Rimes Croises Amour

qu’à l’exception du premier vers, les pieds dans les couplets sont des hexasyllabes et les refrains alternent des vers de 15 et 14 pieds. Les couplets sont des huitains et les refrains sont des quatrains. Les couplets sont formés de rimes croisées et les refrains de rimes suivies. La chanson est écrite de style vers libre. Dans ce texte, les deux-points sont utilisés par Félix pour amener une demande ou un souhait selon le cas. Il y a aussi des virgules surtout dans les refrains pour indiquer une énumération

intitulé «  L’Avenir » est une écriture poétique de Guillaume Apollinaire qui date du mouvement du surréalisme donc au 20ème siècle. Il appartient au recueil des « poèmes de la paix et de la guerre » c’est un poème de quatre quatrains avec des rimes suivies AABB. Le thème général du texte est : la guerre ou plus exactement la Première Guerre Mondiale. Cette scène raconte l’histoire des poilus qui combattait dans les tranchées sous le froid et l’attente des ennemis. C’est dit que les poilus qui

éprouve un amour interdit et non réciproque envers son beau fils Hippolyte qui aime Aricie. Phèdre apparaît-elle comme un monstre ? Nous allons voir dans un premier temps le destin tragique d’une femme possédée puis dans un second temps Phèdre et le monstre marin. A. Le destin tragique d’une femme possédée 1.Les sentiments de Phèdre Dans la pièce de théâtre de Racine, on peut remarquer que Phèdre passe par de multiples sentiments. Ainsi au début de l’œuvre Phèdre possède déjà un amour monstrueux

secondaire : il aurait lareconnaissance ou la confession ; « Vous savez que je suis calme et pur comme vous.» Il cherche à dire qu'il se fait comprendre par la nature. #3 :  C’est un poème que l’on pourrait diviser en quatrain, et ilest composé de rimes plates (AABB). Il contient beaucoup de ponctuation comme despoints virgules, des virgules, des points et des points d’exclamation.   #4 :   La personnification des arbres :« Vous savez que je suis calme et pur comme vous. » Il nous montre combien

Le premier poème est celui de Pierre de RONSARD « Je ne suis seulement amoureux de Marie » du XVI ème siècle, cet auteur qui faisait partie des sept poètes français de La Pléiade. Dans ce sonnet de deux quatrains (rimes embrassées) et deux tercets (rimes plates) où il démontre son amour à plusieurs femmes, ce qui est intéressant dans ce poème c'est de constater que même à cette époque la polygamie existait et que le fais d'aimer plusieurs femmes était bien réel, le poète qualifie cet acte de folie

poète dit avoir alors le cœur brisé. Pour lui l'amour n'est que cruelle souffrance que l'on connaît tout un jour. Pour Paul VERLAINE l'amour n'est pas très présente dans sont poème elle n'est évoqué qu'au vers 14 : « l'immuable azur où rit mon amour » A l'inverse des deux précédent poèmes l'amour naissante à la saison du printemps ne semble pas perturbée la joie du poète à l'arrivée du printemps. La mort : Le seul poète à évoqué ce thème est A.BERTRAND sont poème sonne comme un ras le bols

Apollinaire : (1880/1918) : né à Rome, fréquente Matisse, Braque, Picasso, … Meurs à Paris : obus dans la tempe - Poésie (sonnet) - Le guetteur mélancolique de « Stavelot » (1899) - 20e siècle : surréalisme - Discours pour son cœur : amour impossible ? I. Qui parle ? a) Pronom personnel : 1e personne du singulier - Beaucoup d’occurrence dans les 3 premiers paragraphes - Verbe : passé composé et présent = expriment des états affectifs - « Pour moi » :

bouche et les roses dehors Sa parole et sa voix ressuscitent les morts, Et l'art n'égale point sa douceur naturelle. La blancheur de sa gorge éblouit les regards ; Amour est en ses yeux, il y trempe ses dards, Et la fait reconnaître un miracle invisible. En ce nombre infini de grâces et d'appas, Qu'en dis-tu ma raison ? crois-tu qu'il soit possible D'avoir du jugement, et ne l'adorer pas ? Portrait d'une jeune femme au collier de perles Huile sur panneau signée Honthorst et datée 1644

quotidiennes d’un village. Il peint l’intérieur et les activités domestiques de la «  maison du vigneron » où des femmes conversent paisiblement en évoquant leur monde familier et observant l’extérieur. Ce poème est composé de 9 quatrains en alexandrins rimés et a été écrit entre 1901-1902 dans la section rhénane. En quoi Apollinaire réussit-il à rendre cette scène unique et mystérieuse ? Nous étudierons tout d’abord

fatal à tout mon sang ». On retrouve également cette idée l. 25 « Cet aveu si honteux, le crois-tu volontaire ? ». Cette question rhétorique, visant à interpeller l’auditeur, montre parfaitement que Phèdre se sent impuissante, et n’a aucun contrôle sur ses sentiments. Elle est bien victime d’un destin fatal, ce qui en fait bien un personnage de tragédie. Cette fatalité se matérialise au travers d’un amour prohibé. ! La passion de Phèdre pour Hippolyte est violente. Elle use dans ce monologue