lancer une satire de la dévotion, en proposant un spectacle dans lequel les dévots sont présentés soit comme des ridicules (Orgon) soit comme des hypocrites (Tartuffe). Aussi lors de la seconde guerre mondiale, beaucoup de poetes engagés publient des poemes accessibles pour prendre position ou également tenter de convaincre. Nous pouvons citer le poéme de Robert Desnos

premières comédies, des comédies de Scarron et de Thomas Corneille et des tragédies de Pierre Corneille (en particulier Nicomède et Cinna), de Rotrou et de Tristan L'Hermite[n 1]. Sa carrière d'auteur dramatique commence vraiment avec Les Précieuses ridicules, pièce qui remporte un grand succès en novembre 1659. Soutenu par le roi Louis XIV, marié avec la jeune comédienne Armande Béjart et jouissant d'une solide santé malgré sa fin brutale[n 2], Molière affronte les cabales et continue à jouer et à diriger

« célestes » v.967, « ange » v.970, « âme » v.981, « tribulations » v.982 et « autel sacrifice » v.394. En déclarant son amour pour Elmire, Tartuffe nous montre son double jeu ; c’est un faux dévot qui utilise la religion pour se faire entretenir par Orgon. On le voit au moment où il prend la parole « dévot, je n’en suis pas moins homme » v.966, il veut dire à Elmire que malgré la religion il a un sexe. Ensuite, Tartuffe dit qu’il est terriblement attiré par Elmire et ces charmes dans le passage du vers

l’intervention d’un personnage afin de résoudre la situation plus facilement, de retrouver la logique de l’histoire. Dans Tartuffe de Molière, Orgon est victime de l’hypocrisie du faux dévot Tartuffe. À la fin, Tartuffe va se servir de papiers compromettants qu’Orgon lui a remis et le dénoncer au Roi. Cependant, ce dernier a conservé une affection pour Orgon qui l’avait bien servi jadis, il lui pardonne et arrête le faux dévot. L’apparition de l’autorité royale et la métonymie du Prince résolvent la

même situation, parole, geste = effet mécanique + effet d’accélération L’exagération : grossissement ; la situation est amplifiée Rencontre inattendue, malencontreuse Comique de caractère : Obsession, manie d’un personnage tourné en ridicule.. (Arnolphe) (Orgon) Comique de geste : coups, gifles, bastonnades, chute, mouvements mécaniques.. Les formes du comique. Le burlesque : il repose sur le décalage entre l’objet décrit et le niveau de langue choisi, Peint des situations sérieuses en

antithétiques comme « homme de bien » ou « ce beau monsieur-là » qui font l'ironie de ce personnage, Dorine dévoile aussi la nature des agissements de Tartuffe en prononçant le mot « hypocrisie ». L'antithèse s'est don scindée en 2 clans : les pro-Tartuffe (Orgon et Mme Pernelle) et anti-Tartuffe (tout les autres). C'est un conflit familial qui menace d'éclater. Enfin, nous retrouvons une question morale dans cette scène d'exposition. En effet, nous remarquons le champ lexical de la religion à travers « intérêt

qu'il cède les deux cents pistoles. Mais ce stratagème n’ est pas le seul de la pièce. --------------------------------------------- Le personnage de Sganarelle dans Dom Juan : Sganarelle, le valet de Dom Juan est un personnage grotesque voire ridicule mais il sait aussi se montrer rusé dans certains cas. Il est le contraire de son maître et soumis à lui mais est parfois capable de le défier. Il est le représentant du peuple dans la pièce.Il est totalement opposé à Dom Juan, Sganarelle préfère

quand les paysans se parlent entre eux et utilisent un langage populaire ou encore le comique de situation ou un quiproquo comme dans Le Tartuffe quand Orgon se cache sous la table pendant que Tartuffe essaye de séduire Elmire ; le comique de geste comme dans L’Île des Esclaves de Marivaux quand Arlequin essaye d'imiter son maître et qu'il est ridicule , le comique de caractère, ces personnages qui sont volontairement dans l’excès comme Harpagon dans L’Avare de Molière, tout cela est encore mieux assimilé