Risorgimento

immédiatement donné un contenu européen à son mouvement, en créant la Giovine Europa avec une section en Allemagne et une autre en Suisse. La montée révolutionnaire Les insurrections de la section italienne en faveur de l’unité nationale, le « Risorgimento », se succèdent, mais sans jamais entraîner de larges couches populaires. Le pays reste morcelé en dix États. Il y a quatre États principaux : le Piémont-Sardaigne, la Lombardie-Vénétie, les États du Saint-Siège (ou États pontificaux) et le Royaume

religions du pays, prit les dimensions d'une véritable révolte populaire dans une bonne partie de l'Inde du Nord et du Centre. Considéré dans l'histoire officielle indienne comme la « Première Guerre d'indépendance », sur le modèle des guerres du Risorgimento italien, il demeure objet de polémiques indo-britanniques, à cause des atrocités commises par les deux camps. Il resta cependant circonscrit à certaines régions de l'intérieur du sous-continent, épargnant les régions côtières et les villes principales

la diminution de l’influence de l’Autriche. Ces mouvements ont échoué parce qu’il n’y avait pas d’accord entre les révolutionnaires. En 1831, de nouvelles manifestations éclatent. Cette deuxième tentative marque le déclin de la Charbonnerie. Le Risorgimento va vraiment commencer (cela signifie réveil/renaissance, c’est la référence à un passé prestigieux, c’est également le titre d’un journal fondé par Cavour). II Première expérience de l’unité et échec Le roi de Naples octroie une constitution

théorie et la pratique de la sculpture et de l’architecture. Au XVIeme siècle, mais surtout à partir du XVIIIème siècle, les fouilles archéologiques se multiplient dans les forums. L’intérêt archéologique pour Rome est soutenu après 1815 par le Risorgimento, (definition P 44) le courant romantique et le développement des études d’histoire romaine dans les universités. Les fouilles se poursuivent encore aujourd’hui. Enfin, des arts plus récents, comme le cinéma, utilisent le patrimoine comme objet

à Londres la même année. Ils reconnaissent l'indépendance de la Belgique et sa neutralité. Léopold 1er, allemand aussi, devient roi des Belges. C'est le concert Européen qui règle le problème. Etude de cas : L'Italie 1848 à 1878 → Risorgimento (renaissance) 1848/1849 → Le piémont Sardaigne favorable à l'union italienne lance une offensive contre le Royaume Lombard Vénitien. Il prenne la Lombardie mais pas la Vénétie. Un personnage s'impose, Cavour, il s'allie diplomatiquement avec

xviiie siècle — Empire britannique — Empire russe — Révolution américaine — Révolution française — Premier Empire Époque contemporaine (xixe au xxie siècle) Bassin minier du Nord-Pas-de-Calais — Guerre de Sécession — Printemps des peuples — Risorgimento — xixe siècle — France au xixe siècle — Second Empire — Empire allemand — Titanic — Yougoslavie — Première Guerre mondiale — Entre-deux-guerres — Société des Nations — République de Weimar — Nazisme — Seconde Guerre mondiale — Résistance française

par Karl Marx) défendent l'idée d'une société communautaire. • Les mouvements nationaux sont parfois divisés en plusieurs tendances entre les partisans de la République (mouvement « Jeune Italie » de Mazzini), et les plus modérés (mouvement du « Risorgimento » pour une monarchie libérale en Italie). • En France, la Seconde République, mise en place après la révolution de février 1848, ne dure que trois ans (1848-1851) avant le coup d'état de Louis-Napoléon Bonaparte (Second Empire), mais le suffrage

ses terres et la ville devient une république suite à la victoire de Napoléon Ier. Rome est annexée au royaume d'Italie par Napoléon Bonaparte. Après sa défaite, en 1815, Rome repasse sous le contrôle du pape. Au milieu du XIXe siècle, avec le Risorgimento, elle devient la capitale de l'Italie et le siège des institutions républicaines. Le fascisme donne à Rome une place centrale. De nouveaux bâtiments sont construits : Mussolini veut qu'elle devienne la capitale du régime fasciste. Les quartiers

Milza Histoire de l’Italie, des origines à nos jours, 2005 p. 645 à 695 Gilles Pécout Naissance de l’Italie contemporaine, 1770-1922, 2004  p. 105 à 127 Catherine Brice Histoire de l’Italie, 1992 p.336 à 342 Sergio Romano Histoire de l’Italie du Risorgimento à nos jours ,1977 p. 11 à 21 Max Tacel  Restaurations, révolutions, nationalités : 1815-1870,1970 p. 143 à 146 Serge Berstein, Pierre Milza Histoire du 19ème siècle , 1996 p. 194 Sites internet : http://www.larousse.fr/encyclopedie/

maintenant que j’ai choisi ce thème pour m’inscrire dans ce très beau programme interdisciplinaire, mais que je n’en suis nullement spécialiste puisque ma recherche de doctorat porte sur les rapports entre mathématiques et politique dans l’Italie du Risorgimento, où les révolutions scientifiques ont été rares, au sens de Thomas Kuhn en tout cas. Il ne s’agit pas non plus d’un hommage académique pour lequel je n’aurais aucune légitimité. Je voudrais simplement tenter à l’occasion de ce double anniversaire