Robe noire du cheval

livrer » (l.2292) 10. Quelles sont les principales figures de rhétorique qui rendent ce discours persuasif (l.2242 à 2292) ? Les figures de rhétorique qui rendent ce discours persuasif sont : Des images, des métaphores (le « livre du monde », les « chevaux de poste », « le faîte », « la clef du pouvoir », le « fil d’Ariane », le « pied partout ») qui marquent la progression dans l’ambition vue comme une « bataille » où il faut choisir l’attaque comme meilleur moyen de défense (« je me défendrai ») même

Dégoût, Haine et Névrose, entre eux ont disputés. Que reste-t-il de lui dans la tempête brève ? Qu'est devenu mon cœur, navire déserté ? Hélas! Il a sombré dans l'abîme du Rêve ! Devant le feu Par les hivers anciens, quand nous portions la robe, Tout petits, frais, rosés, tapageurs et joufflus, Avec nos grands albums, hélas ! Que l'on n'a plus, Comme on croyait déjà posséder tout le globe ! Assis en rond, le soir, au coin de feu, par groupes, Image sur image, ainsi combien joyeux

Mais, vrai, j'ai trop pleuré ! Les Aubes sont navrantes. Toute lune est atroce et tout soleil amer : L'âcre amour m'a gonflé de torpeurs enivrantes. Ô que ma quille éclate ! Ô que j'aille à la mer ! Si je désire une eau d'Europe, c'est la flache Noire et froide où vers le crépuscule embaumé Un enfant accroupi plein de tristesses, lâche Un bateau frêle comme un papillon de mai. Je ne puis plus, baigné de vos langueurs, ô lames, Enlever leur sillage aux porteurs de cotons, Ni traverser l'orgueil des

relation entre Picasso et sa muse Dora Maar, qui avait duré de 1935 à 1945. Ce grand portrait est considéré comme une des oeuvres magistrales du peintre. Dora Maar au chat est une toile de 130 × 97 cm. Dora Maar y figure en robe bleue à petits points verts chamarrée de perles orange et noire, le corsage vert strié. Elle est assise sur un fauteuil, coiffée d'un de ses chapeaux dont elle raffolait. Les mains tordues sur les accoudoirs du fauteuil, des ongles bleus inquiétants comme des griffes de tigre, elle

une plume du vent, une bague d'agilité. -Eventail de bourrasque = attaque 62 : un eventail du vent, une pierre enchantée, un bague d'aglitié. -Eventail tortue = attaque 50 : un éventail de guerre, deux carapacine, un tissu sombre. -Eventail tortue noire = attaque 64 : un eventail tortue, trois terre sacrée, un carapace de tortue. -Eventail felin = attaque 54 : un eventail de guerre, deux litières pour chat, deux coquillages. -Eventail tigre blanc = attaque 68 : un éventail felin, trois cristal de

............................................................................3 II. LES COMPRACHICOS...................................................................................................................14 LIVRE PREMIER. LA NUIT MOINS NOIRE QUE L'HOMME....................................................................21 I. LA POINTE SUD DE PORTLAND..................................................................................................21 II. ISOLEMENT.....................

............................................................................3 II. LES COMPRACHICOS...................................................................................................................14 LIVRE PREMIER. LA NUIT MOINS NOIRE QUE L'HOMME....................................................................21 I. LA POINTE SUD DE PORTLAND..................................................................................................21 II. ISOLEMENT.....................

murs. L'angoisse de l'attente faisait désirer la venue de l'ennemi. Dans l'après-midi du jour qui suivit le départ des troupes françaises, quelques uhlans, sortis on ne sait d'où, traversèrent la ville avec célérité. Puis, un peu plus tard, une masse noire descendit de la côte Sainte-Catherine, tandis que deux autres flots envahisseurs apparaissaient par les routes de Darnetal et de Boisguillaume. Les avantgardes des trois corps, juste au même moment, se joignirent sur la place de l'Hôtel-de-Ville;

la venue de l'ennemi. Boule de suif 1 Boule de suif Dans l'après−midi du jour qui suivit le départ des troupes françaises, quelques uhlans, sortis on ne sait d'où, traversèrent la ville avec célérité. Puis, un peu plus tard, une masse noire descendit de la côte Sainte−Catherine, tandis que deux autres flots envahisseurs apparaissaient par les routes de Darnetal et de Boisguillaume. Les avant−gardes des trois corps, juste au même moment, se joignirent sur la place de l'Hôtel−de−Ville

paroxysme, sont ceux où le spectateur « aficionado » peut voir dans la gestuelle du combattant, le désir d’y inscrire l’expression du métier. Que dire maintenant du rôle du Picador ? La « faena » du torero conduit le taureau vers ce combattant à cheval et par une dernière passe ajustée, il le livre à son impressionnante pique sur laquelle se rue l’animal. C’est certainement ici qu’il faut voir la première manifestation de l’arme d’élucidation dans le combat, arme qui le pénètre et l’arrête. Cette