Robe blanche du cheval

période fasciste, où les jeunes étaient embrigadés dans des mouvements de jeunesse fascistes où ils portaient l'uniforme. Cependant, jusque dans les années 1970, les lycéennes devaient porter un vêtement noir appelé « grembiule », ressemblant à une robe universitaire, par-dessus leurs vêtements, les garçons n'ayant pas d'uniforme. C'était dû au fait que les lycées, contrairement aux autres écoles, étaient mixtes ; le « grembiule » était censé cacher le corps des filles, afin qu'elles ne distraient

porte de la caserne. C'était une berline armoriée portant aux lanternes une couronne ducale, attelée de deux chevaux gris, deux laquais en guêtres derrière. Les glaces étaient levées mais on distinguait l'intérieur tapissé de damas bouton d'or. Le regard de l'homme fixé sur cette voiture attira le mien. Il y avait dans la voiture une femme en chapeau rose, en robe de velours noir, fraîche, blanche, belle, éblouissante, qui riait et jouait avec un charmant petit enfant de seize mois enfoui sous les rubans

l’attestent son célèbre marché, ses maisons à encorbellements et sa remarquable église de Brélévenez qui possède par un escalier de 140 marches. Et Lamballe, capitale des ducs de Penthièvre depuis le Xe siècle, pôle commercial et artisanal, ville du cheval depuis le XIXe siècle, a connu plusieurs vies et en conserve un patrimoine original. Elle a le goût des arts et le don de le faire partager, notamment au musée Mathurin Méheut. Il existe aussi : -Les Petites Cités de Caractère de Bretagne

Jusqu’à Beuzeville elles furent seules et jacassèrent comme des pies. Mais à cette gare un couple monta. L’homme, vieux paysan, vêtu d’une blouse bleue, avec un col plissé, des manches larges serrées aux poignets et ornées d’une petite broderie blanche, couvert d’un antique chapeau de forme haute dont le poil roussi semblait hérissé, tenait d’une main un immense parapluie vert, et de l’autre un vaste panier qui laissait passer les tètes effarées de trois canards. La femme, raide en sa toilette rustique

la glèbe, n’a aucun commerce, aucune industrie, mange Dieu sait quoi, et se chausse de tilles tressées. Le moujik de Kalouga est à la dîme ; il vit dans de larges isbas de pin ; il a la taille haute, le regard ferme et gai, la face lisse et blanche ; il fait le commerce de l’huile et du goudron et se chausse de bottes les dimanches et les jours de fêtes. Un village du gouvernement d’Orel est, ordinairement, situé parmi des champs labourés, 5 auprès d’un ravin transformé en marais

Dali) : incroyance en l’art : André Malraux insiste sur le « Musée Idéal » que diffusaient les livres illustrés Lieux de mémoire de Demain ? Arts mécaniques dont photo ? AN Tour Eiffel, Statue de la Liberté : lieux du XIX mais pour XX eme ? Les chevaux de Marie (Champs-Elysées) : notre admiration est une admiration inconvenue  c’est un seul des aspects de notre vie, il ne nous prend pas aux tripes chaque jour. Il y a des chaînes brisées au jardin du Luxembourg pour désigner l’affranchissemeent

de la colonie (attente pendant 2 ans). Au début du roman, elle est arrivée depuis six ans dans la plaine. Le physique de la mère est assez pitoyable : « pieds nus », « une mince natte de cheveux gris retenus par une rondelle de chambre à air », une robe « taillée dans un pagne indigène, [ …] large, sans manches et usée à l’endroit des seins qui étaient bas » (p.16). La mère ne porte aucune attention à son apparence, elle est toujours revêtue de « robes indescriptibles », «  de sortes de peignoirs

p4 à p9 : Hymne a la beauté de Charles Baudelaire-p5 A Vénus de Joachim Du Bellay-p6 J’aime une amie entièrement parfaite de Marguerite de Navarre-p7 Beauté des femmes … de Paul Verlaine -p7 A Cassandre de Pierre de Ronsard-p8 Sonnet pour un cheval de Winston Perez -p8 Je veux mourir pour tes beautés, Maîtresse de Pierre de Ronsard -p9 -L’amour p12 à p16 : Cet amour de Jacques Prévert -p12 Le tendre et dangereux visage de l’amour de Jacques Prévert -p13 Lettera amorosa de René Char-p13

draps de coton, elle se met à poser sur la scène du beuglant de « La Rotonde » à Moulins, un café-concert où elle fait ses premières apparitions, silencieuses. « La Rotonde » est notamment fréquentée par les officiers du 10e régiment de chasseurs à cheval stationné dans la capitale bourbonaise. Aujourd'hui y est installé le Centre national de costume de scène. Bientôt, elle ose pousser la chansonnette et se met à rêver de music-hall. Âgée de vingt-quatre ans, elle se produit en spectacle devant les

garçon, qui s'étendent comme des coups d'épervier. Les femmes avaient levé la tête vers lui, trois petites ouvrières, une maîtresse de musique entre deux âges, mal peignée, négligée, coiffée d'un chapeau toujours poussiéreux et vêtue toujours d'une robe de travers, et deux bourgeoises avec leurs maris, habituées de cette gargote à prix fixe. Lorsqu'il fut sur le trottoir, il demeura un instant immobile, se demandant ce qu'il allait faire. On était au 28 juin, et il lui restait juste en poche trois