Rivière du Lièvre

nuque Mais ne furent jamais connues. Nulle crainte, chaque matin L'oiseau à la crête chante Hantant les dernières bribes de rêve La trêve ne durant qu'un sommeil Le soleil se lève et je veux retrouver Sur mes lèvres le goût de ce miel. Le lièvre cavale encore, quelle torture, Une chance d'être lent, Certain appel ça nonchalance. Sa lance toujours près du lit Trouvant ça utile, à chaque réveil L'homme l'envoi, et en fabrique un nouvelle L'aumône . Vol, vol Non tu ne seras

DOBLER 8 bld de Champigny 94210 La Varenne Tél : 01 41 81 45 45 Lundi au Vendredi Fax : 01 41 81 45 65 de 9 h à 17 h Hospitalisation à domicile Dr LIEVRE 18, rue Joyeuse Tél : 01 48 89 63 00 Lundi au vendredi 94310 Joinville Fax : 01 48 89 63 95 de 9 h à 17 h Mardi et Mercredi permanence de 17h à 19h30 Connaissance des réseaux Dr LIEVRE 18 rue Joyeuse Tél : 01 48 89 63 00 94310 Joinville Fax : 01 48 89 63 95 Appartements relais Dr GUERIN 8 bld de Champigny Tél 01 45 93 71 86

d'application […] est placée en tête de phrase et reprise par le pronom personnel l' ; * l'accumulation (figure de style qui consiste en l'énumération d'éléments juxtaposés ou coordonnés) ; ex. : « Têtu comme une mule, malin comme un singe, vif comme un lièvre, il n'avait surtout pas son pareil pour casser un carreau à vingt pas […]. » 4. Les formes personnelle et impersonnelle • Pour différencier une phrase personnelle d'une phrase impersonnelle, il faut considérer le sujet du verbe. S'il ne désigne

qu'il est semblable aux silènes. Les Silènes étaient jadis de petites boites, comme celles que nous voyons à présent dans les boutiques des apothicaires, sur lesquelles étaient peintes des figures drôles et frivoles : harpies, satyres, oisons bridés, lièvres cornus, canes batées, boucs volants, cerfs attelés, et autres figures contrefaites à plaisir pour inciter les gens à rire (comme le fut Silène, maître du Bacchus). Mais à l'intérieur on conservait les drogues fines, comme le baume, l'ambre gris, l'amome

luzerne, chaumes d’orge ou de seigle, carrés de lin. Ah ! le lin… une véritable torture, à croire qu’il nous ligote les jambes. La rosée est abondante, nous nous sentons trempés jusqu’aux genoux. Décidément je me sens exténué, - l’eau froide de la rivière m’a coupé bras et jambes. Tandis que mes deux copains pressent le pas, je décolle de cinq mètres, puis de dix, puis de vingt. « Jean, ne flâne pas l’arrière ! Es-tu fatigué ? – Non, non », dis-je et, fourbu, je refais à la course le terrain perdu

dans du bois flotté, il n’y en avait pas deux d’identiques. Quand Brienne en fit l’éloge, il répondit : « Ma dame est trop bonne. Notre ouvrage se réduit à découper et polir le bois. Nous sommes bénis en ces lieux. Au point de rencontre entre la rivière et la baie, les courants et les marées s’affrontent et poussent vers nous bien des choses étonnantes et singulières qui viennent s’échouer sur nos rivages. Le bois flotté est la moindre d’entre elles. Nous ne cessons de découvrir des coupes d’argent

rivages de l’Atlantique jusqu’aux lacs les plus reculés du haut Canada. Quatre grands fleuves, ayant leurs sources dans les mêmes montagnes, divisaient ces régions immenses : le fleuve SaintLaurent qui se perd à l’est dans le golfe de son nom, la rivière de l’Ouest qui porte ses eaux à des mers inconnues, le fleuve Bourbon qui se précipite du midi au nord dans la baie d’Hudson, et le Meschacebé7 qui tombe du nord au midi dans le golfe du Mexique. Ce dernier fleuve, dans un cours de plus de mille

moulins ne tournent pas. Abeillage : n. m. Droit Seigneurial. Laurière le définit " un droit en vertu duquel les abeilles épaves et non poursuivies, appartiennent aux Seigneurs Justiciers. " (La Curne) Aber : (a-bèr), n. m. Profond estuaire de rivière en Bretagne. Abergeage : (a-bèr-ja-j'), n. m. Ancien terme de jurisprudence. Contrat primitif et première concession, que le seigneur faisait de son fonds à son premier emphytéote. Aberhavre : (a-bèr-ha-vr'), n. m. Embouchure de fleuve qui forme

seulement aurait pu distinguer la plus vieille marchande d’oranges de la plus jolie grisette de Cordoue. Un soir, à l’heure où l’on ne voit plus rien, je fumais appuyé sur le parapet du quai, lorsqu’une femme, remontant l’escalier qui conduit à la rivière, vint s’asseoir près de moi. Elle avait dans les cheveux un gros bouquet de jasmin, dont les pétales exhalent le soir une odeur enivrante. Elle était simplement, peut-être pauvrement vêtue, tout en noir, comme la plupart des grisettes dans la soirée

seulement aurait pu distinguer la plus vieille marchande d’oranges de la plus jolie grisette de Cordoue. Un soir, à l’heure où l’on ne voit plus rien, je fumais appuyé sur le parapet du quai, lorsqu’une femme, remontant l’escalier qui conduit à la rivière, vint s’asseoir près de moi. Elle avait dans les cheveux un gros bouquet de jasmin, dont les pétales exhalent le soir une odeur enivrante. Elle était simplement, peut-être pauvrement vêtue, tout en noir, comme la plupart des grisettes dans la soirée