Ridicule

R EL E S    A V E U G L E S | « Tableaux Parisiens | Portrait assez critique des aveuglesmaisCe poème révèle finalement être une confidence personnelle |  Contemple-les, mon âme; ils sont vraiment affreux ! Pareils aux mannequins; vaguement ridicules; Terribles, singuliers comme les somnambules; Dardant on ne sait où leurs globes ténébreux.Leurs yeux, d'où la divine étincelle est partie, Comme s'ils regardaient au loin, restent levés Au ciel;  on ne les voit jamais vers les pavés Pencher

objections à cette méthode " il est vrai …est bien lente " Fontenelle montre adroitement que le pire danger est le ridicule - répète la même idée plusieurs fois Þ méthode fiable et qui évite le ridicule. la précipitation et la volonté de faire vite fait paraître le ridicule Fontenelle scientifique car il connaît la méthode et mondain car il explique aux nobles comment éviter le ridicule.   2nd paragraphe : Fontenelle prend soin d’annoncer son anecdote qui a pour but d’authentifier celle ci et

pour la tolérance et l égalité(ex:Voltaire,Montesquieu....et tous les écrivains du XVIIIem siècle) -Le rôle des parents est crucial:ils doivent etre un bon exemple et inculquer la tolérance à leurs enfants. -Démontrer le caractère illogique et ridicule du racisme:les différences de couleur de peau,de culture,de sexe..n impliquent pas inégalité.Le monde est caractérisé par la diversité. Et comme le dit si bien St Exupéry;"Celui qui diffère de moi,loin de me léser,m enrichit" On peut également

objections à cette méthode " il est vrai …est bien lente " Fontenelle montre adroitement que le pire danger est le ridicule - répète la même idée plusieurs fois Þ méthode fiable et qui évite le ridicule. la précipitation et la volonté de faire vite fait paraître le ridicule Fontenelle scientifique car il connaît la méthode et mondain car il explique aux nobles comment éviter le ridicule. 2nd paragraphe : Fontenelle prend soin d’annoncer son anecdote qui a pour but d’authentifier celle

rêveenfantin et destructeur. Autour de lui, un groupe de gens qui n'est pas encore la famille constituée des pièces à venir fait résistance à cette tyrannie obsessionnelle. Il tente de révéler au tyran combienil est dans l'erreur, combien il est ridicule, combien il est cruel, combien il se trompe dans sa vision du monde. Mais Arnolphe ne les entend pas, ne les voit phhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhh jjjjjjjjjjjjjjjjjjjjjjjjjjjjjjjjjjjj hhhlllllllllllj Entre comédie et tragédie

premier est une scène d’exposition, mais aussi une scène ou la philosophie est mise en valeur de manière ridicule. La scène commence par un éloge du tabac. Le discours argumentatif de Sganarelle est réfléchit et référencié par la philosophie et en particulier Aristote. Il nous propose un discours construit et résonné avec des arguments clairs. Cependant, ses paroles sont fausses et ridicules, c'est que ce nous allons découvrir dans cette première partie. Cette scène comporte un discours argumentatif

que c’est un homme assez « grassouillet » qui porte souvent des habits très bizarres qu’on pourrait qualifiés de ridicules. Monsieur Jourdain a une quête, qui consiste à ressembler et à imiter un homme de qualité (appartenant à la noblesse). Ce dernier est toujours en décalage entre ce qu’il veut paraître : noble, intelligent, bien habillé,… et entre ce qu’il est : un bourgeois ridicule. On peut retrouver ce décalage à l’acte 5, scène première (p. 119). Dans cet extrait, Monsieur Jourdain croit être

répétition du même thème au cours de l’ensemble du monologue, et toutes les déclinaisons que ce thème subit. Cette obsession se révèle en outre à travers les hyperboles et accumulations du monologue d’Harpagonperte du sens de la réalité : Harpagon est ridicule et comique par l’inadéquation de son discours à la réalité. En cela, il est la représentation d’un vice que Molière s’amuse ici à ridiculiser. Voir les sentences qu’Harpagon réserve au voleur : « faire donner la question » ( = torturer), à tous les

travail, soit ce magnifique costume de pigeon, qui est, vous le savez, le symbole de notre magasin ! Alors heureux ? … Et n’oubliez pas Marcel … Jean-Paul … euh non … Johnny : «  Vivons bien. Vivons plus cher ! » Bien sûr ce costume est ridicule, tellement ridicule que je le tassai au fond d’un malheureux sac plastique « A la ville » . De retour chez moi, j’ essayai autant que possible de le cacher derrière mon dos et, passé la porte d’entrée, je camouflai ce déguisement précipitamment dans une malle

dégradation. Usant d’un schéma habituel de la comédie classique, le vieil homme souhaite ainsi ridiculiser les jeunes hommes, alors que, par effet comique, c’est lui qui se rend ainsi ridicule. Les tournures condescendantes (Mais va, crois-moi, vers 2) et l’amour paternel, amical (vers 16) de Don Ruy Gomez contribuent à ce ridicule. Participant à une logique du mépris, le démonstratif récurrent ces (vers 2, 4 et 5), qui qualifie les jeunes hommes, appuie cette volonté de mettre à distance cette jeunesse