Rites Et Croyances En Afrique

cours de la fête de génération afatchué (Agban-village, sous-préfecture d’Abidjan). (Photo : Aka Konin, 2004.) Aspects de l’art musical des tchaman de côte d’ivoire AKA Konin 2010 4  AKA Konin Carte 1 : La Côte d’Ivoire en Afrique. (Dessin : Jacqueline Renard, MRAC, 2008) Carte 2 : Situation géographique des Tchaman (Dessin : Jacqueline Renard, MRAC, 2009.) Aspects de l’art musical des tchaman de Côte d’Ivoire  5 avant- propos Ce travail sur l’art musical

Synagogue, le Nouvel Israël. On hérite d’un mort: or, si Israël semblait bien devoir expirer après sa guerre contre Rome, le destin contraire prévalut; ayant sauvé les vestiges de son authenticité spirituelle, ses Écritures, ses traditions, ses croyances, il refusa sa défaite et s’installa en marge de l’Histoire dans l’attente de la réparation promise; la Synagogue de l’Exil était constituée de telle sorte qu’elle pouvait affronter toutes les tempêtes de l’Histoire, et sans plier, attendre l’heure

L’utilisation de la mort en tant qu’archétype et entité. La nécromancie est une technique divinatoire particulièrement macabre se servant de cadavres pour obtenir des réponses sur l'avenir plus ou moins proche du consultant. Elle se base sur la croyance que les décédés, libres des entraves physiques, auraient le pouvoir de révélé au nécromant le destin et les faits cachés. Il s'agit sans doute d'une des branches les plus sordides de l'occultisme, dépassée en bassesse seulement par la pratique des

cela ne concerne pas uniquement les régimes nazi ou fasciste. La même question se pose pour tous les régimes que l'on qualifie de régimes "musclés". En Afrique par exemple, la puissance des régimes absolutistes a rendu presque impossible la création d'Etats simplement décentralisés. La leçon est claire: les unions fédérales ou fédératives en Afrique sont difficiles à créer dans la mesure où elles demandent de la part de leaders qui sont à la fois assoiffés de pouvoir et jaloux de leurs prérogatives

pluridisciplinaires et se passent de modèles théoriques, en cherchant davantage à collecter et à restituer des faits qu'à les interpréter. Ce 1 Cet article est la version remaniéenoire », 27, rueparaître en Roumanie, suite au 24e colloque « Systèmes de pensée en Afrique d'un papier à Paul-Bert, 94204 Ivry-sur-Seine. GALF organisé à Sinaia en novembre 1999 : Anthropologie du XXF siècle. Projets et perspect ives. s'inspire par ailleurs de certaines analyses esquissées dans la revue Sciences humaines Il (Jolly, 1999)

différentes. Cette situation de l'Afrique résulte essentiellement de sa position géographique, de son peuplement et de son histoire. On distingue une Afrique septentrionale relativement riche et une Afrique subsaharienne pauvre. La première est dite Afrique blanche compte tenu de son peuplement arabo-berbère et la seconde Afrique est communément appelée Afrique noire. L'empreinte historique de ce continent, berceau de l'humanité, crée encore une pluralité géopolitique. On parle de l'Afrique lusophone, francophone

brachycéphale, mésorhinien, à cheveux bruns, yeux foncés, peau bistre et pigment jaunâtre »[99]. Quant à Salah-Eddine Tlatli[100], citant Bertholon, il dépeint les « caractères ethniques » des Djerbiens « qui définissent un type humain à part en Afrique du Nord [...] La forme de leur crâne et leur taille : un crâne globuleux, massif, laissant à découvert un front bombé, limité par d’épais sourcils et des bosses pariétales accusées [...] Le corps est assez petit, trapu, musclé, avec de larges épaules

.............................................................................. 80 2. Le corpus ................................................................................................................................................ 85 2.1 Rites et obédiences ........................................................................................................................... 85 2.1.1 La question du Rite d’origine ......................................................................

sociale résidant dans la différence, c'est par rapport au plus proche, qui représente la plus grande menace, que l'on affirme la différence».6 Simmel signale un autre facteur de conflit important: l’adhésion à des opinions, à des doctrines, à des croyances, à des idéaux, voire à des dogmes communs. On relèvera qu’il 2 Georg Lukacs, Buch des Dankes an Georg Simmel, Berlin, 1958. 3 Enzo Traverso, Les marxistes et la question juive, Paris, La Brèche, 1990, chap. 2. 4 Georg Simmel, Sociologie

militaire Hittite Les Hittites sont un peuple de langue indo-européenne. Lorsqu'ils apparaissent en Asie Mineure, ils soumettent et assimilent les peuples autochtones, dont les Hattis auxquels ils empruntent leur nom ainsi que différents dieux, mythes et rites. De ce mélange naquit une civilisation florissante, qui dura jusqu'au VIIIe siècle avant notre ère. Outre sa grande puissance militaire, la civilisation hittite semble avoir été d'une grande tolérance, aussi bien religieuse que sociale La langue hittite