Rivalité Entre Les Puissances Coloniales

1. L’expansion coloniale européenne A. Les empires coloniaux jusqu’en 1870 * Au milieu du XIXe siècle, l’Empire Britannique s’étend sur plus de 22 millions de km², et compte 240 millions d’habitants (Il comprend l’Inde, la Nouvelle-Zélande, ainsi que des îles comptoirs) * Les possessions françaises, hollandaises, espagnoles et portugaises sont plus réduites. * Les Européens jugent trop couteux de conquérir des territoires fortement peuplés pour en faire des colonies d’exploitation*

L’idée coloniale en France de 1870 à 1914 Introduction « Colonies (nos) : s’affliger quand on en parle », d’après le Dictionnaire des idées reçues de Flaubert. La formule de ce dernier semble bien exprimer une attitude générale qui est, à la fin du Second Empire, celle de la grande majorité des français. Loin de susciter la ferveur populaire tout au long du siècle, l’expansion coloniale laisse constater une absence d’intérêt, voire une ignorance très largement partagées, faisant planer de nombreux

politico-économique, elle-même indissociable des rivalités entre les grands États européens. L’article s’appuie principalement sur les écrits de deux acteurs politiques majeurs, Richelieu et Colbert qui ont conçu et mis en place cette politique. Il conclut par un retour sur la richesse relative des données sur le peuplement, alors que la population du royaume ne suscite pas la même attention. Une colonie est un établissement humain entretenu par une puissance étatique appelée métropole dans une région

Commentaire de texte : Les origines de la Guerre de Sept ans vues par Choiseul A peine la guerre de Succession d'Autriche qui a duré de 1741 à 1748 terminée et réglée par la Paix d'Aix la Chapelle, que les puissances européennes entrent de nouveaux en conflit. Ainsi l'Europe entre dans ces années d'après guerre dans un temps de difficultés. En effet pour la France par exemple, elle est secouée par des scandales relatifs aux liaisons du roi avec Madame de Chateauroux évincée par l'Eglise ou encore

Sujet: La préparation et la conduite de la grande guerre des états nations européens. Au début du XXe siècle, de nombreux États européens sont marqués par des mouvements nationalistes importants, en particulier les citoyens de  grandes puissances de l’époque (Grande-Bretagne, France et Allemagne) s'étaient convaincus de la suprématie culturelle, économique et militaire de leur nation. Selon l'historien Lawrence Rosenthal, ce sentiment était: “… Un nationalisme nouveau et

pas une puissance nucléaire, ni une puissance militaire forte. Les pays africains ne sont pas membres permanents du Conseil de Sécurité de l’ONU. Les Etats africains n’ont pas de droit de veto. Au niveau de la BM et du FMI, pas de réel pouvoir non plus, car pas d’argent (1$=1voix). On pourrait donc traiter une Afrique déclassée politiquement. Toutefois, il y a la force des faibles pour peser dans les RI. Des stratégies d’alliances notamment. Entrée des pays émergents qui sont des puissances militaires

l’Egypte pharaonique, le premier traité bilatéral écrit entre le pharaon et le roi des Hittites, a l’issu de la bataille de Qadesh. Ils décident de ne plus se joindre a une alliance contre l’un ou l’autre. Ils décident également de livrer les opposants de l’autre souverain qui se sont réfugiés sur l’autre territoire. RI relativement organisées, comme le système des cites grecs selon Thucydide, qui décrit des relations très complexes entre les cites grecs et et l’Empire Perse. Les premières ambassades

des dominations colonialesAu xixe siècle, de grandes puissances européennes se lancent dans la conquête de vastes empires coloniaux, en particulier en Afrique. C'est la seconde vague de colonisation, après celle de la période des grandes découvertes, qui a vu la constitution des empires portugais et espagnol. Mais cette nouvelle vague de colonisation est différente car elle débouche sur la mise en place d'une véritable administration coloniale et d'une exploitation plus systématique des territoires

En 1914, les rivalités entre pays européens sont nombreuses: Ø Des rivalités coloniales et commerciales: les européens se disputent les terres à conquérir. (Fachoda en 1898, Maroc en 1911). Ø Des rivalités nationales: certains peuples qui font partie d'empires multinationaux revendiquent leur indépendance. Certains pays réclament des terres perdues. Ø Dans ce climat tendu, les Etats cherchent à se protéger par des alliances militaires et se livrent à une véritable course aux armements afin d'augmenter

fondateur de ses idées paneuropéennes, « La question européenne ». Le contexte est alors très particulier : le traumatisme de la guerre de 1914-1918 a autant permis d'exacerber les nationalismes que les mouvements pacifistes, et les tensions, comme entre la France et l'Allemagne, ne promettent pas des jours plus tendres. L'Europe d'après-guerre est affaiblie, divisée, et c'est dans ce contexte qu'émergent de nouveau les internationalismes. Coudenhove-Kalergi cherche ainsi dans ce manifeste à convaincre