Robert Badinter Discours

trois auteurs-----> expliquer en prenant appui sur les procédés Conviction : idée, la pensée Réponse : Le poème L'échafaud de Victor Hugo publie en 1983, le passage de la peste d'Albert Camus parut en 1947 et l extrait du discours que Robert Badinter a tenu en 1981 manifestent chacun une manière de prendre position contre la peine de mort. Dans L'échafaud de Victor Hugo, on a l'image de la guillotine après une exécution capitale, l échafaud deviens un monstre sanguinaire grâce

le convaincre par un raisonnement argumenté. QUESTION 6 Par ses dessins, par ses oeuvres narratives (Claude Gueux, Le Dernier Jour d'un condamné), par ses discours, Victor Hugo lutte jusqu'à la fin de ses jours contre la peine de mort. En juin 1848, il prononce à la tribune de l'Assemblée constituante la phrase que Robert Badinter reprendra en 1981 «Je vote l'abolition pure et simple et définitive de la peine de mort ». Ce dessin représente l'horreur du gibet. Victor Hugo avait essayé

définitivement, après l’abolition de la peine de mort en 1981, à la prison de Fresnes. Selon les experts médicaux, la section de la moelle épinière entraîne une perte de connaissance instantanée  Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Guillotine Discours de V. Hugo dev&nt l’assemblée constituante Thèse défendue : Je vote l’abolition pure, simple et définitive de la peine de mort Arguments : « la peine de mort est le signe spécial et éternel de la barbarie. Partout où lapeine de mort est prodiguée

DOCUMENT 5 Robert BADINTER Discours à l’Assemblée Nationale - 17 septembre 1981 En vérité, la question de la peine de mort est simple pour qui veut l'analyser avec lucidité. Elle ne se pose pas en termes de dissuasion, ni même de technique répressive, mais en termes de choix politique ou de choix moral. Je l'ai déjà dit, mais je le répète volontiers au regard du grand silence antérieur : le seul résultat auquel ont conduit toutes les recherches menées par les criminologues

remplaçant par la réclusion criminelle à perpétuité. Le 17 septembre 1981 , l'Assemblée nationale réunie en session extraordinaire, entame l'examen du projet de loi portant abolition de la peine de mort, présenté par le garde des Sceaux Robert Badinter dans un discours devenu célèbre, demandant à l'Assemblée nationale d'abolir la peine de mort. Evoquant un débat de consciences Le 18 septembre 1981, par 363 voix contre 117, l'Assemblée nationale adopte, après deux jours de débats, le projet de loi portant

Fin du Discours de Robert Badinter à l’Assemblée nationale, Le 19 septembre 1981, lors de la discussion du projet de loi portant abolition de la peine de mort. […] Mais lorsqu'on a dépouillé le problème de son aspect passionnel et qu'on veut aller jusqu'au bout de la lucidité, on constate que le choix entre le maintien et l'abolition de la peine de mort, c'est, en définitive, pour une société et pour chacun d'entre nous, un choix moral. Je ne ferai pas usage de l'argument d'autorité

selon les époques et les régions géographiques. Le 18 septembre 1981, par 363 voix contre 117, l'Assemblée nationale adopte, après deux jours de débats, le projet de loi portant abolition de la peine de mort présenté, au nom du Gouvernement, par Robert Badinter, garde des Sceaux, ministre de la justice. Douze jours plus tard, le texte est voté dans les mêmes termes par le Sénat, par 160 voix contre 126. C'est l'aboutissement du long combat mené depuis deux siècles par la cohorte de ceux qui, dans les

depuis l’Antiquité. C’est seulement en 1764 que l’on observe un premier mouvement abolitionniste. Depuis cette date, de nombreux projets de loi ont été proposés: 1 ou 2 par an ( voir 3 pour certaines années ) . Jusqu’à la proposition de Robert Badinter contre l’abolition complète de la peine de mort en France le 9 octobre 1981 III. La peine de mort dans le monde 97 Etats ont abolis la peine de mort 58 états ou la peine n’est pas abolis 2011: 676 exécutions Les états pour la peine

maîtresse fait un réquisitoire contre la peine de mort au tribunal . Il faudra cependant attendre 1981 et l'élection de François Mitterand comme président de la république pour que la peine de mort soit abolie en France ( 9 octobre) . Le discours de Robert Badinter du 17 septembre 1981 devant l'assemblée nationale est resté célèbre . b ) Etat des lieux: Au niveau mondial, tous les pays ne sont pas abolitionnistes. L'Onu est à l'origine d'un moratoire contre la peine de mort mais ce n'est qu'une

Discours de M. Robert Badinter, ministre de la Justice, sur l’abolition de la peine de mort, à l’Assemblée nationale le 17 septembre 1981 M. le garde des sceaux. Monsieur le président, mesdames, messieurs les députés, j'ai l'honneur au nom du Gouvernement de la République, de demander à l'Assemblée nationale l'abolition de la peine de mort en France. En cet instant, dont chacun d'entre vous mesure la portée qu'il revêt pour notre justice et pour nous, je veux d'abord remercier la commission